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hoses les plus difficiles à comprendre, et même à
vivre
, que je connaisse. De toutes les doctrines politiques, c’est certaine
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régions sera complexe, mais combien plus simple à
vivre
! Je vois l’Europe comme un grand jardin plein de surprises, mais un
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us entoure et sans laquelle nous ne pourrions pas
vivre
? Il y a de grands choix à faire et cela pour la première fois, car j
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es et doivent rester aux communes. Il faut qu’ils
vivent
, encore mieux qu’ils ne le font, l’esprit de leur fédéralisme qui est
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s-nations, qui ont tout fait pour les empêcher de
vivre
(voir la France) et qui maintenant sont contraints par les réalités à
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IS, d’un milieu humain où l’on se sent heureux de
vivre
, de travailler ou de ne rien faire, ce qui est sans doute le meilleur
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phone que j’ai dit, toute la vie qui se reprend à
vivre
, les délais à courir, le sujet à me fuir. Le jour même, une vieille d
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la délivrance : c’est cela que l’Europe vient de
vivre
! Nuit blanche. Trois actes se composent. Au matin j’ai tout le plan
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vocation unique et le service commun. La plupart
vivent
dans le débat perpétuel, les conciliations temporaires, les synthèses
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ctif de cette romance que chacun s’imagine devoir
vivre
. Le mariage est en train de voler en éclats, non pas à cause de la pa
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ial et les vocations personnelles. Car les uns ne
vivent
pas sans les autres. Comment ont été accueillies vos thèses de L’Amou
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normale de la Société, car nulle société ne peut
vivre
sans feux verts et sans feux rouges. Savez-vous quel est l’auteur le
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passer ? Si la passion a besoin d’obstacles pour
vivre
, elle en trouvera toujours, même dans l’amour-action, parce que jamai
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x qui prévoient l’an 2000 ne sont pas ceux qui le
vivront
« Vous dites : Où vas-tu ? Je l’ignore et j’y vais », osait écrire
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leuse » la situation anticipée : mais ceux qui la
vivront
— même si c’est nous encore, — seront différents : ils la supporteron
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nt pas tant changé10. » D’où l’idée du « droit de
vivre
dans un environnement décent », formulée par le message de la Maison-
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de Diogène à Abélard, de Rousseau à Nietzsche. Il
vivra
dans la frange effervescente de notre société occidentale, avec les o
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10. B. de Jouvenel, Arcadie, essais sur le mieux
vivre
, Paris, 1968. 11. Richard Sennett, The Uses of Disorder, New York, 1
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ni d’ailleurs endurer la moindre preuve : vous la
vivez
« comme on respire », ou c’est que vous n’êtes jamais vraiment venu,
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tés » de la vie tendent à détruire les raisons de
vivre
. Mais que tient-on pour nécessaire ? Les maxima contradictoires, touj
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ue nous aimons, faudrait-il qu’ils renoncent à le
vivre
, à en vivre ? Sauver Lavaux, oui, mais vivant non pas figé. Et vivant
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ns, faudrait-il qu’ils renoncent à le vivre, à en
vivre
? Sauver Lavaux, oui, mais vivant non pas figé. Et vivant, c’est-à-di
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rédominance accordée par un peuple à la saveur de
vivre
sur le niveau de vie. Gens de Lavaux, vous habitez un pays ravissant
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ne deviendra vivante que par les citoyens qui la
vivront
, conscients de leurs devoirs envers ce grand ensemble générateur de l
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lois, à certains égards antinomiques, qui doivent
vivre
ensemble, qui doivent unir cela dans une création permanente et quoti
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e politique du pays. Parce que vous avez beaucoup
vécu
à l’étranger ? J’ai vécu à Paris depuis l’âge de 25 ans. J’ai été ram
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e que vous avez beaucoup vécu à l’étranger ? J’ai
vécu
à Paris depuis l’âge de 25 ans. J’ai été ramené en Suisse par la mobi
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cette expérience. Presque tous les Européens qui
vivaient
à New York pendant la guerre étaient des gens extraordinairement diff
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leurs lois, parfois antinomiques, et qui doivent
vivre
ensemble sur un pied d’égalité, avec toutes les différences possibles
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e fédération. Toute fédération est l’art de faire
vivre
ensemble des êtres apparemment antinomiques ; c’est l’art d’allier, p
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ntes. Donc, rien n’est plus simple. Au fond, nous
vivons
dans ce que j’appelle la pluralité des allégeances. L’utopie, c’est v
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de peupliers qui descend du château où Voltaire a
vécu
pendant plus de vingt ans. Un portail vert. Qu’on ouvre et qu’on refe
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s de Rougemont est aussi un grand voyageur : il a
vécu
en Allemagne, en France, aux États-Unis pendant plusieurs années. Il
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re qui puisse être sucée avec le lait, assimilée,
vécue
et contrastée avec d’autres cultures continentales, est la culture eu
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se en crise — des réalités antinomiques dont nous
vivons
selon le mode européen : l’Un et le Divers, le Transcendant et l’Imma
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ersités, leur autonomie judiciaire, leur droit de
vivre
à leur manière, autrement dit, leur droit de différer. Or il se trouv
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ère : deux tempéraments fort différents. Vous qui
vivez
dans l’avenir, que pensez-vous de celui de la famille ? La famille es
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C’est l’idée de la région elle-même et sa réalité
vécue
, non pas les bobards du « prestige national » dont les grandes firmes