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élévisions, notamment pour introduire un angle de
vision
plus européen dans les programmes. Et alors, on se disait : « Qu’est-
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s le plus développé et d’autres pour qui c’est la
vision
. On peut combiner aussi les deux choses. Je pense que c’est une affai
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ntinent, qui est beaucoup plus grand, on aura une
vision
plus conforme aux réalités dans tous ces domaines. Toutes les activit
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a failli périr, mais encore ils faussaient notre
vision
de l’histoire et le sens même de la vie de l’esprit. La vérité qu’on
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ectés, à doses variables, et qui ont éduqué notre
vision
du réel, que nous le sachions ou non, que nous soyons cultivés ou non
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la culture a imposé peu à peu un certain angle de
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, qualifiant et orientant l’union possible de l’Europe sur la base de
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ue implique une idée de l’homme, et par suite une
vision
des communautés qui la traduisent en structures religieuses, éthiques
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olution prévue : ils contribuent à la freiner. La
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angoissante projetée par les démographes a déclenché des processus va
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’évolution démographique par la rétroaction de la
vision
d’avenir. En d’autres termes, la vision deviendra fausse parce qu’ell
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ion de la vision d’avenir. En d’autres termes, la
vision
deviendra fausse parce qu’elle était juste au début ; ou, pour pousse
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oyenne des émetteurs-récepteurs individuels (son,
vision
en relief, toucher peut-être un jour ?) qui ne manqueront pas de se m
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la campagne », et la campagne les pénètre. Cette
vision
champêtre correspond aux clichés (« Le Suisse trait sa vache et vit p
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oriographes et de géographes. Par ailleurs, cette
vision
de l’Histoire (et du même coup de la géographie, de l’économie, de la
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gues, d’art et d’instruction civique, un angle de
vision
européen : telle a été dès l’origine l’idée directrice de la Campagne
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le plus grand respect pour des hommes qui ont une
vision
politique du développement de l’humanité. Jean Monnet, par exemple. L
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la campagne », et la campagne les pénètre. Cette
vision
champêtre correspond aux clichés (« Le Suisse trait sa vache et vit p
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a failli périr, mais encore ils faussaient notre
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de l’histoire et le sens même de la vie de l’esprit. La vérité qu’on
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ectés, à doses variables, et qui ont éduqué notre
vision
du réel, que nous le sachions ou non, que nous soyons cultivés ou non
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n de spécialistes, mais de citoyens qui aient une
vision
générale de la vie, qui équilibrent les différentes fonctions de la c