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, qu’elle soit fédéraliste ou qu’elle en reste au
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des États-nations. Bien sûr, si l’on prend, par exemple, le problème
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ous les grands courants européens — en sautant le
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national : voilà l’Europe de la culture, voilà, identiquement, la Sui
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sur les frontières. C’est dire que là encore, le
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stato-national paraît condamné à s’effacer progressivement devant les
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age très particulier du terme individualisme à ce
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de la pensée de Dandieu (cf. supra « individualisme agressif » dans l
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uteur à des enfants n’ayant pas encore atteint le
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réflexif-critique, n’est pas une atteinte à la liberté de jugement ma
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evenue, après l’échec des mouvements d’union — au
stade
des États-nations qui se disent souverains, se veulent indépendants,
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ope a réussi à s’unir, c’est-à-dire à dépasser le
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des États-nations centralisés de modèle jacobin-napoléonien, elle off
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ésulter des changements prévisibles d’échelle, de
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d’évolution et de moyens techniques. 1. L’information L’informat
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’est de la rêverie absurde de vouloir dépasser ce
stade
. Or, l’État-nation nous empêche de faire l’Europe. Et il nous faut fa
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(voile de Maya). Seule l’Europe a osé dépasser le
stade
de l’initiation (alpha et oméga des cultures jusqu’à nous) et seule e