1 1970, Articles divers (1970-1973). Ce que la Suisse peut apporter à l’Europe (19 mars 1970)
1 depuis des siècles des tableaux de chevalet, des romans , des pièces de théâtre, on donne des concerts. Eh bien ! tout cela n’
2 se, sacrée. En Inde, par exemple, il n’y a pas de romans qui racontent des petites histoires qui se passent tous les jours. Il
2 1970, Articles divers (1970-1973). Denis de Rougemont, propos recueillis par E. Liard (décembre 1970)
3 rands courants de l’art et de la pensée, de l’art roman jusqu’au surréalisme. Pas un seul de ces foyers culturels n’a coïncid
3 1971, Articles divers (1970-1973). L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)
4 été paneuropéennes, et non pas nationales : l’art roman et le gothique, le classique, le baroque, le romantisme, le positivis
4 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
5 t », que la culture consiste à lire ou écrire des romans , enseigner la philosophie, écouter des deuxièmes programmes, et se te
6 gnose et d’érotique arabe : voilà la poésie et le roman de l’Europe. Ils auront contre eux, dès le départ, contre leur concep
5 1971, Articles divers (1970-1973). Les régions et la civilisation (mars 1971)
7 — les grands styles européens, puis mondiaux, du roman et du gothique au Bauhaus et à « l’architecture visionnaire » ; du cl
6 1972, Articles divers (1970-1973). Qu’est-ce que la culture ? : quatre thèses et une hypothèse (juin 1972)
8 ’est pas La culture ne consiste pas à lire des romans , à parler peinture, à participer à des jeux télévisés, à organiser de
7 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
9 même le thème exemplaire, l’archétype de tous les romans dignes du nom. Ils sont comme les premières apparitions, comme les ép
10 s de la culture occidentale : le romantisme et le roman . Retracer leur évolution du xiie siècle jusqu’à nos jours, comme j’a
11 ial : comédies à succès sur le thème du triangle, roman pour midinettes et films de série, dont le love interest est l’ingréd
12 oi, père adoptif du héros —, il n’y aurait pas de roman , ni de passion mortelle, il n’y aurait donc pas eu de mythe. On ne sa
13 en croire nos romanciers. Ils savent bien que le roman véritable n’est jamais qu’une version renouvelée de l’archétype de Tr
14 alade mental. Un psychanalyste l’eût guéri, et le roman n’eût pas eu lieu. Si les derniers tabous viennent à céder, c’en sera
15 Gottfried de Strasbourg, d’Eilhart d’Oberg, et du Roman en prose. Seuls, Joseph Bédier en 1908 et André Mary en 1941, ont osé
16 ried, Eilhart, Chrétien de Troyes, ou l’auteur du Roman en prose. Le Mythe en eux tous a dicté, inventé ses moyens d’expressi
17 x et vous y ferez des découvertes fulgurantes. Le Roman en prose parle de la mort comme nul moderne adaptateur ne l’a osé. Tr
18 tout, ce qui vaut sans doute mieux. Dans le même Roman en prose, lorsque Tristan meurt : « Douce amie, je ne vous verrai plu
8 1973, Articles divers (1970-1973). Université et universalité (janvier 1973)
19 aucune de nos disciplines universitaires (études romanes , arabes et celtiques, psychologie analytique, sociologie, histoire, t
9 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
20 été paneuropéennes, et non pas nationales : l’art roman et le gothique, le classique, le baroque, le romantisme, le positivis