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Les Limites à la croissance (matérielle) reste à
écrire
. Je l’intitulerais pour ma part Rapport sur la dégradation des relati
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présence enfin qui soit un acte », ainsi que je l’
écrirai
un an plus tard — et c’est, je crois, la première expression de l’eng
3
»). Mounier va-t-il rompre avec l’ON ? Il préfère
écrire
, au seuil du numéro : « Nous sommes le parti de l’esprit avant d’être
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Ordre nouveau : pour la liberté, Mounier pouvait
écrire
à Berdiaev : Je vous expliquerai moi-même, ou Maritain si vous le vo
5
é sur sa gauche par l’ON, « entraîné » comme il l’
écrit
, et très soucieux de s’en défendre non seulement devant Maritain mais
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condamnation d’Esprit en Cour de Rome), quand il
écrit
à Berdiaev, qui fut marxiste, Mounier cède aux clichés communistes su
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és communistes sur l’ON, dans le même temps qu’il
écrit
à l’archevêque de Paris qu’ Esprit est la seule revue « dirigée et r
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émentaires fera la force des trois volumes qu’ils
écrivent
ensemble de 1932 à 1933. Daniel-Rops, professeur agrégé, commence une
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cole de Vienne (Wittgenstein, Carnap, Hubert), et
écrit
en collaboration fréquente avec Dandieu. René Dupuis et Jean jardin o
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Droit, est probablement le thème fondamental des
écrits
d’Alexandre Marc. La revue de L’ON se refusera systématiquement à écr
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. La revue de L’ON se refusera systématiquement à
écrire
état avec une majuscule : manière concrète de rappeler au lecteur que
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t a été suffisamment mis en lumière dans tous nos
écrits
antérieurs pour nous épargner l’obligation d’insister là-dessus. (ON
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État-nation. On le retrouve de nos jours dans les
écrits
de J. Buchmann, de Robert Lafont, d’Hervé Lavenir, de Lewis Mumford e
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e de la lettre de Mounier à Berdiaev), J. Lacroix
écrit
de ce livre : « C’est décidément un maître ouvrage, à placer sur le m
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de Lip, qui poursuivent leur lutte, pendant que j’
écris
ceci, dans la pure tradition de Proudhon, leur concitoyen franc-comto
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d, je me mettais à ce travail, nouveau pour moi :
écrire
des textes d’information et des commentaires politiques destinés à la
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dans la section française, je me voyais chargé d’
écrire
chaque jour deux « shows » de quinze pages chacun, lus au micro par d
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convaincu. Il prétend que je savais qui allait m’
écrire
, et que j’avais d’assez bonnes chances de deviner juste. Mais je n’ai
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t, et je n’avais aucune raison d’attendre qu’il m’
écrive
. Quant à l’enveloppe jaune, elle contenait un journal où l’on revient
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du Village, à New York, je décide de me mettre à
écrire
La Part du diable , et m’enferme sans plus bouger ni plus répondre a
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nc. Pendant trois jours et nuits de travail, j’ai
écrit
cinquante pages, un quart du livre. Je n’ai pas adressé un mot à âme
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joue par paires, dans le plus grand silence. L’un
écrit
trois questions, et l’autre en même temps trois réponses ; puis l’inv
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er ici cette soirée mémorable. L’un de nous avait
écrit
: « Qu’arriverait-il si le diable entrait dans cette pièce ? » Le par
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cours de l’an de crise qui s’écoule tandis que j’
écris
. Or, on aura reconnu dans mon esquisse d’exécutif européen tous les t
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Cingria, ne pourra remplacer le sacré, quoi qu’en
écrive
André Malraux, car s’il n’est pas un art au monde qui ne soit issu du
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it. « On ne risque rien à affirmer une parenté »,
écrit
excellemment le fils, à propos des parentés du père d’ailleurs, dans
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intérêts spirituels » du père… Il se trouve que j’
écris
ces lignes à Venise. Et c’est ici que j’ai vécu l’un des plus hauts m
28
e très ample monographie. Je suis parfois tenté d’
écrire
cette épopée, ou cette histoire de fous, qui aurait pour titre : L’Au
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gricole à moteur. « Ce fut mon chemin de Damas »,
écrit
-il cinquante ans plus tard. Depuis l’instant où il aperçut cette « ma
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n’y avait pas de demande pour les automobiles »,
écrit
-il simplement dans ses mémoires. Il parle même d’une « répugnance pou
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automobiles Ford. Dans sa première publicité, il
écrit
que l’auto « peut vous mener n’importe où il vous plaît d’aller… pour
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lle. Quelles sortes de jeux ? Il y avait des jeux
écrits
, comme celui des questions et des réponses, que je préférais. Il se j
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, que je préférais. Il se jouait par paires. L’un
écrivait
trois questions : qu’est-ce que ceci ou cela ? ou : qu’arriverait-il
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qu’arriverait-il si… ? Et l’autre, en même temps,
écrivait
trois réponses. Puis on lisait à haute voix les résultats. C’était pr
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y. Un soir, la personne qui jouait avec moi avait
écrit
: « Qu’arriverait-il si le diable entrait dans cette pièce ? » Je lus
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? Breton m’a souvent parlé de ce livre, que j’ai
écrit
à New York. Il se demandait comment un homme qui croit en Dieu pouvai
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a été de construire une bonne machine routière »,
écrira-t
-il dans son autobiographie. En 1892, il construit sa première voiture
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ture. « On la considérait plutôt comme une peste,
écrit
-il, à cause de son vacarme qui effrayait les chevaux. » Elle restera
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Brockhaus, dictionnaire encyclopédique allemand,
écrit
en 1880 : « Automobile : nom qui a quelquefois été donné à de curieux
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s scientifiques. » Deux ans plus tard, Clemenceau
écrira
dans son journal : « Dangereuse, puante, inconfortable, ridicule assu
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le moteur d’une fédéralisation de l’Europe, ai-je
écrit
, il y a plus de dix ans, dans La Suisse ou l’histoire d’un peuple he
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démocratie ». Je ne sais pas si les gens qui ont
écrit
des choses pareilles connaissent la légende de Guillaume Tell. Qu’ils
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ue nous le vivons et, plus encore, tel que nous l’
écrivons
. Cinq niveaux À la base — au regard des modernes —, l’instinct s
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ante : « ma meilleure moitié »), et tous ceux qui
écrivent
sur Éros. Si l’idée platonicienne de l’amour est résolument positive,
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-Thanatos, amour et mort. Trois mythes en effet,
écrit
R. Flacelière, nous montrent que les Grecs ont médité sur les rapport
46
r un contemporain de Plutarque, saint Paul, avait
écrit
de son côté que le mariage est « un grand mystère (mystérion méga) ».
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aimé l’Église. » D’autre part, il n’hésite pas à
écrire
: « Celui qui n’est pas marié s’inquiète du Seigneur, des moyens de p
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faveur de sa bergère. Il est peu de romans mieux
écrits
que L’Astrée. Mais, si le dur destin du mythe n’y est plus que machin
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est-il vraiment sincère dans sa préface lorsqu’il
écrit
: Ce que je puis assurer, c’est que je n’en ai point fait [de tragéd
50
e grande dame des lettres, Madame du Deffand, qui
écrit
: On trouve encore parmi les gens de condition inférieure de bons mé
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tourne aux sévices corporels. Le marquis de Sade
écrit
ses œuvres en prison : il ne peut donc s’agir que de fantasmes, mais
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rgeoises que chrétiennes qu’il veut combattre, il
écrit
que la volupté unique et suprême de l’amour gît dans la certitude d
53
’érotisme, a condamné la plupart des religions »,
écrit
-il avec une lucidité toute nietzschéenne. Suivant en cela Baudelaire,
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ni de Freud, que se situe André Malraux lorsqu’il
écrit
(très proche ici de G. Bataille) : Il ne s’agit plus d’échapper au p
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ments de cet amour dont le poète andalou Ibn Hazm
écrivait
au xie siècle : L’amour est une maladie incurable qui ne peut trouv
56
t manieur de mots, donneur de sens. Dans ce qu’il
écrit
il y a presque toujours quelque chose qui peut contribuer à changer l
57
il conditionnement où on lui dirait ce qu’il doit
écrire
. C’est sa nature même qui s’y oppose. Il sera donc toujours un opposa
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s purge à Bâle une nouvelle peine de prison. J’ai
écrit
au président de la Confédération pour obtenir sa libération. Il m’a f
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ivains, adhérents d’organisations culturelles — d’
écrire
à Leonid Brejnev en demandant sa libération. Au premier rang de ceux
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sa méditation pour passer à l’action » (comme l’a
écrit
Jean Monnet) puisque c’est tout naturellement que sa méditation s’est
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1950, Igor Markevitch vint me voir. Je lui avais
écrit
tôt après la lecture de son article sur la coopération dans le domain
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e », « L’Europe, c’est fini ! » Comme si ceux qui
écrivent
ces slogans n’en étaient pas, de cette Europe qu’ils jugent finie ! L
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nviron que je m’occupe de ces choses, et que j’en
écris
, je suis de plus en plus frappé par le rôle qu’y joue le mensonge sys
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je m’étais dit : Voilà celui pour qui je voudrais
écrire
quelque chose. À peine de retour en Suisse, on m’offre de composer un
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ssais pas. En pleine gloire, à 46 ans, il vient d’
écrire
Jeanne au bûcher avec Claudel. De quinze ans son cadet, inconnu du gr
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tumes à domicile. Je tombe bien, Honegger vient d’
écrire
que la seule forme théâtrale à laquelle il croit pour l’avenir est «
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pinions contradictoires, et une troisième On a
écrit
que si l’oratorio Nicolas de Flüe « n’est pas devenu populaire » c’es
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éprouve obscurément menacée, ainsi que Dante va l’
écrire
dans le De Monarchia, par « le monstre aux multiples têtes » de l’Éta
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a frontière (1977)ae af Cet homme dont on a pu
écrire
« qu’il n’avait l’air de rien », qu’il entrait dans la salle du parle
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ût, et moins encore par ambition. J’étais alors,
écrira-t
-il, un juriste quelque peu candide, inexpérimenté dans l’art de la ta
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ce renouvelée de ce qui animait en profondeur nos
écrits
de l’époque de Hic et Nunc . Lui s’occupait déjà des grands mystique
72
n France sur Kierkegaard et sur Kafka. Sohrawardi
écrit
: « Lis le Coran comme s’il n’avait été révélé que pour ton propre ca
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été révélé que pour ton propre cas. » Kierkegaard
écrit
: « L’Évangile doit être lu comme une lettre personnelle, adressée à
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vous rappelle l’exemple de Lénine : Lénine avait
écrit
, au début de 1917, dans L’État et la Révolution, que toutes les révol
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inscrit comme le choix même de la liberté. Ayant
écrit
, dans un assez gros livre récent, que ce drame est celui de notre épo
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ance de très petites communautés, « seul système,
écrit
-il, qui réunisse les avantages des grands et des petits États ». Quan
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agogie scientifique du xxe siècle. On a beaucoup
écrit
sur cet « esprit romand », que dans la plupart des ouvrages à lui con
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a dominante protestante (sensible jusque dans les
écrits
d’auteurs fribourgeois comme Reynold) et qui différencie la culture r
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st moins sûr. Il y a quelques années, j’ai mêmeas
écrit
un livre intitulé Vingt-huit siècles d’Europe dans lequel je m’étai
80
de foi de son nouveau credo. Il alla même jusqu’à
écrire
une préface fort célèbre pour le livre de Franz Fanon, Les Damnés de
81
i de Robert Aron — reprendre en chœur ce que nous
écrivions
, à l’époque, dans L’Ordre nouveau . Avouez que, pour une revue dont
82
ntexte. Ainsi, en 1933, vousax trouvez opportun d’
écrire
un article sur « la faillite du marxisme et du libéralisme en Allemag
83
r cela que, lorsque de Gaulle est mort, vous avez
écrit
un article intitulé « La mort de Tristan » ? La comparaison s’imposai
84
Emmanuel Mounier avait dit ; « Denis de Rougemont
écrit
avec un œil sur l’absolu et un œil sur Jean Paulhan. » À l’évidence,
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in de se monter puissent être arrêtés à temps ! J’
écris
pour que les choses changent, pas pour qu’elles continuent. Eh bien,
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Ou « De quoi demain sera-t-il fait ? » Vous, vous
écrivez
: « La décadence d’une société commence quand l’homme se demande : “Q
87
e souviens pas, dans aucun de mes livres, d’avoir
écrit
cette phrase ! Mais on l’a si souvent citée comme étant de moi que je
88
’il y a maintenant près d’un demi-siècle que vous
écrivez
… Et je dis toujours la même chose ? Oui, parce que j’y crois. Et auss
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rappelle et cite dans son livre un article qu’il
écrivit
en 1928 déjà et dont le titre à lui seul est éloquent : « Le péril Fo
90
nformation. Combien de temps avez-vous mis pour l’
écrire
? J’ai mis quatre ans et demi pour achever L’Avenir est notre affair
91
n’avais fait cela pour aucun de mes livres. J’ai
écrit
, par exemple, L’Amour et l’Occident en trois mois… En été 1973, j’a
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ccident en trois mois… En été 1973, j’avais déjà
écrit
une centaine de pages, où je prévoyais certains événements qui pouvai
93
m’obligeant à jeter à la corbeille ce que j’avais
écrit
. Je ne pouvais pas me donner l’air de prophétiser après coup ce qui s
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« pessimiste actif ». Il y a une phrase que j’ai
écrite
et à laquelle je tiens, c’est celle-ci : « La décadence d’un peuple c
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aise aux dieux que je sois un faux prophète ». Il
écrit
pour avertir avant qu’il soit trop tard. Il prédit dans l’espoir que
96
teur du Centre européen de culture à Genève, il a
écrit
une trentaine d’ouvrages : Penser avec les mains , Vingt-huit siècl
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e agréable quand il sera grand. Ensuite, que j’ai
écrit
des livres, que je suis l’initiateur du mouvement fédéraliste europée
98
uivent des chimères identiques. Vous disiez, vous
écriviez
déjà cela il y a plus de trente ans et… Vous voulez dire que je n’ai
99
llons jouer notre dernière chance. Ainsi que je l’
écris
dans la première page de L’Avenir est notre affaire : « À partir de
100
fiant leur désir à la source même. À 21 ans, j’ai
écrit
un article pour dénoncer cette entreprise et annoncer à quelle fatali
101
s. Pour eux, il faut s’efforcer de ne pas avoir à
écrire
FIN, mais À SUIVRE au bas de la longue histoire qui s’écrit depuis de
102
mais À SUIVRE au bas de la longue histoire qui s’
écrit
depuis des siècles. bz. Rougemont Denis de, « [Entretien] Demain,