1
opéenne », Documents pour l’enseignement, Genève,
Bruxelles
, Centre d’éducation européenne, 1974, p. 1-6. h. Précédé de la note
2
ins fort : les pétroliers font davantage la loi à
Bruxelles
qu’ils ne la font à Paris. Précisément, vis-à-vis des multinationales
3
e société humaine. J’ai eu de vives discussions à
Bruxelles
il y a quelques mois, avant la crise du pétrole, sur cette assertion
5
, comme l’actuelle commission du Marché commun, à
Bruxelles
, compte autant de commissaires que de pays membres. Cette dernière fo
6
ivi par les quatre autres signataires du Pacte de
Bruxelles
. Le traité instituant le Conseil de l’Europe fut paraphé au palais Sa
7
ne vigoureuse sur tous les plans. Il réunissait à
Bruxelles
, en février 1949, un congrès politique qui ne marqua pas de grands pr
8
e économique ». Les négociations vont bon train —
Bruxelles
, La Haye, Paris — sous l’impulsion d’un jeune ministre français, Maur
9
de Communauté économique européenne, avec siège à
Bruxelles
. Le fait patent que vingt-cinq ans après la formation de la CECA nul
10
oqué les réactions de la Communauté économique de
Bruxelles
, puis de sa contrepartie, l’AELE, dont la Suisse est le siège comme e
11
s qu’elles s’enthousiasment pour les marathons de
Bruxelles
, qui, dans le meilleur des cas, ne fixeront jamais que le prix du sei