1 a fédération européenne l’imposition d’un volapük universel . Mais à vrai dire, c’est l’idée même d’un pacte non dénonçable au gré

2 uelle n’existe pas ! Il y a précisément une crise universelle  ! Il faut faire maintenant quelque chose pour établir un ordre univer

3 re maintenant quelque chose pour établir un ordre universel nouveau. Le monde est à la limite de ses possibilités : les lacs ne s

4 pour les surmonter par le recours à des instances universelles , et toutes les créations qui ne cessent de jaillir de cette discorde

5 oussera l’ordre et la stabilité dans l’uniformité universelle jusqu’à l’irrémédiable et dangereux Ennui, jusqu’à ce vide de l’âme i

6 tionnel : il est irrécusable. J’entends qu’il est universel . Pas un seul d’entre nous n’y échappe. Que nous soyons « très cultivé

7 n élan libérateur qui nous porte à la fois vers l’ universel et vers la personne. De la conclusion d’une conférence qu’il donnait

8 Nous rencontrons, d’une part, un mouvement vers l’ universel , où l’individualisme agressif tend à créer, au-dessus de toutes les f

9 unis d’un lien indissoluble. Cette liaison de l’ universel et du personnel, de la fédération et des autonomies — liaison constit

10 à celle-ci « son ressort essentiel, son caractère universel  », et l’a condamnée à l’échec. Il citait comme un exemple plus frappa

11 onaliste conçoit comme contraires : l’élan vers l’ universel (communautaire, fédératif) et la prise sur le particulier (régional,

12 tre cette démission du spirituel et ce refus de l’ universel qu’est le stato-nationalisme centraliste, trahison de la révolution l

13 ressif ») engendre la communauté, s’élance vers l’ universel , tandis que l’individu est le produit passif de la décomposition soci

14 e s’arrête aux nations, entre le particulier et l’ universel . Écologie Cette science nouvelle est à la fois, par excellence,

15 niers de l’homme. Or s’il est vrai que ces buts — universels et personnels — transcendent toute communauté, ce n’est pourtant qu’a

16 t nulle, la participation passive, obligatoire et universelle , est donc totale. Les limites extrêmes de la participation sont ici r

17 ion aux décisions locales est la plus efficace et universelle . À mesure qu’on s’élève dans l’échelle des niveaux de décision corres

18 sance lointaine, ou la Grande Machine, ordinateur universel et omniscient ; dans tous ces cas, l’agent est en mesure de « sonder

19 ation particulière avec la fin de la conscription universelle et obligatoire dans le cadre stato-national tombé en désuétude. Mais

20 uction d’une découverte scientifique en pollution universelle . On ne peut plus s’en remettre au Temps pour adapter, roder, domestiq

21 de stations d’essence au service de la pollution universelle . Or les autos figurent l’emblème du paradoxe majeur de notre civilisa

22 planétaire et local, c’est-à-dire à la fois plus universel et plus particulier que celui des nations modèle xixe siècle. À mesu