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récemment de confronter mes souvenirs avec ceux d’
Alexandre Marc
, mais sur ce point, du moins, nos divergences menacent de demeurer ir
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serl. Né juif, il devenait catholique, et signait
Alexandre Marc
des articles d’un ton violent qui paraissaient dans la revue Plans, o
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itude qui subsiste sur ma première rencontre avec
Alexandre Marc
s’accentue fortement quand il s’agit de mes premiers contacts avec Mo
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ule chose sûre et certaine dans tout cela : c’est
Alexandre Marc
qui a provoqué presque toutes les rencontres, combinaisons et permuta
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ions communes qu’a joué dans ces années cruciales
Alexandre Marc
. ⁂ Que nous nous soyons rencontrés grâce à mon ami Max Dominicé, alor
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e spirituelle d’abord, au-delà de la littérature.
Alexandre Marc
fut pour moi l’initiateur à la réalité politique. (Avant cela, mes op
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ts… Les formules du petit manifeste que me remit
Alexandre Marc
m’apportaient donc en clair l’énoncé le plus simple de ce que je tent
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d’être le parti de la révolution. » Au numéro 4,
Alexandre Marc
donne une importante étude sur « Le prolétariat », où l’on peut lire
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nt que l’apport du groupe, d’abord représenté par
Alexandre Marc
, fut de loin le plus « révolutionnaire » dans la période de lancement
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’Ordre nouveau , et publiant mes premiers livres.
Alexandre Marc
a travaillé chez Hachette, mais que fait-il et de quoi vit-il en 1933
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Mission ou démission de la Suisse . En novembre,
Alexandre Marc
met en épigraphe à un article de L’ON cette phrase de moi : « Une p
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souvent développés en premier lieu par un homme :
Alexandre Marc
. Anticipant sur la postérité pour honorer Marc l’inventeur, je voudra
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st probablement le thème fondamental des écrits d’
Alexandre Marc
. La revue de L’ON se refusera systématiquement à écrire état avec une
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qu’il demeure ou redevienne européen, la pensée d’
Alexandre Marc
est promise à beaucoup d’avenir. 1. Cf. mon essai « Adieu, beau dés
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omique de la personne. a. Rougemont Denis de, «
Alexandre Marc
et l’invention du personnalisme », Le Fédéralisme et Alexandre Marc,
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l’invention du personnalisme », Le Fédéralisme et
Alexandre Marc
, Lausanne, Centre de recherches européennes, 1974, p. 51-69.