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nse que nous allons maintenant vers un état de la
société
où, tout doucement, l’aiguille va passer du travail au loisir et ce s
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e la bonne politique. 1. Le Fédéralisme et la
société
canadienne, Paris, Robert Laffont, 1968. 2. L’Avenir du fédéralisme
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il possible de changer le système actuel de notre
société
, irréversible course au profit ? Mais le système de la société actuel
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versible course au profit ? Mais le système de la
société
actuelle n’existe pas ! Il y a précisément une crise universelle ! Il
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tout pour que l’on freine le développement de la
société
; je suis au contraire pour qu’on le pousse, beaucoup plus que nos co
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dimension et d’organisation des pays ? Le type de
société
que vous évoquez prend ses distances par rapport à la notion du profi
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haux-de-Fonds, 400 figurants fournis par diverses
sociétés
, et l’on fabriquera les costumes à domicile. Je tombe bien : Honegger
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ois la somme et le produit complexe de nombreuses
sociétés
, de civilisations affrontées, mélangées, superposées, partiellement a
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ne injustice (4 février 1971)z aa « Dans notre
société
européenne, depuis le xiie siècle, les femmes ont été l’agent princi
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armé, ce qui est un anachronisme complet dans la
société
actuelle, où même la guerre n’est plus faite par les gens qui portent
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ques de l’homme guerrier et si l’on entre dans la
société
actuelle, je défie qui que ce soit de m’expliquer en quoi les hommes
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orce physique qui comptait, alors que, dans notre
société
actuelle, il est impossible qu’on vous démontre en quoi la force phys
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est la sécrétion normale de la Société, car nulle
société
ne peut vivre sans feux verts et sans feux rouges. Savez-vous quel es
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, mais aussi à nos démocraties capitalistes, à la
société
de profit que nous appelions le « désordre établi ». Nous ne voulions
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aujourd’hui la même question : sur quoi bâtir une
société
? Niveau de vie ou mode de vie ? Je me suis senti justifié. La jeunes
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deux ou trois millénaires, et qui caractérise la
société
européenne. D’autres cherchent à bâtir l’Europe de l’économie ; moi,
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tout est perdu : l’homme, le couple, la cité, la
société
, et vous avez le totalitarisme. Quand l’homme ne sert plus à rien, n’
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tourner les institutions de la tyrannie. Mais une
société
ne se retourne pas comme un homme. Il ne suffit pas de toucher deux o
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militaire, qui se cache derrière la morale d’une
société
, la justice, l’obéissance, la discipline. Et, du même coup, ils viden
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respectabilité, ce qui est vraiment atteindre une
société
en plein cœur. Peut-on rencontrer le diable ? J’ai écrit un jour : «
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rnative sérieuse du siècle : État-nation fermé ou
société
fédéraliste ouverte. ag. Rougemont Denis de, « Fédération ou confé
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ture d’activité de l’homme : son activité dans la
société
, c’est-à-dire dans la cité. Polis en grec donne politique, civitas en
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ar poly, beaucoup) et ce qui fait de la foule une
société
: le principe qui associe les hommes dans la cité — nécessité, idéal,
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n besoin doublement frustré dans les villes de la
société
industrielle, où l’homme cherche en vain le refuge paisible ou la vra
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dépendent des niveaux communautaires existants :
société
, paroisse, club, atelier, entreprise au niveau communal, et organisme
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nthèse et une conscience des fins dernières de la
société
qu’on ne saurait exiger ni des spécialistes aux sources, ni des agent
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pable de situer un problème dans l’ensemble de la
société
où il vit, de sa culture, de ses valeurs communes ; ou simplement ell
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prévenus. On arrive assez vite à un clivage de la
société
en deux classes : celle qui reçoit l’information en temps utile, et q
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a dérision de ses prétentions absolues. Une autre
société
naîtra parmi ses ruines. Mais la prolétarisation civique, persistante
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re résolu en théorie dès les années 1980. Mais la
société
de l’an 2000 n’en sera pas moins compromise par la survivance encombr
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que l’on doit parler de deux classes divisant la
société
européenne tout entière : au lieu des libres et des serfs du Moyen Âg
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uisses) avec l’avènement des grandes villes de la
société
absolutiste, puis de la société industrielle, par suite de l’accroiss
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ndes villes de la société absolutiste, puis de la
société
industrielle, par suite de l’accroissement des populations, cent ou m
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inadaptation aux dynamismes et aux besoins de la
société
post-industrielle leur ménage un avenir de plus de deux ou trois déce
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pour le plus grand nombre. En revanche, dans une
société
telle qu’on peut l’envisager possible aux environs de l’an 2000 (si c
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d’autre part. Les objectifs politiques, dans une
société
dont les structures favorisent la participation à tous les niveaux, c
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t à la révolte anarchisante contre toute forme de
société
réglée. Seule, l’alternance bien tempérée (ou la coexistence actuelle
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également ruineuse des fondements mêmes de toute
société
politique. Celui qui ne révère plus rien, que fera-t-il pour son proc
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e. Il vivra dans la frange effervescente de notre
société
occidentale, avec les objecteurs sociaux et politiques. Il aura pour
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u profit : celle du sens de ma vie, du sens de la
société
, et du sens de ma participation — ou non — à cette société. Prenons l
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et du sens de ma participation — ou non — à cette
société
. Prenons l’exemple de l’ingénieur. Hier, il était ingénieur pour prod
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eurs actionnaires), mais plutôt aux besoins de la
société
humaine, de la communauté humaine sous toutes ses formes : municipale
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bonne nouvelle pour la science autant que pour la
société
. Car notre science est née de la culture, et doit sans cesse s’y repl
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nque retour anarchisant à l’état prétechnique des
sociétés
humaines. Il s’agit au contraire de le calculer, avec autant de soins
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ls dans deux facteurs des plus déterminants de la
société
industrielle : l’accroissement anarchique des villes, et les autos. L
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ier mot de l’Histoire, la seule forme pensable de
société
humaine. Et du même coup, elle tend à nous faire croire que cet État-
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s passifs d’un État sans visage, et rouages d’une
société
mécanisée, mais bien des citoyens actifs et responsables de leurs app
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une Europe unie, équilibrée, et pour une nouvelle
société
, condition de la paix mondiale ? Commencer l’action en faveur d’un ci
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urés, comme on sait qu’il est de règle dans notre
société
« européenne » par antiphrase — en réalité nationale-matérialiste. To
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alitaires. Nous étions contre l’atomisation de la
société
capitaliste ; nous étions contre la collectivisation de la société, f
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te ; nous étions contre la collectivisation de la
société
, fasciste ou stalinienne. Nous étions pour une troisième voie, qui ét
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riage vers un au-delà où il n’a plus besoin de la
société
et du monde. Il a tout dans une femme, il se sépare du monde et il me
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. Je fais également partie d’un certain nombre de
sociétés
. Je paie des impôts à une dizaine de sources différentes. Donc, rien
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l’entourent symbolisent les grandes forces de la
société
et les tensions qui naissent de leur concours. Tension entre l’Église
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ls dans deux facteurs des plus déterminants de la
société
industrielle : l’accroissement anarchique des villes, et les autos. L
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e qu’il doit, depuis le xiie siècle, et dans nos
sociétés
occidentales, son pouvoir à jamais contagieux. Cela posé, considérons
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une dose de psychanalyse, vont-elles exorciser la
société
future, évacuant les dernières passions ? ⁂ Une analyse sociologique
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ge commun, de commune mesure, fondements de notre
société
. Nos universités devenaient autant de tours de Babel : leurs finalité
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du xxe siècle : à la croissance si rapide de nos
sociétés
nationales, à leur excessive distension, répondent, quasi mécaniqueme
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mmuniste.) Enfin, j’appartiens à une vingtaine de
sociétés
locales, régionales, continentales et mondiales, et je sais très bien
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est de lui — dans son projet de remodelage de la
société
occidentale. Cette utopie, c’est l’Europe des régions. Depuis vingt-c
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rtir de nos vies quotidiennes, pour aboutir à une
société
organisée à l’échelle continentale. La formule de l’État-nation est à
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ure plutôt que du seul profit matériel. Et les
sociétés
multinationales ? Vous dénoncez l’existence des États-nations comm
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nales. Et les grands pouvoirs économiques, et les
sociétés
multinationales ? Ne constituent-ils pas une entrave tout aussi puiss
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ne entrave tout aussi puissante ? L’existence des
sociétés
multinationales est une démonstration de l’inadaptation de l’État-nat
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de l’ordre d’un millier d’années ! Bien sûr, les
sociétés
multinationales peuvent contrecarrer certains intérêts nationaux, mai
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ser que… Notez que je ne me fais pas l’avocat des
sociétés
multinationales ! … sans se faire l’avocat du diable, on peut penser
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ut penser néanmoins que le souci d’adaptation des
sociétés
multinationales profite essentiellement à ces dernières ! Certes, ell