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res « bons Européens » — comme disait Nietzsche —
au nom de
quelles valeurs, et en vue de quelles finalités ? En nous posant cett
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eule activer dans notre histoire. Où irons-nous ?
Au nom de
quoi ? Et en vue de quelles fins faut-il créer l’union des gens de l’
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gouvernement, ou de gérance de la cité, en vue et
au nom de
fins déterminées. Gouverner c’est prévoir, dit l’adage. Mais qui pré
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hui se voit amenée à s’interroger. Et ce n’est qu’
au nom de
ses buts humains en tant qu’État fédératif qu’elle peut dorénavant ju
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ce physique de l’État centralisateur et policier,
au nom de
quoi tout s’ordonne à la guerre. Concorde résume un ensemble de calcu
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de mouvements idéologiques qui prétendent parler
au nom de
l’opinion, et la réaction de quelques hommes d’État non moins « natio
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naux » que les autres, mais qui prétendent parler
au nom de
la Paix. Le Congrès de l’Europe à La Haye restera la meilleure illust
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lois », de « commencer et de finir les guerres ».
Au nom de
quoi devrions-nous, toujours et encore, subir la tyrannie de cette dé