1 -il et de quoi vit-il en 1933 ? Voilà ce que je n’ arrive pas à me rappeler, et l’on se voyait à peu près tous les jours… Du po

2 Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)m Deux téléphones Octobre 1930 Je viens de passer ma licence

3 ait indifférent en soi, et qui n’est pas encore «  arrivé  » dans le temps. Les trois lettres sont timbrées d’hier, deux à Genèv

4 alypse à court terme, et je constatais que « nous arrivons au point où le moteur de la croissance commence à avoir des ratés ».

5 gue française ». L’une des questions était : « Qu’ arriverait -il si Jean-Paul devenait pape ? » Et la réponse : « Le pape serait lu

6 soirée mémorable. L’un de nous avait écrit : « Qu’ arriverait -il si le diable entrait dans cette pièce ? » Le partenaire lut sa rép

7 « Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées  », Gymnase cantonal de Neuchâtel : 1873-1973, Neuchâtel, Gymnase cant

8 empêche d’assumer leur vocation. Lorsqu’il m’est arrivé de soutenir quelques idées sur le rôle de la Suisse dans le monde, ou

9 atastrophique de la production industrielle. Nous arrivons au point où le moteur de la croissance commence à avoir des ratés*13

10 le, apparemment inébranlable ? À supposer qu’on y arrive , créerait-on un chaos ? Une anarchie ? C’est ce que me disent ceux qu

11 it vital de « faire l’Europe » comme on disait, d’ arriver à une union fédérale, ou d’un autre type. Je me suis aperçu très vit

12 me suis aperçu très vite qu’on ne pourrait pas y arriver à cause de la formule de l’État-nation, à souveraineté illimitée, qui

13 . D’autre part, dans la faible mesure où l’on est arrivé à abaisser un peu les frontières, on s’aperçoit que les régions resur

14 ar le moyen des petites unités régionales qu’on y arrivera le mieux. La région et la commune Pourtant on s’aperçoit qu’act

15 ssociation, de destruction du principe social. On arrive à cette grande angoisse communautaire qui est absolument inconsciente

16 s de révolution. Ainsi, au premier coup d’œil, on arrive très bien à repérer, d’après l’architecture d’une ville, quel est le

17 s aujourd’hui, comme le Grec Constantin Doxiadis, arrivent au même chiffre qu’Aristote et Platon pour l’optimum d’une ville. C’e

18 ait jusqu’à présent, il se pourrait bien que l’on arrive à des désastres, qui sont calculables d’ores et déjà. « L’avenir e

19 questions : qu’est-ce que ceci ou cela ? ou : qu’ arriverait -il si… ? Et l’autre, en même temps, écrivait trois réponses. Puis on

20 a personne qui jouait avec moi avait écrit : « Qu’ arriverait -il si le diable entrait dans cette pièce ? » Je lus ma réponse : « To

21 son. La crise de l’énergie Cela vous est-il arrivé depuis ? Oui, dans des circonstances assez différentes. Je donnais la

22 es adjectifs flatteurs et dépréciatifs. Lorsqu’il arriva devant Claude Lévi-Strauss, il lui adressa un adjectif louangeur que

23 ommence quand on pose la question : « Que va-t-il arriver  ? » au lieu de se demander : « Que puis-je faire ? » o. Rougemont

24 ‘est pas aussi « gratuite » qu’on le croyait : il arrive même qu’elle soit la mieux payée et la plus payante au bout du compte

25 r à mon sens, c’est le contraire qui est vrai. Il arrive bien souvent que celui qui fait des lettres, de la médecine ou de l’h

26 à laquelle il croit pour l’avenir est « celle qui arrive à grouper toute une population ». C’est donc oui, et l’on se met au t

27 ue croyaient voir les journalistes, quand il leur arrivait de regarder de ce côté. De fait, il s’agissait de bien autre chose, d

28 t fonction. — De la France voisine, chaque matin, arrivent dans les bureaux et les usines de Genève quelque 23 000 travailleurs,

29 commence quand l’homme se demande : “Que va-t-il arriver  ?” au lieu de se demander : “Que puis-je faire ?”. À ces deux questio

30 t l’animateur de tous les urbanistes avancés, est arrivé à la fin de sa vie à la conclusion que la ville idéale ne doit pas dé

31 se taillaient des triomphes faciles parce qu’ils arrivaient et disaient : « Moi, je vais vous offrir du communautaire, du religie

32 min, car, si l’on prend les routes nationales, on arrive toujoursbg à la capitale, au centre, et alors, au lieu de prendre le

33 ous ne choisissons pas librement notre avenir, il arrivera …, etc. » Donc je n’annonce pas des cataclysmes, j’essaie au contraire

34 ence quand l’homme se demande : “Qu’est-ce qui va arriver  ?” au lieu de se demander : “Que puis-je faire ?” » Permettez-moi d’o

35 re. Vous vous interrogez à leur propos et vous en arrivez à l’idée que si tant d’hommes mentent, c’est qu’il doit y avoir là qu

36 ma première phrase : « À partir de maintenant, il arrivera dans le monde ce que les hommes voudront qu’il arrive. » Et les homme

37 ra dans le monde ce que les hommes voudront qu’il arrive . » Et les hommes réfléchissent et c’est le rôle des intellectuels de

38 rt ? Non, il y a encore un espoir, c’est qu’il va arriver maintenant un certain nombre de catastrophes qui seront assez mineure

39 iront se balader sur des villes comme c’est déjà arrivé sans qu’on nous le dise. On les a arrêtés au dernier moment, à plusie

40 on devrait toujours se demander : « Qu’est-ce qui arriverait si ça réussissait ? » Et plus prosaïquement encore : « À quoi ça sert

41 ple commence quand on se demande qu’est-ce qui va arriver au lieu de se demander : Qu’est-ce que je vais faire ? » Je ne crois

42 est notre affaire  : « À partir de maintenant, il arrivera dans le monde ce que les hommes voudront qu’il arrive. » Vous n’accep

43 ra dans le monde ce que les hommes voudront qu’il arrive . » Vous n’acceptez pas qu’on se retranche derrière la formule commode

44 puis-je faire ? », plutôt que « Qu’est-ce qui va arriver  ? » Vous refusez de voir l’intervention du doigt de Dieu dans certain

45 e partir droit devant lui sans envisager où il va arriver . La véritable futurologie devrait prévoir ce qui met notre avenir en

46 tait aberrante, à l’Allemagne : le racisme, il en arriva à exterminer six millions de juifs. Après la fin de la guerre, le rem