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é, c’est-à-dire le fédéralisme. Mais sitôt le mot
prononcé
, des hurlements éclatent sur tous les bancs, de la gauche à la droite
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st pas exclu qu’avant longtemps on l’appelle à se
prononcer
sur la question européenne. Je prendrai mon dernier exemple dans cett
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ire, où il prépare actuellement le discours qu’il
prononcera
le mois prochain à Bonn à l’occasion de la remise officielle du prix
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sité de Bonn. À cette occasion, l’écrivain suisse
prononcera
une allocution : “Res publica Europaea” (“La cité européenne”). »
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t “le peuple”, en l’occurrence les hommes, qui se
prononcera
. Partout ailleurs, où la femme a acquis l’égalité civique, elle le do
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us lisez dans nos journaux : « Le souverain s’est
prononcé
hier. » Ce n’est pas une manière de parler, c’est la réalité. On ne d
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un problème public sur lequel il est appelé à se
prononcer
. Dans le second cas, l’information, loin de chercher à stimuler la li
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leur procès n’est plus à faire : le verdict a été
prononcé
à deux reprises par l’histoire du xxe siècle, en 1914 et en 1939. Il
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es fédéralistes qui avait lieu à Montreux. J’y ai
prononcé
le discours d’introduction sur le thème de l’attitude fédéraliste. Il
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t les habitants de la région serait de pouvoir se
prononcer
sur les problèmes qui les concernent. Et puis, finissons-en avec ces