1
toutes les relations humaines. Cette omnipotence
étatique
ne paralyse pas seulement les rapports entre les citoyens d’un même p
2
e de personnes, « non d’individus ou d’organismes
étatiques
» (ON 22-23). (On pensera là à la distinction faite par Tönnies entre
3
u’elles subsistent à l’extérieur comme frontières
étatiques
. À part cela, il n’y a aucune espèce de différence. Le phénomène cont
4
(J’appelle État-nation la mainmise d’un appareil
étatique
sur l’ensemble d’une nation.) Cependant, dans ses structures, la Suis
5
des péages. C’est pour empêcher cette mainmise «
étatique
» avant la lettre que les Suisses se sont ligués. On observe un phéno
6
é à accepter la logique interne de la mégamachine
étatique
, vous attendez de plus en plus de l’État, et vous trouvez enfin norma
7
s l’État-nation ? C’est la mainmise d’un appareil
étatique
sur la vie d’une nation. C’est la formule napoléonienne de l’État, né
8
société française, afin de lui imposer un carcan
étatique
et uniforme. Au fond, la guerre c’est, pour l’État, le moyen idéal de