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s Suisses sont timides et qu’ils en font même une
vertu
, sous le nom de modestie. Qu’ils fassent donc un effort, un courageux
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Car la « pureté » d’une langue n’est nullement sa
vertu
, comme l’a fait voir T. S. Eliot. L’anglais, dit-il, « offre le plus
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lle qu’il nous est possible de dilapider. Car ces
vertus
ne contraignent pas l’individu comme le fait un programme génétique,
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ul de le dépasser. Tout cela n’existe guère comme
vertus
, ou s’est vu décrié dans les cultures antiques de l’Inde, de la Chine
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mais dont il est certain qu’ils perdraient toute
vertu
créatrice s’ils pouvaient être « réglés » ou « contrôlés » d’avance p
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aujourd’hui sont en bonne voie de redécouvrir les
vertus
des groupements restreints, à l’heure où la Suisse est tentée de les
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tats pratiquent cet hommage que le vice rend à la
vertu
, qui est cette hypocrisie de l’union, plutôt que de se faire la guerr
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aujourd’hui sont en bonne voie de redécouvrir les
vertus
des groupements restreints, à l’heure où la Suisse est tentée de les
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tre magique de la Reine, du « vin herbé » dont la
vertu
jadis fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi transfigurante.
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iversitaire d’études européennes n’est-il pas, en
vertu
même de son titre, condamné à la spécialisation ? En vertu même de l’
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e de son titre, condamné à la spécialisation ? En
vertu
même de l’objet de ses études, qui est l’Europe, il me paraît condamn
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loise, note : « Il trouvait dans son héritage des
vertus
de prudence, d’ordre et d’autorité, un goût marqué pour l’argumentati