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e actuel de notre société, irréversible course au
profit
? Mais le système de la société actuelle n’existe pas ! Il y a précis
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ez prend ses distances par rapport à la notion du
profit
en tant que but suprême, privilégie les besoins collectifs par rappor
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effort gigantesque pour tromper la révolution au
profit
de l’étatisme. La révolution, comme l’être humain, est antiétatiste p
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s vraies fins de la cité et de ses priorités : le
profit
à tout prix, ou un certain sens de la vie ? Un niveau de vie quantita
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i à nos démocraties capitalistes, à la société de
profit
que nous appelions le « désordre établi ». Nous ne voulions pas qu’on
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ment les impératifs naturels ou les incline à son
profit
, la civilisation se met à retourner ses efforts sur elle-même, à trav
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’information en temps utile, et qui en joue à son
profit
; et celle qui reçoit des « instructions » sous forme de publicité, p
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s relations sociales, dans l’Europe de l’Ouest au
profit
de l’économie américaine, et dans celle de l’est au profit des maître
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l’économie américaine, et dans celle de l’est au
profit
des maîtres et manipulateurs de l’idéologie communiste. Cette proléta
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e, au lieu des goûts individuels et de la soif de
profit
matériel libérés par la Renaissance, et qui dominaient hier encore le
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motivation aussi différente de la coutume que du
profit
: celle du sens de ma vie, du sens de la société, et du sens de ma pa
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mais de répondre (ils ne sont trop souvent que le
profit
des firmes et le dividende de leurs actionnaires), mais plutôt aux be
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n plus le rendement à n’importe quel prix pour le
profit
privé ou collectif, mais l’équilibre entre l’individu et la cité, ent
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a rentabilité, mais ceux qui font passer avant le
profit
d’argent — cette chose abstraite — les désirs et les rythmes du corps
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n’est ni de gauche ni de droite, qui n’oppose au
profit
matériel que l’honneur et le bonheur humain, et dont dépendra l’aveni
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e politique que cette finalité générale qu’est le
profit
, la croissance, l’augmentation quantitative, mesurable. Il y a aujour
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res entre l’homme et la nature plutôt que du seul
profit
matériel. Et les sociétés multinationales ? Vous dénoncez l’exi
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dernières ! Certes, elles cherchent d’abord leur
profit
et c’est souvent aux dépens des équilibres sociaux et naturels d’un p
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je le répète, rien ne les empêche d’accorder leur
profit
à celui d’une région, et certaines le font. Disons, pour résumer beau