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tel Vaudois fameux, se réduisait à être « contre
Berne
».) Rien n’est moins fidèle à l’esprit et à la genèse historique des
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ères, de villes d’empire et de cités-États (comme
Berne
, Bâle, Zurich, Genève), de pays (comme Vaud, Argovie), de cités s’ann
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ud, Argovie), de cités s’annexant des pays (comme
Berne
), de ligues régionales (comme les Grisons) et de principautés épiscop
4
s trompeuse. 10. Richard Feller, Rektoratsrede,
Berne
, 1938. 11. Art. 3 et 5 de la Constitution. 12. Pays de l’Est compri
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modèle pour l’Europe ? », Liberté pour détruire,
Berne
, Nouvelle Société helvétique, 1974, p. 144-150.
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la Catalogne, le Sud-Tyrol, le Nord du canton de
Berne
(où l’on parle français), les conflits entre Flamands et Wallons… Et
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e complexe de culpabilité », CH, choix de textes,
Berne
, Chancellerie fédérale, 1975, p. 548-553.
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antons, où l’on dénonce « l’emprise croissante de
Berne
», particulièrement lourde à vrai dire quand elle impose tel tracé d’
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le fédéralisme avec le réflexe de résistance à «
Berne
», c’est-à-dire aux mesures qu’on baptise « centralisatrices », alors
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à défendre les intérêts de leur petit État contre
Berne
, c’est-à-dire contre la fédération. Ramuz avait coutume de me dire :
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ume de me dire : « Entre nous, nous sommes contre
Berne
, nous sommes fédéralistes, donc nous sommes séparatistes… » Je lui ré
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tat qui s’appuie tantôt sur la France, tantôt sur
Berne
, pour échapper à la tutelle de l’autre. Aux Orléans-Longueville qui s
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Ligues suisses, et reste liée très spécialement à
Berne
. (Une partie du canton, d’ailleurs, est de langue alémanique.) Mais e