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deux repères personnels. Lorsque je m’installe à
Paris
, à l’automne de 1930, non seulement aucun de ceux que je viens de cit
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Sacco et Vanzetti.) Mon premier article publié à
Paris
s’intitulait « Le péril Ford », mon premier petit livre Les Méfaits
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dans le même temps qu’il écrit à l’archevêque de
Paris
qu’ Esprit est la seule revue « dirigée et rédigée pour une importan
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Revue de Genève . 2. Mounier et sa génération,
Paris
, Le Seuil, 1956, p. 103-104. 3. Ibid., p. 174. 4. À quelques semai
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fre un poste de professeur en Chine, mais c’est à
Paris
que se passe « la vraie vie » pour un écrivain. L’ennui, c’est que je
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a mère à la fenêtre : « Dépêche-toi, téléphone de
Paris
! » On m’offrait un job de directeur littéraire d’une maison d’éditio
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à Clamart, et j’entrais dans la vie littéraire de
Paris
, mieux encore, dans le mouvement personnaliste, dont la doctrine déti
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fallait le concevoir. Ce n’était guère possible à
Paris
, qui a toujours peine à croire qu’au-delà de ses Portes il existe aut
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colère, les « personnalistes des années 1930 », à
Paris
, à Londres, en Allemagne, en Italie, et en Suisse, dénoncent en Hitle
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deux seulement n’étaient pas transfrontalières :
Paris
et l’Auvergne ; toutes les autres étaient transfrontalières, y compri
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ions françaises actuelles ont toutes été faites à
Paris
, elles ont été préfabriquées dans les bureaux indépendamment de toute
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électrique de la Raison » donné par la commune de
Paris
se transmette instantanément jusqu’aux frontières extrêmes de la Fran
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davantage la loi à Bruxelles qu’ils ne la font à
Paris
. Précisément, vis-à-vis des multinationales du type que j’appellerai
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orte de groupe ? Le surréalisme a toujours été, à
Paris
, une affaire de groupe, dont Breton était le « pape », mais au-dessus
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il New York ? Pour eux, la ville moderne, c’était
Paris
, si curieux que cela paraisse. Breton détestait New York, qu’il trouv
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où, selon la phrase fameuse de Georges Pompidou «
Paris
devait s’adapter à l’automobile ». La société post-industrielle, à me
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rénavant, c’est l’automobile qui doit s’adapter à
Paris
— c’est-à-dire l’industrie à l’homme. Le passage de la société indust
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l’automobile, dans les avenues de New York ou de
Paris
, permet de faire du quatre ou cinq à l’heure, qui est la vitesse d’un
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nis de, « L’amour », L’Univers de la psychologie,
Paris
, Éditions Lidis, 1975, p. 203-212.
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rre que les jacobins puis Napoléon ont regroupé à
Paris
l’ensemble des moyens de gouverner. C’était d’ailleurs la seule justi
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de, « L’État-nation, voilà l’ennemi », L’Express,
Paris
, 1 juillet 1975, p. 57-58. v. Présenté par cette note : « Fondateur
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e ça sert ? » On m’assure que cet appareil ira de
Paris
à New York en trois heures et demie au lieu de sept. Bon. Mais les qu
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ui-ci ne peut être qu’Honegger. Je vais le voir à
Paris
. Je ne le connaissais pas. En pleine gloire, à 46 ans, il vient d’écr
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négociations vont bon train — Bruxelles, La Haye,
Paris
— sous l’impulsion d’un jeune ministre français, Maurice Faure, et so
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mes d’État célèbres. De 1920 à nos jours, vol. 6,
Paris
, Mazenod, 1977, p. 238-243.
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mes d’État célèbres. De 1920 à nos jours, vol. 6,
Paris
, Mazenod, 1977, p. 254-257. af. On a intégré les corrections effectu
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Zurich, 1954. 23. H. Corbin, Sohrawardi d’Alep,
Paris
, 1939, p. 19 et 24. ac. Rougemont Denis de, « Hérétiques de toutes
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lle. Par suite des accords passés entre Genève et
Paris
et de la rétrocession aux communes françaises d’une large part des im
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Rochemont, porte-parole de Genève aux congrès de
Paris
et de Vienne (1814 et 1815) avait publié trois petits ouvrages dans c
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t Denis de, « Il faut changer de cap », L’Aurore,
Paris
, 27 septembre 1977, p. 6.
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ougemont, L’Avenir est notre affaire », Parents,
Paris
, octobre 1977, p. 46 et 48. ap. Propos recueillis par Danyèle Dulhos
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e retour d’un hérétique », Le Nouvel Observateur,
Paris
, 3 octobre 1977, p. 97, 99, 102, 110, 115, 118, 126, 132. ar. Propos
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rance en carrés de 18 lieues de côté, à partir de
Paris
; ils se plaignaient même de ce qu’en approchant des frontières, les
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ait le point avec Denis de Rougemont », Le Point,
Paris
, 10 octobre 1977, p. 189, 191, 193, 195, 197, 199, 201, 203, 205-206,
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du Léman, par exemple, tout le monde s’en fout à
Paris
, comme l’a bien montré l’attitude du gouvernement français à propos d
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tre cette bourde monumentale : « Il est temps que
Paris
s’adapte à l’automobile… » « À quoi ça sert ? » Denis de Rougemont s’
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[Entretien] Je suis un pessimiste actif », Elle,
Paris
, 17 octobre 1977, p. 8. bv. Propos recueillis par Pierrette Rosset a
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cité, ou l’inverse ? Est-il vraiment « temps que
Paris
s’adapte à l’automobile » (Georges Pompidou) ou au contraire que l’au
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taient vos craintes ? Les mêmes finalités À
Paris
, vers 1930, nous étions dans une démocratie libérale dirigée par les
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, « [Entretien] Demain, le soleil », France Soir,
Paris
, 20 décembre 1977, p. 2. ca. Propos recueillis par Paul Giannoli et