1 1974, Articles divers (1974-1977). Philosophie du prix littéraire Prince-Pierre-de-Monaco (1974)
1 habitant, la qualité des services, la densité des automobiles , des téléphones, des hôpitaux, des écoles, et des brevets d’invention
2 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
2 très peu : « Il n’y avait pas de demande pour les automobiles  », écrit-il simplement dans ses mémoires. Il parle même d’une « répug
3 et encouragé par ce succès, fonde la Société des automobiles Ford. Dans sa première publicité, il écrit que l’auto « peut vous men
4 rs est la plus grande firme du monde, l’industrie automobile domine l’évolution mondiale des industries. Or elle est née, cette in
5 ple, subordonnées en fait à la circulation de nos automobiles le dimanche. Or cette circulation quasi sacrée, qu’il faut sauver à n
3 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
6 de Georges Pompidou « Paris devait s’adapter à l’ automobile  ». La société post-industrielle, à mes yeux, aura pour première carac
7 e déclaration et de dire que, dorénavant, c’est l’ automobile qui doit s’adapter à Paris — c’est-à-dire l’industrie à l’homme. Le p
8 lle sobriété : « Nous sommes là pour produire des automobiles , non pas pour assurer le bonheur du genre humain. » La semaine derniè
9 tel processus, c’est de toute évidence celui de l’ automobile . À l’automne de 1875, il y a cent ans exactement, un petit paysan de
10 nnaire encyclopédique allemand, écrit en 1880 : «  Automobile  : nom qui a quelquefois été donné à de curieux véhicules mus par un m
11 ent, vouée à l’oubli rapide, telle est la voiture automobile que Messieurs Benz et Daimler viennent de présenter au Kaiser Guillau
12 l fonde une première entreprise de construction d’ automobiles . Et il note à ce moment-là, — et je vous prie de savourer la phrase,
13 e époque-là, il n’y avait pas de demande pour les automobiles … et même une répugnance du public… » Phrase inouïe, constat vertigine
14 de presque toutes les autres industries. Et cette automobile , pour laquelle il n’y avait pas de demande, et même une certaine répu
15 Enfin, et c’est le comble, née pour la vitesse, l’ automobile , dans les avenues de New York ou de Paris, permet de faire du quatre
16 pé une manière de vivre particulière à cause de l’ automobile , et vous ne pouvez plus changer cela en poussant un bouton. » L’avent
17 Nous avons vu que la prolifération illimitée de l’ automobile aboutit à l’embouteillage, soit à la vitesse zéro. De même, la proli­
4 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
18 ’imagine que le bonheur passe non seulement par l’ automobile mais aussi par les embouteillages. Tant qu’il n’aura pas l’un et l’au
19 ement. Prenez l’exemple de Ford, l’inventeur de l’ automobile , et de Hitler. À priori, rien de commun. Pourtant… Le premier, avec s
20 ur, met en péril les industries occidentales de l’ automobile , ce qui, finalement, peut être un bienfait pour notre mode de dévelop
5 1977, Articles divers (1974-1977). Pierre Desgraupes fait le point avec Denis de Rougemont (10 octobre 1977)
21 trole est dans les limbes. Et les constructeurs d’ automobiles , soutenus par les gouvernements, continuent à parler tranquillement d
6 1977, Articles divers (1974-1977). L’Avenir est votre affaire (11 octobre 1977)
22 humains nous est fourni par le développement de l’ automobile . Denis de Rougemont rappelle et cite dans son livre un article qu’il
23 ’astuces économiques et publicitaires, à rendre l’ automobile « nécessaire » dans l’esprit de ses compatriotes. Quand on lance une
24 numentale : « Il est temps que Paris s’adapte à l’ automobile … » « À quoi ça sert ? » Denis de Rougemont s’est posé la question, av
7 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
25  ? Est-il vraiment « temps que Paris s’adapte à l’ automobile  » (Georges Pompidou) ou au contraire que l’auto soit détournée du cœu
8 1977, Articles divers (1974-1977). Demain le soleil (20 décembre 1977)
26 tôt ou tard de grands événements. Hitler et l’ automobile Vous êtes l’un de ces hommes sensibles ? Dès 1932, j’avais prévu l
27 t lorsque ce passage a croisé la progression de l’ automobile . À première vue, cette histoire a l’air un peu fantaisiste, elle l’es
28 nte, après avoir précisé en exergue : Hitler et l’ automobile auront été les deux fléaux les plus dévastateurs xxe siècle et que l
29 gemont m’expliquer comment Ford, qui généralisa l’ automobile , et Hitler se sont trouvés être les alliés objectifs pour hypothéquer
30 e les villes se sont développées en fonction de l’ automobile . On a dépassé les limites humaines et des utopies se sont réalisées p