1 car toute l’histoire du siècle est dominée par l’ angoisse des hommes devant l’absence de communautés. Devant l’absence de possi

2 ntervenir et d’avoir une efficacité. Est-ce que l’ angoisse communautaire est un effet de la concentration urbaine et de l’exode

3 tion du principe social. On arrive à cette grande angoisse communautaire qui est absolument inconsciente chez l’homme, chez la g

4 e des millions de jeunes — et d’autres ! — dans l’ angoisse et l’irresponsabilité forcée, livrés au vertige des idéologies sans p

5 ence de l’artiste ? Je crois qu’ils sont emplis d’ angoisse devant ce monde impossible à gouverner et que, même dans nos sociétés

6 ’urbanisation sauvage de l’ère industrielle, de l’ angoisse qui en résulte chez les individus perdus dans les foules solitaires,

7 mps vuide », comme toute espèce de vide, est pure angoisse . Il n’y aura pas de société post-industrielle tant que la seule alter

8 que athée Que les interdits, les tabous et les angoisses que ces interdits expriment (ou qui en résultent par la suite) aient

9 nécessaires entre érotisme et religion, désir et angoisse , transgression et volupté, finalement quête du plaisir transcendant e