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t locales. Cela veut dire qu’il n’y a pas d’autre
solution
à la fois désirable et praticable que l’union dans la diversité, c’es
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vous écrivez : « L’Europe fédérée reste la seule
solution
praticable. » Pensez-vous que la Suisse comprenne exactement ce qu’es
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et si hautement diversifiée, je répondrai que la
solution
se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi formulé : car l’uni
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ir au théâtre grec, avec son chœur ? Ce serait la
solution
formelle ; encore faudrait-il l’adapter à la structure chrétienne du
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que l’Europe n’avait plus le choix qu’entre deux
solutions
: la balkanisation et l’helvétisation. Ce diagnostic est, si possible
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e doit prendre l’initiative de proposer sa propre
solution
fédéraliste, de l’exposer en temps et hors de temps, et d’exiger enfi
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n naît. » Je suis certain que nous irons vers des
solutions
fédéralistes, régionalistes, parce qu’il n’y en a pas d’autres. Mais
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ets qui se posent dans cette région appellent des
solutions
transfrontalières. Et chaque problème définit une région différente e
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me dans notre avenir prochain, j’imagine quelques
solutions
qu’il va s’agir de réaliser simultanément : 1. Créer des agences fédé
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rincipalement sur les problèmes européens et leur
solution
. Son œuvre, traduite en plusieurs langues, lui a valu diverses distin
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ique, tout comme l’État-nation, nomme hérésie. La
solution
fédéraliste m’apparaît donc comme la transposition en termes d’aménag
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ets qui se posent dans cette région appellent des
solutions
transfrontalières. Et chaque problème définit une région différente e