1
l’on n’écrivait que de la littérature religieuse,
sacrée
. En Inde, par exemple, il n’y a pas de romans qui racontent des petit
2
ralisé en vue de la guerre. C’est le culte du sol
sacré
de la patrie qui a engendré cet État-nation où coïncident, à l’intéri
3
de Nicolas de Flue », Encyclopédie des Musiques
sacrées
, vol. t. III, Paris, Labergerie, 1971, p. 119-121.
4
arisme, qui libère des contraintes effrayantes du
sacré
et du culte des morts, des mythes tribaux, des modes révérées de la C
5
e, la littérature érotique y est très développée,
sacrée
même. Tout le monde connaît le Kamasutra, ce cours d’initiation sexue
6
voirs au sein d’un territoire délimité — dès lors
sacré
. Mais nous voici au seuil de l’ère électronique, dont on peut facilem
7
premières apparitions, comme les épiphanies quasi
sacrées
d’un des grands mythes de l’âme occidentale. Mais qu’est-ce qu’un myt
8
antes. Ce serait aller de l’apparition d’un mythe
sacré
, voilant de poésie ses secrets religieux, jusqu’à son utilisation tou
9
sait que la passion vit d’obstacles, naturels ou
sacrés
, coutumiers ou légaux ; qu’elle s’en nourrit et même les invente au b
10
d’hui, dès lors que le mariage n’est plus un lien
sacré
, adversaire à la taille de la passion ; et que, loin de provoquer cel
11
t de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou
sacrés
, ont cédé à nos sciences, ou c’est tout comme. Qu’en est-il du dernie
12
ançais », plus que littérairement élogieux, quasi
sacré
, revient d’une manière obsédante dans les quelques pages de la préfac