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tous les domaines et à tous les niveaux de la vie
publique
comme de la vie organique, ils sont conditions l’un de l’autre. Le re
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laudel. De quinze ans son cadet, inconnu du grand
public
, je ne lui apporte rien qu’une commande peu munificente. Je lui en ré
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e que la femme n’a pas sa place dans les affaires
publiques
qui doivent être le domaine des guerrières, de l’homme armé, ce qui e
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n’y a aucune espèce de différence au point de vue
public
entre hommes et femmes. Je ne dis pas du tout qu’il n’y a pas de diff
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ulin et féminin. Je dis que sur le plan de la vie
publique
il n’y en a pas. Je n’en vois pas. Les seules que nous croyons voir,
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La participation réelle du citoyen aux affaires
publiques
en tant qu’acteur, non-spectateur, n’étant possible et praticable en
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ice du civisme, les dimensions variées des tâches
publiques
et des communautés qui leur correspondent : commune et entreprise, ré
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, elle fera voir les problèmes concrets de la vie
publique
et les moyens d’y participer à tous les étages décisionnels. Arts
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éservation de la nature, a provoqué dans le grand
public
européen deux réactions contradictoires : tout d’abord, une prise de
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lié surtout à une participation active à la chose
publique
et à une attitude de responsabilité dans la cité ; que politique évoq
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ons prospectives dans tous les domaines de la vie
publique
: urbanisme et transports, hygiène, écologie, économie, éducation et
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el de ville, l’école, le théâtre ou quelque salle
publique
. Et les tensions bi- ou multilatérales entre les entités symbolisées
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ni des agents de présentation et de distribution
publique
(enseignants, responsables des mass médias qui préparent les prises d
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u sens de mode d’emploi) pour traiter un problème
public
sur lequel il est appelé à se prononcer. Dans le second cas, l’inform
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dent les moyens d’information suivants : 1. école
publique
, presse, radio ; 2. université et TV ; 3. banques d’informations et c
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dias, banques d’informations, etc.) 2. Discussion
publique
des lois ; 3. Unités d’action civique (unités d’habitation et commune
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dans un dé-conditionnement.) 2. La discussion
publique
La discussion publique était, en Grèce antique, l’affaire de l’ens
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t.) 2. La discussion publique La discussion
publique
était, en Grèce antique, l’affaire de l’ensemble des citoyens (enviro
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, cent ou mille fois supérieur à celui des places
publiques
ou des salles disponibles. Subitement, à partir de 1960, et grâce au
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e, la passivité, la non-participation aux mesures
publiques
est de règle pour le plus grand nombre. En revanche, dans une société
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mêmes d’une participation des citoyens aux choses
publiques
. ak. Rougemont Denis de, « Forteresse au centre de l’Europe : la S
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s et la terre labourée, la terre bâtie, d’utilité
publique
, que vont faire les hommes et les femmes et les enfants qui habitent
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s relations entre l’état-major, les troupes et le
public
— j’ai été amené à me poser un tas de questions sur la politique, sur
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mêmes d’une participation des citoyens aux choses
publiques
. Petit veut dire aussi mesquin, prudent, hostile à toute espèce de gr
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nder l’équilibre vivant et l’harmonie de nos vies
publiques
et privées sur la permanente critique — étymologiquement : mise en cr
26
Tout auteur qui se permet ces grands mots doit au
public
une justification de l’usage personnel qu’il a fait. Un mythe, c’est
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aux, tantôt passent à peu près inaperçus du grand
public
, quoi de commun à première vue, sinon le terme de « région » pris dan
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cuter tout cela « dans la rue » ou « sur la place
publique
», à la bonne heure ! Mais encore faut-il qu’elles existent, cette ru
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faut-il qu’elles existent, cette rue, cette place
publique
, où le beau mot de voisinage reprenne son sens. J’applaudis au projet
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is. bc. Rougemont Denis de, « Recréer la place
publique
», Tribune de Lausanne — Le Matin, Lausanne, 1 juillet 1973, p. 21.