1
ns autant qu’à l’enchaînement des arguments. Il n’
y
a pas deux livres pareils, alors qu’il peut y avoir un nombre considé
2
l n’y a pas deux livres pareils, alors qu’il peut
y
avoir un nombre considérable de moyens de faire passer une même infor
3
semble-t-il, le bon usage du livre. Et je voulais
y
insister pour que l’on ne croie pas, puisqu’on parle d’information, q
4
« si le livre étant tributaire de la langue, il n’
y
aurait pas lieu de développer la recherche d’une langue international
5
es, régionales et locales. Cela veut dire qu’il n’
y
a pas d’autre solution à la fois désirable et praticable que l’union
6
érer de toute union vivante de l’Europe. Car il n’
y
a pas d’union et pas de vie possibles hors du paradoxe fondamental de
7
ie ? Je vous répondrai évidemment non, car s’il n’
y
avait que les questions économiques qui se posaient, nous aurions tou
8
elle est cette unité ? Eh bien ! de culture. Il n’
y
a pas de cultures nationales, contrairement à ce que l’on nous a appr
9
ement à ce que l’on nous a appris à l’école. Il n’
y
a qu’une grande culture européenne qui vient de nos ancêtres communs
10
re religieuse, sacrée. En Inde, par exemple, il n’
y
a pas de romans qui racontent des petites histoires qui se passent to
11
tes histoires qui se passent tous les jours. Il n’
y
a que des écrits religieux, de la sculpture religieuse dans les templ
12
n droit de la poser et nous pouvons partiellement
y
répondre. 1969, en effet, a été l’année des voyages. Voyages de nos c
13
aussi, visites importantes dans notre pays. Il n’
y
a qu’à songer à celle de M. Jean Rey, il y a quelques mois seulement,
14
ouer un rôle dans la formation de l’Europe ? Pour
y
répondre, il fallait faire appel à un écrivain d’expression française
15
a attribué cette année le prix Robert Schuman ? J’
y
vois essentiellement un acte de reconnaissance. Reconnaissance d’un l
16
des Européens avant de faire l’Europe » ; comment
y
parvenir ? Le véritable centre de gravité de ma théorie est le mythe
17
ionalistes, en dépit des manuels scolaires : il n’
y
a que des divisions tout arbitraires opérées dans l’ensemble vivant d
18
ine culture qui l’a marqué et qui postule qu’il n’
y
a de sérieux que les nations. Deux de mes étudiants, ont fait un trav
19
cliché d’une Europe « de Gibraltar à l’Oural » s’
y
trouve déjà… Or, le monde a changé depuis et de telles conceptions n’
20
montrer que tout est européen, qu’il ne peut plus
y
avoir de perspective nationaliste. Les leçons types sont données dans
21
tragique parce que l’Europe n’était pas là. Il n’
y
avait personne pour leur répondre. Et vous pensez que, actuellement,
22
lage où j’habite depuis vingt-trois ans : quand j’
y
suis arrivé, il y avait 1800 habitants ; aujourd’hui, il y en a 5500,
23
rivé, il y avait 1800 habitants ; aujourd’hui, il
y
en a 5500, qui ont été amenés depuis cinq ou six ans par l’IOS, affai
24
point de vue démographique, certes … Oui, mais il
y
en a bien d’autres, tout aussi importants : par exemple, la qualité d
25
capitaliste : pourvu que le PNB augmente, qu’il n’
y
ait pas de chômage, tout ira bien et tant pis pour la nature. Nous co
26
nis et qui changerait tout dans le monde. Mais on
y
viendra s’il y a une masse d’Européens telle qu’elle permettra d’envi
27
ations mondiales, les organisations continentales
y
obéissent. Mais il y a en même temps un mouvement de « séparatisme »,
28
dérale européenne de l’économie ; il faudra qu’il
y
en ait d’autres qui s’occupent des transports, des recherches scienti
29
prenez l’exemple de la Suisse, vous voyez qu’on n’
y
a jamais eu cette idée folle de faire coïncider l’économie et la lang
30
e : les choses ne viennent à point que pour qui s’
y
attendait, pour qui s’était obscurément disposé à les recevoir. Il im
31
i pensé, arrière-pensé en l’écrivant et renoncé à
y
mettre faute de mots… Et surtout, l’arrière-plan religieux (voire pou
32
L’Europe est d’abord une unité de culture (1971)x
y
Je pars de ce qui me paraît une évidence majeure : il nous faut fa
33
er de ces mises au point. Et tout d’abord : il n’
y
a pas de cultures nationales. La culture européenne n’est pas la somm
34
européenne, mais encore tout ce que leur histoire
y
ajouta au cours des âges, notions philosophiques grecques, notions ju
35
ques. Quant aux Alpes, chacun peut vérifier qu’on
y
parle italien des deux côtés au sud, français des deux côtés à la hau
36
rontières cantonales, et je ne crois pas que nous
y
ayons perdu quoi que ce soit de vraiment précieux. Ces vérités sont a
37
ens des grands pays qui nous entourent ; mais ils
y
viennent — par leur jeunesse surtout. Pour nous autres Suisses, il de
38
r ou bien on a une vraie amicale, mais alors il n’
y
a pas de misanthropes, ou bien on a de vrais misanthropes, mais alors
39
bien on a de vrais misanthropes, mais alors il n’
y
a pas d’amicale. L’Europe que nous voulons sera fédérale — ou alors e
40
opaforschung, Bruxelles, Bonn, 1971, p. 219-225.
y
. Présenté par cette note : « Conférence donnée le 11 octobre 1971 dev
41
qu’elle les nourrit et les accuse. C’est qu’elle
y
a vu, ou pressenti, le secret de son dynamisme. Aux trois sources d’A
42
s qu’il est universel. Pas un seul d’entre nous n’
y
échappe. Que nous soyons « très cultivés » ou illettrés y change bien
43
e. Que nous soyons « très cultivés » ou illettrés
y
change bien moins qu’on ne l’imagine. Nous sommes tous tributaires de
44
uelqu’un. Égalité, donc service militaire !
Y
a-t-il des raisons historiques propres à la Suisse qui expliquent cet
45
mes pour un homme. Chez nous, considérons qu’il n’
y
a aucune espèce de différence au point de vue public entre hommes et
46
e hommes et femmes. Je ne dis pas du tout qu’il n’
y
a pas de différence entre masculin et féminin. Je dis que sur le plan
47
n. Je dis que sur le plan de la vie publique il n’
y
en a pas. Je n’en vois pas. Les seules que nous croyons voir, que nou
48
lèmes concrets de la vie publique et les moyens d’
y
participer à tous les étages décisionnels. Arts et lettres Tout
49
is d’Oxford et aux structuralistes de Paris. Il n’
y
a pas de rayonnement continental ou planétaire sans foyers locaux, ma
50
re et l’un des pionniers des États-Unis d’Europe.
Y
a-t-il un point commun entre ces deux activités ? En somme, vous me d
51
n’avaient jamais entendu parler d’amour ? » Il n’
y
a pas d’amour inexprimé. Il y a des désirs, des instincts, faire l’am
52
tion du moi. En revanche, la littérature érotique
y
est très développée, sacrée même. Tout le monde connaît le Kamasutra,
53
Car s’il y a aujourd’hui une crise du mariage, il
y
en a une aussi de l’amour-passion. Parce que l’amour-passion, lui non
54
de tabous et de règlements sexuels. Le peu qu’on
y
trouve vient de l’Ancien Testament : proscription de l’inceste, etc.,
55
vous trouvez qu’on s’agite beaucoup, mais qu’il n’
y
a guère de révolution ? Il est clair que les tabous de la morale bour
56
éens, et pas ailleurs. Car l’Europe, aujourd’hui,
y
compris les pays de l’Est, c’est 480 millions d’hommes. Alors, vous c
57
té ses révolutions. Cela ne veut pas dire qu’il n’
y
a pas eu Hitler, Staline, Guernica… L’Europe est une unité complexe,
58
e aussi, une invention européenne. Ailleurs, il n’
y
a jamais eu, avant le contact avec notre culture et nos doctrines, qu
59
occidentales : « Je sais, leur ai-je dit, vous n’
y
croyez plus. Mais qu’est-ce qui existe à la place, selon vous ? Prene
60
mun la religion de l’État-nation centralisé. Il n’
y
a que des différences de degré. Après la guerre, toutes les anciennes
61
utions fédéralistes, régionalistes, parce qu’il n’
y
en a pas d’autres. Mais il reste toujours la part du diable. Qui est-
62
res nerveux pour que tout marche. Ou bien il faut
y
mettre la police, l’armée, la violence et la terreur pour aligner la
63
ce qu’est pour vous le diable ? C’est quand il n’
y
a personne. Qui peut-on convaincre avec une telle définition ? Le dia
64
lisante de l’univers. Il nous fait croire qu’il n’
y
a personne, et pourquoi ? Parce que alors il n’y a plus de responsabi
65
’y a personne, et pourquoi ? Parce que alors il n’
y
a plus de responsabilité, donc plus de culpabilité. C’est l’uniformis
66
, mais habile, parce que nous étions tous prêts à
y
croire. Hitler, le diable ? Il y avait vraisemblance, mais aussi une
67
u’est-ce que tu as fait ? », il proteste : « Je n’
y
étais pas, c’est elle qui a tout fait, c’est elle qui m’a tendu la po
68
près un an de mon séjour en Amérique. La Suisse m’
y
avait envoyé en mission à la suite d’un article que j’avais publié su
69
qui est vraiment diabolique, parce que l’anonymat
y
est plus manifeste, la manière de se cacher dans les buissons plus év
70
raient que d’une syllabe insignifiante et qu’il n’
y
avait pas lieu d’en disputer. Il est bien vrai qu’aucune raison logiq
71
ir là, et déclarer le problème inexistant, s’il n’
y
avait dans le même Littré ces deux précisions mémorables ajoutées à l
72
at mais une association d’États ; la souveraineté
y
réside non dans le pouvoir central, mais dans les États confédérés. »
73
omis entre ceux qui veulent l’union et ceux qui s’
y
résignent simplement par une nécessité qu’ils espèrent temporaire, je
74
e choisir librement l’avenir de l’humanité. Et il
y
est contraint du seul fait que, pour la première fois, il en a la pos
75
nt « Vous dites : Où vas-tu ? Je l’ignore et j’
y
vais », osait écrire Victor Hugo. Voilà qui est beaucoup plus sensé q
76
r Hugo. Voilà qui est beaucoup plus sensé qu’il n’
y
paraît à première vue. Car si je savais ce qui m’attend « là-bas » en
77
où c’est « matériellement exact » : car nous nous
y
voyons en imagination tels que nous sommes aujourd’hui et c’est en ta
78
aturellement sur les invariants et conseille de s’
y
adapter. Elle cherche à diminuer, quitte à le minimiser parfois, le d
79
illas d’une banlieue dénuée de structures, s’il n’
y
a plus qu’un vide au centre de la ville — bureaux déserts dès la fin
80
« couvrir » ou à révoquer après coup — alors il n’
y
a plus de participation, ni de démocratie concevables ou réelles. Ent
81
’échelle mondiale : la fédération européenne peut
y
prétendre. Ce second terme de notre alternative linéaire conduit à un
82
communauté est petite, plus le gouvernement peut
y
être démocratique ; plus un État est populeux et étendu, et plus le p
83
d’harmonisation des dynamismes civiques, qu’il n’
y
aurait plus qu’à « faire jouer » aux différents niveaux communautaire
84
l’État ») ou les conditions architectoniques ne s’
y
prêteraient pas. Mais d’autres phénomènes majeurs, très susceptibles
85
personnels ? Il est possible — et pour ma part j’
y
crois, sans rien pouvoir prouver — que la présence « en chair et en o
86
mesurables et chiffrables de l’homme. Un x ou un
y
dont nous n’avons encore aucune idée et qui intervient — peut-être —
87
oissance économique « aveugle », sacralisée, il n’
y
a plus guère d’avenir à supputer : cent ans au maximum pour la survie
88
es unanimes en sauvant du même coup la nature ? N’
y
a-t-il pas là une vocation proprement exaltante pour l’ingénieur ? Un
89
ience est née de la culture, et doit sans cesse s’
y
replonger pour mieux créer. Notre technique est née des « folles » sp
90
d’enfance qu’on retrouve. Aimée aux larmes. Il n’
y
avait qu’elle au monde ! Puis une ombre innombrable vient à notre ren
91
ès des années d’absence cosmique, impossible de s’
y
tromper. Au carrefour des grands axes nord-sud et est-ouest, je recon
92
de La Côte, de Begnins à Vufflens par exemple. On
y
voit beaucoup plus de maisons neuves et laides, beaucoup plus de rout
93
ouriste découvre un endroit solitaire, la foule s’
y
jette et le supprime. L’homme a besoin de solitude. Mais la plupart n
94
ns d’épuration. Les chemins de fer et l’autoroute
y
font déjà leurs longues blessures. Tout cela — nul n’y peut rien — au
95
t déjà leurs longues blessures. Tout cela — nul n’
y
peut rien — aux dépens du paysage. Les « nécessités » de la vie tende
96
, animée, habitée par des gens du pays. Et qu’ils
y
trouvent un intérêt vital, et non pas archéologique. Pour sauver Veni
97
unité biologique, écologique et spirituelle. Il n’
y
aura pas d’Europe unie en l’an 2000 si l’on ne commence pas aujourd’h
98
ourg qui feront l’Europe — s’il est vrai qu’elles
y
contribuent avec une indéniable compétence dans leurs domaines. C’est
99
isme de votre pays semble être une découverte ? J’
y
pensais depuis longtemps mais je ne savais pas à quel point la Suisse
100
33 ans. Puis, j’ai été envoyé aux États-Unis pour
y
faire des conférences sur le fédéralisme et sur la Suisse. Mais aussi
101
le fédéralisme et sur la Suisse. Mais aussi pour
y
faire jouer une pièce que j’avais écrite pour l’Exposition nationale
102
un oratorio16. La guerre m’a surpris là-bas et j’
y
suis resté six ans. Je ne suis rentré définitivement qu’en 1947. Aux
103
nne des fédéralistes qui avait lieu à Montreux. J’
y
ai prononcé le discours d’introduction sur le thème de l’attitude féd
104
. Vous êtes déçu ? Non. Je ne suis pas déçu. Je n’
y
ai jamais cru. Je n’ai jamais cru que cette Europe-là pouvait se fair
105
les moyens sur ces finalités. Or, jusqu’ici, il n’
y
avait d’autre politique que cette finalité générale qu’est le profit,
106
des tas de problèmes radicalement faux. Pourquoi
y
aurait-il une économie qui correspondrait à la Belgique, une autre a
107
d’enfance qu’on retrouve. Aimée aux larmes. Il n’
y
avait qu’elle au monde ! Puis une ombre innombrable vient à notre ren
108
ès des années d’absence cosmique, impossible de s’
y
tromper. Au carrefour des grands axes nord-sud et est-ouest, je recon
109
Suisses qui s’en offusquent vont ailleurs, et ils
y
font de grandes choses. Carlo Maderno, Borromini et les frères Fontan
110
es amateurs de clichés, qui ne savent pas qu’il n’
y
a plus de salons, qu’ils ont été remplacés depuis le xviiie siècle p
111
epuis le xviiie siècle par les cafés, et qu’il n’
y
a plus de cafés littéraires depuis vingt ans, même à Paris. La cultur
112
sur la culture. On l’a prise pour une boutade. J’
y
vois plutôt une anticipation de certains résultats des recherches les
113
ui est l’appel de sa fin, sa vocation. 4. Il n’
y
a pas de cultures nationales Cette thèse est démontrée sans aucun
114
t pareils et qui ne les distinguent en rien. Il n’
y
a pas plus de « musique française » que de « mathématiques soviétique
115
des frontières, ou le drapeau ou la monnaie qu’on
y
vénère. La seule culture qui puisse être sucée avec le lait, assimilé
116
te phrase évangélique ne nie pas le passé. Elle s’
y
réfère, l’englobe, le situe et le dépasse. Elle le conteste comme l’a
117
’Iseut avec le Roi, père adoptif du héros —, il n’
y
aurait pas de roman, ni de passion mortelle, il n’y aurait donc pas e
118
aurait pas de roman, ni de passion mortelle, il n’
y
aurait donc pas eu de mythe. On ne saurait imaginer le grand roi Marc
119
sens du mythe. Mais il faut croire aux anges pour
y
croire. ⁂ Selon la mythologie de l’ancien Iran, du mazdéisme de Zarat
120
amour à ses fins spirituelles. Le mythe peut nous
y
aider, c’est bien là sa fonction, qui est d’orienter notre vie affect
121
hevant de tous), allez voir les originaux et vous
y
ferez des découvertes fulgurantes. Le Roman en prose parle de la mort
122
surer la prospérité des régions et provinces et d’
y
permettre une vie civique digne du nom, une participation réelle, civ
123
iques ne sauraient coïncider territorialement. Il
y
faudrait un vrai miracle, mais ce miracle ne s’est jamais produit. Et
124
dées de ces douze articlesbd serait faible : je m’
y
reconnais. Il s’agirait maintenant de les illustrer. Car elles demeur
125
tif et créatif du mot, n’est pas possible, s’il n’
y
a pas une « agora » ou un « forum » — une « place » au cœur de la cit
126
l’expression « propriété socialisée ». Pour nous
y
préparer, lisons Proudhon, que l’on trouve aujourd’hui en livre de po
127
croyances qui en résultent. Tout d’abord : il n’
y
a pas de cultures nationales, si l’on entend par « nations », comme o
128
ques. Quant aux Alpes, chacun peut vérifier qu’on
y
parle italien des deux côtés au sud, français des deux côtés à la hau
129
, ou bien l’on reste misanthrope, mais alors il n’
y
a pas d’amicale. La fédération européenne s’établira sur la base des
130
expérience séculaire montre suffisamment qu’il n’
y
a rien à attendre à cet égard des gouvernements comme tels, soit eccl
131
d’apporter au monde la guérison des maux qu’elle
y
a causés. 20. La France date-t-elle de Clovis, ou des fils de Char
132
otre vie intellectuelle commence à Paris ? Oui, j’
y
ai publié mes premiers livres. La France ou la Suisse ? Je me sentira
133
te et seulement poète. L’hérédité des dons ? Je n’
y
crois pas. Disons que j’ai eu un milieu favorable. Dans la famille de
134
mment savent-ils dans quel pays ils sont ? S’il n’
y
avait que les poissons ! Les vents, les fleuves et les nuages, la fau
135
ar jour les mêmes questions convenues (personne n’
y
croit). ⁂ Un problème d’une portée politique décisive se trouve posé
136
iques ne sauraient coïncider territorialement. Il
y
faudrait un vrai miracle, mais ce miracle ne s’est jamais produit, et
137
écologiques, de transport ou d’enseignement. Il n’
y
a aucune raison que ces fonctions correspondent à une seule et même a
138
ncore qu’il y ait des économies nationales ? Il n’
y
a aucune raison pour qu’une entité économique coïncide avec les front
139
ons sont les mêmes des deux côtés du Léman et ils
y
crèvent de la même façon ! Les gosses comprennent cela. Et à partir d
140
de l’Europe des régions fédérées. Mais il faut s’
y
mettre tout de suite ! bg. Rougemont Denis de, « [Entretien] Face