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er devoir à l’égard de l’Europe, le moyen le plus
sûr
de contribuer à son unité, c’est-à-dire avant tout à la définition de
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notre fédéralisme pour nous seuls, serait le plus
sûr
moyen de les perdre ! h. Rougemont Denis de, « S’unir, au-delà de
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onné depuis trente ans ? Cherchez bien et je suis
sûr
que vous trouverez. Regardez autour de vous : le mariage occidental e
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ns le fauteuil où vous êtes assis ! Là, vous êtes
sûr
de ne pas le rater. C’est en vous qu’il existe : personne d’autre ne
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r, car non seulement « le pire n’est pas toujours
sûr
», mais encore et surtout, le pire se limite par ses propres effets :
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déséquilibres, de conflits, dont on ne peut être
sûr
qu’ils finiront « bien », mais dont il est certain qu’ils perdraient
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nt un long tourment, et fort peu de jeunes gens «
sûrs
de leur vocation » peuvent se flatter de ne l’avoir jamais connu. Non
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plus cher ennemi, et finalement son allié le plus
sûr
. L’urbaniste écoutera le sociologue, le psychologue analysera l’écono