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L’intégration de l’Europe… disons, d’un mot moins
savant
, l’union de l’Europe doit s’opérer sur tous les plans. Elle doit être
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trie mécanique de précision ; nous avons tous les
savants
qui pourraient rester chez nous s’ils disposaient d’un appareil de re
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ose écrire, à propos de la pollution et des gens
savants
qui s’en occupent : « Je donne aux inventeurs de cette psychose le pr
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e dissociative ; nouveau bain de culture pour les
savants
, et de science pour les culturels : voilà qui définit une vraie révol
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iie siècle, de l’allemand des philosophes et des
savants
au xixe , et de l’anglo-américain de nos jours. Le mot « évêque », pa
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evant « ceux qui savent » mais il croit mieux les
savants
d’aujourd’hui que les curés d’hier, ou les marxistes de tout à l’heur
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s avouer d’abord mes raisons d’en douter. I. Le
savant
et le citoyen Je lis sur la couverture d’un des ouvrages de prospe
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ser la prédiction de l’ère des devins à celle des
savants
». On nous dit aussi (mais je m’assure que ce ne sont pas les auteurs
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Sur quoi je lis l’ouvrage et je constate que nos
savants
(d’ailleurs honnêtes et scrupuleux) sont en fait des devins, car, att
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hèses sur Feuerbach, n° XI). Dans la mesure où le
savant
se veut observateur passif, il est mauvais citoyen, et dans la mesure
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istan, c’est l’étymologie de nos passions que ces
savants
ont retrouvée. Selon Littré : Les étymologies servent à faire entend