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faire porter principalement sur une construction
économique
, dont on croyait qu’elle devait entraîner nécessairement des effets p
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matériels, qui conduisent à la guerre, aux crises
économiques
, au gaspillage des ressources terrestres ; s’il n’est pas un progrès
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on. Tout le problème politique, social, culturel,
économique
, écologique de l’Europe — et de l’Occident tout entier — se ramène en
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es nationales spécifiques en rivalités nationales
économiques
ou belliqueuses. Il n’existe qu’une forme de « rapprochement » vérita
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n du « plan », mais comme la forme même de la vie
économique
, c’est dire qu’une véritable économie « planée » exclut à priori l’ét
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e et progressive, il faut qu’un éventuel « plan »
économique
fasse appel aux ressorts humains de l’économie : solidarité, collabor
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ciées selon leurs fonctions (nationale, ethnique,
économique
, administrative, etc.), recherche que je me vois amené à reprendre au
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si, et de plus en plus, qui par leurs dimensions (
économiques
, financières, énergétiques, spatiales) dépassent le niveau de notre É
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lle consiste à juger d’une situation politique ou
économique
en termes de morale courante, j’entends de modestie ou de vanité, de
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era moins encore au monde de demain. Les réalités
économiques
exigent d’une part des espaces beaucoup plus vastes que ceux de nos v
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éennes d’un type nouveau que sont dans le domaine
économique
la CEE, et dans le domaine de la recherche scientifique le CERN. Des
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mais simplement chercher des structures sociales,
économiques
et politiques, adaptées aux réalités et aux finalités européennes. En
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cuper ; non plus seulement des moyens politiques,
économiques
ou culturels d’unir l’Europe ; et non plus seulement des moyens de dé
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s détenteurs des moyens de décision politiques et
économiques
s’inspirent tantôt des pessimistes tantôt des optimistes, c’est-à-dir
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s et les risques humains autant que les avantages
économiques
d’un projet, pour établir son coût réel, tantôt de promoteurs qui n’i
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ommunisme et de l’Union soviétique. Grande crise
économique
. Poussée des idéologies fascistes et établissement de diverses dicta
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s frontières, et qu’aucune frontière politique ou
économique
n’a jamais arrêté ni tempête, ni virus, ni pollution de l’air ou des
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iècle. L’État-nation ne répond plus aux problèmes
économiques
du monde moderne et encore moins aux réalités civiques. L’État-nation
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les, c’est-à-dire définies par des fonctions soit
économiques
, soit culturelles et éducatives, soit écologiques, soit sociales, et
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n certain nombre de facteurs à la fois ethniques,
économiques
, de transport, d’énergie, d’histoire commune, mais pas nécessairement
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, villes qui sont indispensables, du point de vue
économique
, à la vie de cette région ; et alors on retombe dans toutes les équiv
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hui est beaucoup plus complexe. Qu’elle peut être
économique
aussi bien qu’ethnique, qu’elle peut être une question de tradition,
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nt impuissant sur tous les mécanismes politiques,
économiques
, militaires, techniques, et à tous les degrés de sa vie. Il se trouve
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uve pris dans un réseau de nécessités techniques,
économiques
, avec ordinateur à l’appui, qui interdit l’idée de faire de l’avenir
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e espèce de raison que ça coïncide avec un espace
économique
raisonnable. Donc il est fatal que le développement même de l’industr
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nt obligées par la nature même de leurs activités
économiques
de s’y intégrer. Il y a donc multinationale colonisante, et multinati
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nation, l’autogestion régionale. La croissance
économique
Alors cela signifie-t-il qu’il faille trouver un nouveau mode de c
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u’il faille trouver un nouveau mode de croissance
économique
? Vous faite allusion au célèbre rapport du club de Rome qui m’a fait
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a vie ; tout le monde est donc pour la croissance
économique
, industrielle, technologique… Mais c’est par une erreur fondamentale
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ales nucléaires ; c’est un impératif technique et
économique
, parce que la consommation d’électricité » (ça a été mesuré par les o
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services). On peut presque dire que c’est la loi
économique
qui a fait que ces villes se sont agrandies démesurément et que notre
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ulement morales mais politiques, et non seulement
économiques
mais spirituelles. Fédéralisme, seul régime possible d’un avenir huma
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Partant de l’idée que les solutions à notre crise
économique
ne sont pas économiques, mais spirituelles, morales et psychologiques
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es solutions à notre crise économique ne sont pas
économiques
, mais spirituelles, morales et psychologiques, je poserai au fondemen
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ux « impératifs techniques », et aux « nécessités
économiques
», dont les clés sont détenues finalement par l’État. Sous prétexte d
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à l’OECE (Organisation européenne de coopération
économique
) dès 1946, puis à la plupart des agences spécialisées de l’ONU (telle
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pe. Le simple fait de l’agrandissement des tâches
économiques
, sociales, scientifiques, écologiques, etc. que les réalités du siècl
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nnu l’action du « principe de plaisir », principe
économique
qui tend à la réduction par satisfaction des excitations libidinales.
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es ne sont pas ethniques d’abord, et encore moins
économiques
d’abord. La solution de nos problèmes économiques est à chercher sur
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économiques d’abord. La solution de nos problèmes
économiques
est à chercher sur un tout autre plan que celui où la crise se déclar
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re existence, le politique et l’institutionnel, l’
économique
et l’artistique, nous retrouverons toujours le même type de problèmes
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de plus en plus autour de pôles de développement
économique
et culturel, ces « métropoles régionales » chères à la jeune sociolog
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ar un Parti ou par une monnaie. Enfin, un rapport
économique
, dû à Daniel Serruys, propose les étapes suivantes pour l’organisatio
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propose les étapes suivantes pour l’organisation
économique
du continent : l’union douanière doit être l’expression finale d’une
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uanière doit être l’expression finale d’une union
économique
ou plan commun de production. La franchise des échanges devra être ob
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ne bien que les positions politiques, sociales et
économiques
, définies à Montreux, et qui marquent une étape décisive dans l’évolu
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trois groupements de personnalités politiques ou
économiques
, auxquels vint s’ajouter le mouvement paneuropéen de Coudenhove, un p
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es débats dans les trois commissions — politique,
économique
, culturelle — et durant les séances plénières tenues dans l’historiqu
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libéraux, résultèrent des débats sur les mesures
économiques
. Les thèses fédéralistes ne triomphèrent que dans les résolutions pro
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ssance à l’Organisation européenne de coopération
économique
(OECE). Celle-ci, fortement soutenue par les USA, avait immédiatement
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és politiques stato-nationales et les compétences
économiques
de l’OECE lui ménageaient : à savoir les domaines sociaux, culturel,
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uait à Westminster, en avril 1949, une Conférence
économique
qui relança l’idée d’une autorité européenne à laquelle les États rem
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nt les capacités de décision politiques autant qu’
économiques
étaient sinon nulles, du moins annulables en tout temps par le Comité
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se de base selon laquelle le politique suivrait l’
économique
, comme les superstructures reflètent l’infrastructure matérielle selo
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’union doit être réalisée d’abord dans le domaine
économique
; ils estiment qu’il faut étudier la création d’une organisation comm
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if de leur action dans le domaine de la politique
économique
». Les négociations vont bon train — Bruxelles, La Haye, Paris — sous
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ous ces impératifs technologiques, ces nécessités
économiques
, ces nécessités de la défense nationale, par exemple, que le pouvoir
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ales nucléaires n’est pas technologique, même pas
économique
, et il est encore moins financier : car à ces trois niveaux, la cause
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ies son identité culturelle, spirituelle, et même
économique
. Certes, les trois réformateurs décisifs : Calvin et Théodore de Bèze
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ui la Haute-Savoie.) En revanche, du point de vue
économique
, l’élévation des obstacles frontaliers surcompense l’abaissement des
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ntières a provoqué les réactions de la Communauté
économique
de Bruxelles, puis de sa contrepartie, l’AELE, dont la Suisse est le
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créée en 1973, étudie les problèmes non seulement
économiques
mais sociaux, d’éducation et d’environnement. — Le Léman est pollué p
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e, à l’Ain, et vice versa, définissent une région
économique
qui ne recouvre pas les deux autres et reste susceptible de variation
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u passé à l’avenir d’une région », AGEFI : Agence
économique
et financière, Zurich, 27 juin 1977, p. 6-7. ak. Présenté par ce rés
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ry Ford a réussi, par un certain nombre d’astuces
économiques
et publicitaires, à rendre l’automobile « nécessaire » dans l’esprit
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. C’est d’autant plus dangereux que le gigantisme
économique
, une fois mis en place, obéit à des impératifs de « toujours plus » q
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techniques » des promoteurs, ni aux « nécessités
économiques
» des ministres, mais au besoins humains des citoyens, qui constituen