1
nité non pas homogène, et qui ne résulte pas d’un
processus
forcé d’uniformisation, de nivellement et d’exclusion de ce qui diffè
2
comment la Suisse peut et doit s’insérer dans ce
processus
d’édification d’une Europe fédérale. De telles réflexions ne sauraien
3
is cela n’explique pas tout. Il y a là plus qu’un
processus
psychologique de transmission par les mots. Jamais, pas un instant, n
4
éral suisse limite à ses frontières politiques le
processus
de fédéralisation, si bien que, sauf pour sa neutralisation, il se co
5
ante projetée par les démographes a déclenché des
processus
variés d’inhibition, dont le plus évident est l’abaissement du seuil
6
autonomes à son tour implique nécessairement deux
processus
apparemment contradictoires : a) L’existence et la vitalité d’unités
7
’appareil tentaculaire de l’État-nation libère le
processus
de formation de groupes, communes, régions, associations, que l’État-
8
masse critique indispensable au déclenchement du
processus
fédéraliste européen. Or, je ne vois aucune méthode meilleure que cel