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t nous écrit : Au sujet de la brève interview par
téléphone
que vous avez bien voulu publier dans votre numéro du 24 mars, permet
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938, au milieu de l’après-midi, je suis appelé au
téléphone
par un ami qui est à la radio suisse. Est-ce la guerre, qu’on attend
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catastrophe réglerait tout. Sur quoi, le coup de
téléphone
que j’ai dit, toute la vie qui se reprend à vivre, les délais à couri
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œurs que j’ai prévus. Quelquefois il m’appelle au
téléphone
: « Au 5e vers, 3e reprise du Choral I, il manque une syllabe. — Ah ?
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e atomique , à la suite de Hiroshima. Un soir, le
téléphone
sonne. J’entends : « Ici, Einstein. » C’est un peu comme si vous ente
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n fer tordu, en pierraille lépreuse. » Un coup de
téléphone
du chef des services de renseignements de l’armée suisse m’apprit qu’
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ns l’échange si difficilement combiné de coups de
téléphone
, de lettres et de photos dont il faut se contenter aujourd’hui, le pl
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ys a besoin de communications, routes, autobus et
téléphone
, et de stations d’épuration. Les chemins de fer et l’autoroute y font