1
ein accord avec mon ami Louis Armand, sauf sur un
seul
point, c’est quand il dit que les mathématiques ne se prêtent pas à l
2
echnique dans certains cas. Ceci dit, j’aurai une
seule
remarque, non pas du tout en contradiction avec ce que vient de vous
3
du lecteur de la manière la plus précise dans une
seule
bonne direction sur les mille, sur les millions, sur l’infinité des d
4
d’un pacte non dénonçable au gré du Prince et des
seuls
intérêts de son État qui demeure inacceptable aux vrais croyants de l
5
ns se figurent — surtout en Suisse — que c’est la
seule
voie sérieuse. Que ce qu’il y a de sérieux quand on parle de l’Europe
6
tous les Européens. N’a jamais été l’apanage d’un
seul
de nos pays. Ne s’est jamais arrêté aux frontières actuelles de nos p
7
une « union » et non pas une unification. Car la
seule
union que je vois possible pour l’Europe, et la seule à laquelle la S
8
e union que je vois possible pour l’Europe, et la
seule
à laquelle la Suisse puisse adhérer de tout cœur, c’est une union dan
9
ux, où vous écrivez : « L’Europe fédérée reste la
seule
solution praticable. » Pensez-vous que la Suisse comprenne exactement
10
e. Aucun d’entre eux ne pourrait se défendre tout
seul
contre les puissants voisins. Ils n’ont pu défendre leurs petites aut
11
ation, je dis bien, selon la formule fédérale, la
seule
qui puisse être acceptable aux yeux des Suisses ? On n’a jamais fait
12
roi Marc, mari d’Iseut), quand ils se retrouvent
seuls
dans la forêt, ils inventent un autre obstacle pour préserver leur pa
13
et que c’est ce type d’union pluraliste qui peut
seul
assurer la paix de l’Europe ! Il me semble ainsi que l’idée européenn
14
rver les bénéfices de notre fédéralisme pour nous
seuls
, serait le plus sûr moyen de les perdre ! h. Rougemont Denis de, «
15
ception, dans la vie des hommes d’aujourd’hui. Un
seul
exemple : le dogme de la Trinité, hors de la tradition ecclésiastique
16
t perdues une à une si nous refusons l’union qui,
seule
, ferait leur force ; mais en retour, cette union ne saurait être acqu
17
éographie et l’histoire par nations. Alors que la
seule
unité d’étude intelligible est une culture, c’est-à-dire, dans notre
18
tenir de petites communautés, lesquelles sont les
seules
à même de protéger l’individu, de l’amener à se sentir encadré. Les r
19
rope ? Le fédéralisme n’est pas possible dans une
seule
nation. L’État national constitue donc l’obstacle principal. Je pense
20
ien aux États-Unis. Ces derniers ont sur nous une
seule
supériorité : celle du « management », parce qu’ils disposent d’un gr
21
s ont l’air de l’être ? Ne sont-ils pas plutôt un
seul
et même mouvement qui pourrait se définir ainsi : adapter le niveau d
22
ère que le fédéralisme constitue pour l’Europe la
seule
chance réelle de dépasser les contradictions et les affrontements pro
23
r, animé qu’il est par la certitude d’exprimer la
seule
issue pour l’Europe. Nous avons soulevé un certain nombre de ces prob
24
nsée, de l’art roman jusqu’au surréalisme. Pas un
seul
de ces foyers culturels n’a coïncidé avec les frontières nationales.
25
oi nous précipite l’évolution actuelle. La région
seule
nous permettra de « faire l’Europe », sur la base de ses réalités, et
26
e », sur la base de ses réalités, et nous offrira
seule
les structures nécessaires à toute vraie participation. Mais la régio
27
: peupler et animer une scène immense autour d’un
seul
personnage important, le Solitaire par excellence ! Revenir au théâtr
28
e. Je tombe bien : Honegger vient d’écrire que la
seule
forme théâtrale à laquelle il croit pour l’avenir est « celle qui arr
29
inq nations, chacune trop petite pour se défendre
seule
, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’une souveraineté de plu
30
r se défendre seule, et chacune acharnée à rester
seule
, au nom d’une souveraineté de plus en plus mythique — cette Europe di
31
.) Or il se trouve que cette formule fédéraliste,
seule
pratiquement possible pour l’Europe, est en même temps la seule formu
32
ment possible pour l’Europe, est en même temps la
seule
formule européenne pratiquement acceptable pour la Suisse. Tout serai
33
en moyenne, elles n’ont même pas un siècle d’âge.
Seules
la France, l’Angleterre et l’Espagne comptent, comme État, cinq ou si
34
faisait observer un jour Étienne Gilson —, pas un
seul
des grands professeurs n’était français : ils étaient napolitain comm
35
u sud, et naturellement le français, imposé comme
seule
langue officielle par l’édit de Villers-Cotterêts donné par François
36
a rien pour nous effrayer, puisque nous sommes le
seul
pays européen qui n’ait pas pris la forme d’un État-nation au siècle
37
s la forme d’un État-nation au siècle dernier. Le
seul
constitué par la libre adhésion, non par la conquête des communautés
38
quête des communautés qui le constituent. Donc le
seul
qui n’ait rien à redouter de la disparition des frontières. Mais je v
39
e ! Helvétiser l’Europe, cela ne se fera pas tout
seul
. C’est maintenant ou jamais que la Suisse doit prendre l’initiative d
40
ort d’un Européen à la culture européenne — notre
seule
unité fondamentale, répétons-le — n’est pas exceptionnel : il est irr
41
rrécusable. J’entends qu’il est universel. Pas un
seul
d’entre nous n’y échappe. Que nous soyons « très cultivés » ou illett
42
annexées par les rois de France le français comme
seule
langue officielle. Elles n’ont pas empêché non plus les dragonnades l
43
ité. En revanche, tout héritier est hérétique, du
seul
fait qu’il ne peut embrasser la totalité de l’héritage. Ses données g
44
i, prisonnier d’un « ensemble » où chacun se sent
seul
et coupé de l’Histoire autant que de la nature, a tout ce qu’il faut
45
programme génétique, si elles sont ce qui permet
seul
de le dépasser. Tout cela n’existe guère comme vertus, ou s’est vu dé
46
manique, où les hommes porteurs de l’épée étaient
seuls
aptes à la liberté, parce que l’épée est le signe de la liberté pour
47
e publique il n’y en a pas. Je n’en vois pas. Les
seules
que nous croyons voir, que nous imaginons voir, c’est à cause de ce v
48
on soit un “oui franc et massif”. À dire vrai, la
seule
originalité de la votation de ce week-end réside dans le fait que c’e
49
es des années 1930, Arnaud Dandieu définissait la
seule
révolution que je tienne aujourd’hui encore pour nécessaire et réalis
50
s ce domaine, sur la base des entités régionales,
seules
réelles, et de leurs interdépendances. Or ces entités sont souvent dé
51
ailleurs va subir un bouleversement recréateur du
seul
fait de l’oblitération des paramètres nationaux, remplacés par une pl
52
r les deux êtres, à réduire l’autre à la loi d’un
seul
. Qui a dit que l’amour rendait libre ? Celui-là charge les gens de ch
53
ns l’un ou dans l’autre. Tristan est l’homme d’un
seul
amour fatal. Don Juan, héros d’un siècle cynique, le xviiie , incapab
54
e des choses quand on les perd. Je n’étais pas le
seul
dans ce cas à New York. Quand j’ai rencontré Einstein, à Princeton, i
55
existence humaine à la bureaucratie anonyme d’une
seule
capitale : c’est-à-dire à personne. Les démocraties capitalistes et l
56
ques idéologues ont eu l’idée d’en faire. Pas une
seule
de nos révolutions n’a réussi. Dans ce sens, on ne peut pas être trop
57
re responsabilité personnelle, ce que nous sommes
seuls
à pouvoir faire au monde. Le diable compte sur la lâcheté qui est en
58
t du quartier. Il était tard, les patrons étaient
seuls
, et l’on s’est écrié en me voyant entrer : « Voilà le diable ! ». J’a
59
lus dès lors qu’on ne saurait s’associer avec soi
seul
, ni se fédérer isolément. Pour Littré, la Confédération est « l’union
60
ne certaine autonomie, s’associent pour former un
seul
État à l’égard des puissances étrangères » et il donne comme exemples
61
raux ». D’où l’on conclut en bonne logique qu’une
seule
et même réalité correspondant aux deux mots, ceux-ci sont équivalents
62
es ajoutées à l’article « Fédéralisme », et à lui
seul
— l’une affirmant que ce régime était en Amérique, selon Chateaubrian
63
onfédération se distinguent en ce que la première
seule
de ces deux formes possède la souveraineté, manifestée par le droit d
64
européen, constitué selon la même formule, serait
seul
capable de garantir effectivement l’autonomie de chacun de nos peuple
65
ères. Tout se ramène donc, en fin de compte, à la
seule
alternative sérieuse du siècle : État-nation fermé ou société fédéral
66
l’avenir de l’humanité. Et il y est contraint du
seul
fait que, pour la première fois, il en a la possibilité — la liberté.
67
Histoire — il y a toujours des accidents. Mais le
seul
fait qu’ils nomment cauchemars certains complexes de phénomènes et pa
68
ces pages à l’Europe de l’Ouest, c’est-à-dire au
seul
ensemble des nations dont les situations de départ (traditions inclus
69
édiable de l’environnement : pavillons dignes des
seuls
« chiens méchants » qui les défendent, clôtures agressives, lent défe
70
aces géométriques socialement stériles, voués aux
seules
parades militaires. Mais si le peuple d’une cité trop vaste ne peut p
71
des principes jacobins. La centralisation dans un
seul
lieu, ou capitale, de tous les ordres de pouvoir (législatif, exécuti
72
la réduction de tous les niveaux de décision à un
seul
, au sommet ministériel dans la capitale, rendent minimales ou nulles
73
ation, d’autre part de perdre — en voulant rester
seul
— le plus clair de son « indépendance » : il ne pourra longtemps surv
74
t culturelle de tout son territoire : les régions
seules
peuvent le faire. L’État-nation était trop petit pour jouer un rôle à
75
« le plus actif des gouvernements est celui d’un
seul
», « le nombre des chefs diminue en raison de l’augmentation du peupl
76
à détruire, construits dans l’anarchie et sur la
seule
notion de rapport financier, par les soins de la génération actuelle,
77
ionnaires » et les « idées subversives » dans les
seules
élites dirigeantes mais non plus possédantes, les « masses » (ex-prol
78
rer et de refuser sont en effet les attributs des
seules
élites. Le passage de la masse aux élites consiste en l’acte de conte
79
ux ceux qui peuvent les utiliser. À la limite, un
seul
, qui est le chef de l’État, peut aujourd’hui se faire entendre de tou
80
narchisante contre toute forme de société réglée.
Seule
, l’alternance bien tempérée (ou la coexistence actuelle-potentielle)
81
l’idée se fait jour en lui que ce n’est plus aux
seuls
« besoins de l’économie » qu’il s’agit désormais de répondre (ils ne
82
chercher à comprendre le reste, au technicien du
seul
rendement (qui est en fin de compte la rentabilité), nous pouvons et
83
qui tournait lentement, merveilleuse, éclatante,
seule
vivante, bleue, verte et blanche dans le noir éternel, et je l’avais
84
et vitrée, là où jadis se fût abrité un couvent.
Seuls
les arbres nous cachent encore la ville unique, sa présence partout i
85
ècle traversait les deux chaînes des Alpes à leur
seul
point d’intersection, et reliait ainsi d’un seul trait les deux moiti
86
seul point d’intersection, et reliait ainsi d’un
seul
trait les deux moitiés du Saint-Empire. Les communes forestières fure
87
ent borné, comme le dernier mot de l’Histoire, la
seule
forme pensable de société humaine. Et du même coup, elle tend à nous
88
on, il faut que l’École cesse d’enseigner que les
seules
réalités sont les États-nations, car ceux-ci par principe s’opposent
89
ouveraineté nationale est un absolu religieux, le
seul
que l’on vénère encore et que les Pouvoirs de l’Ouest comme de l’Est
90
ation que, dans l’état actuel des choses, l’École
seule
est en mesure de leur donner ? Jusqu’ici, elle était censée, officiel
91
fait par la commune, doit l’être par la commune.
Seules
les tâches qui sont trop vastes pour être réalisées par une commune,
92
est impossible de réaliser le fédéralisme dans un
seul
pays. La Suisse ne peut pas rester un régime réellement fédéraliste s
93
ster un régime réellement fédéraliste si elle est
seule
, si elle est entourée d’États unitaires. Elle sera forcée de se prése
94
it pas d’uniformiser tout le monde et de voir une
seule
croyance imposée à tout le monde. Vous avez parlé d’écologie et vous
95
qui tournait lentement, merveilleuse, éclatante,
seule
vivante, bleue, verte et blanche dans le noir éternel, et je l’avais
96
la Suisse de son temps ne constituait plus qu’une
seule
ville. Il ne parlait que du Plateau, ce « Pays des Collines », comme
97
et vitrée, là où jadis se fût abrité un couvent.
Seuls
les arbres nous cachent encore la ville unique, sa présence partout i
98
en oublié, mais qui reste, précisément, par cette
seule
phrase sur la culture. On l’a prise pour une boutade. J’y vois plutôt
99
par la date même de la formation de nos nations :
seules
la France, l’Espagne et la Grande-Bretagne peuvent se targuer de quel
100
s, ou le drapeau ou la monnaie qu’on y vénère. La
seule
culture qui puisse être sucée avec le lait, assimilée, vécue et contr
101
i est théologique, cosmologique et politique d’un
seul
mouvement — une grande phrase d’Héraclite prophétise le comportement
102
mes, ou d’illusions phénoménales (voile de Maya).
Seule
l’Europe a osé dépasser le stade de l’initiation (alpha et oméga des
103
ion (alpha et oméga des cultures jusqu’à nous) et
seule
elle a couru le risque de promouvoir l’originalité de la personne, d’
104
e de l’âme. Je voudrais résumer leur œuvre en une
seule
expression moins pédante qu’elle ne paraît à première vue : avec la l
105
r. Le mari, lui, partage la vie d’Iseut. Il reste
seul
vivant, mais sans amour. Aux yeux du mythe, il est perdant. ⁂ À ce pr
106
et qui s’atrophie, entre le corps et l’intellect
seuls
cultivés par notre civilisation ? L’hygiène, la technique et la scien
107
amour qui s’adresse à la part immortelle que lui
seul
pourra deviner, ou susciter dans l’autre ; la part de l’Ange. Pétrarq
108
asbourg, d’Eilhart d’Oberg, et du Roman en prose.
Seuls
, Joseph Bédier en 1908 et André Mary en 1941, ont osé récrire la lége
109
us démène ! (Amors par force vos demeiné) — un
seul
vers qui nous jette au cœur du Mythe et qui demeure, à tout jamais, l
110
e, au sens fort, ni dans les réalités économiques
seules
, ni dans la politologie seule, ni dans l’histoire seule, ni dans la c
111
alités économiques seules, ni dans la politologie
seule
, ni dans l’histoire seule, ni dans la culture, la démographie, la thé
112
ni dans la politologie seule, ni dans l’histoire
seule
, ni dans la culture, la démographie, la théologie, la psychologie des
113
gie, la psychologie des peuples, ou la sociologie
seules
. Pas une seule de ces disciplines ne serait capable de saisir l’Europ
114
gie des peuples, ou la sociologie seules. Pas une
seule
de ces disciplines ne serait capable de saisir l’Europe dans son être
115
liser ? Notre taille, Dieu merci minuscule ! Elle
seule
permet la coexistence quotidienne des diverses disciplines et des ens
116
lles sont plus arbitraires, pour la commodité des
seuls
fonctionnaires et la rapidité des mobilisations. Or cet État-nation,
117
bstacle majeur à l’union du continent, qui est le
seul
moyen d’échapper à la colonisation de nos pays par l’appareil soviéti
118
s vingt-huit États européens ne peut plus assurer
seul
sa défense militaire et sa prospérité, son équipement technologique e
119
es nucléaires et des catastrophes écologiques. Le
seul
remède aux trop petites dimensions ne serait-il pas la création d’age
120
huit nations chacune trop petite pour se défendre
seule
, et chacune acharnée à rester seule, au nom d’une souveraineté de plu
121
r se défendre seule, et chacune acharnée à rester
seule
, au nom d’une souveraineté de plus en plus mythique — cette Europe di
122
ou Waldstätten, sises autour du col du Gothard, à
seule
fin de sauvegarder leurs vraies diversités, leur autonomie judiciaire
123
r. Or il se trouve que cette formule fédéraliste,
seule
pratiquement possible pour l’Europe, est en même temps la seule formu
124
ment possible pour l’Europe, est en même temps la
seule
formule européenne pratiquement acceptable pour les nations qui ont d
125
en moyenne, elles n’ont même pas un siècle d’âge.
Seules
la France, l’Angleterre et l’Espagne comptent, comme État, deux à cin
126
faisait observer un jour Étienne Gilson —, pas un
seul
des grands professeurs n’était français : ils étaient napolitain comm
127
talien et naturellement le français, imposé comme
seule
langue officielle par l’édit de Villers-Cotterêts donné par François
128
ncièrement une, et que cette unité de base permet
seule
de définir l’Européen. On se rappelle la page fameuse de Paul Valéry
129
L’Europe que nous devons vouloir et qui est la
seule
que nous puissions espérer, ne sera jamais un laborieux et problémati
130
es tes allégeances doivent désormais relever d’un
seul
pouvoir central qui les limitera à un seul territoire, je crierais au
131
r d’un seul pouvoir central qui les limitera à un
seul
territoire, je crierais au fou, — et ce fou serait Napoléon, Hitler,
132
ion du régime fédéraliste tel que je le conçois —
seul
possible pour l’Europe réelle — et c’est aussi condition de la libert
133
llait dans Rhône-Alpes, ce serait en vertu de ses
seuls
intérêts, non pas de ceux de la région, et ses déficits seuls, sous f
134
ts, non pas de ceux de la région, et ses déficits
seuls
, sous forme de « coûts externes » (forêts détruites, pollution en tou
135
ont les grandes firmes et l’État central seraient
seuls
à se partager les avantages éventuels. La prétention compétitive sera
136
dant de l’État-nation napoléonien, défini par ses
seules
frontières — ces « cicatrices de l’histoire »23 — et pas seulement le
137
qui nous porte à la fédération du continent. Car
seules
les petites unités accepteront de se fédérer. Pour défendre leurs lib
138
ncel —, les frontières ne sont plus utiles qu’aux
seuls
douaniers, lesquels, pour la plupart, aimeraient faire autre chose qu
139
ersée (54 % de catholiques à Genève). Restent les
seules
frontières, les seuls cordons douaniers, sacro-saints pour Paris, par
140
ues à Genève). Restent les seules frontières, les
seuls
cordons douaniers, sacro-saints pour Paris, partout ailleurs indéfend
141
ord, puis continentales et mondiales. (Les mythes
seuls
sont stato-nationaux.) Tout dépend de l’éducation, au cours des trois
142
cune raison que ces fonctions correspondent à une
seule
et même aire géographique. Citez-nous un exemple. À l’Institut univer
143
itre dans les pays où il est devenu l’affaire des
seuls
partis, car ceux-ci ne correspondent plus à grand-chose aujourd’hui.
144
uilibres entre l’homme et la nature plutôt que du
seul
profit matériel. Et les sociétés multinationales ? Vous dénonce
145
enseigner l’histoire et la géographie à partir du
seul
cadre national, et vous avez suggéré que l’on parte plutôt de l’envir
146
puis de l’Europe et du monde. Et non pas sur les
seuls
mythes nationaux. Si enthousiasmantes que puissent être les leçons su