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lles. Entre ces deux limites extrêmes de la polis
primitive
et de la mégalopolis de demain se jouent les chances de toute partici
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retenir par la liaison qui se trouve entre le mot
primitif
et les mots dérivés. De plus, elles donnent de la justesse dans le ch
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he, par la liaison qui se trouve entre la légende
primitive
et ses expressions dérivées dans nos littératures et dans nos vies. D
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nos émotions. » À mon sens, en effet, les textes
primitifs
de la légende de Tristan, qui remontent aux xiie et xiiie siècles,
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célèbre de Thomas, l’un des auteurs de la légende
primitive
? Mais si le mythe est épuisé, et s’il était vraiment un mythe de l’â
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e anglo-normand de la belle époque — un franglais
primitif
, si l’on préfère — dont je citerai quelques exemples à la volée :