1
cause de cette carence est en interaction précise
avec
les causes de la crise mondiale, dont le rapport du club de Rome décr
2
ium mortel des centrales à fission, venant fermer
avec
une logique infernale (le nom l’indique et ce n’est pas un hasard) ce
3
entrerez, je l’espère, dans le débat — aux prises
avec
une question simple tout au moins dans son énoncé : quelle société ré
4
u la Liberté ? Tout changera selon la réponse. Et
avec
cela entrent en jeu, dans le concret, les valeurs, dont une mode de n
5
i qui libère. Au surplus, elle crée tant de liens
avec
ce qui n’est pas ma vocation, que toutes les religions de la terre l’
6
rochains dans la cité, parce que c’est parmi eux,
avec
eux et pour eux, autant que pour moi, qu’elle va peut-être se réalise
7
nir responsable, s’accepter soi-même, communiquer
avec
autrui, accéder enfin au pouvoir non sur autrui, mais sur soi-même, c
8
oulons-nous à tout prix un certain niveau de vie,
avec
les disciplines sociales uniformes et dépersonnalisantes que cela sig
9
voulons-nous accéder à notre mode de vie propre,
avec
ses exigences exaltantes, celles de construire jour après jour notre
10
cela signifie : créer des régions et les fédérer,
avec
tout ce que cela implique d’autogestion à tous les degrés, de respons
11
J’ai tenté récemment de confronter mes souvenirs
avec
ceux d’Alexandre Marc, mais sur ce point, du moins, nos divergences m
12
tu, toi ? » — « 15 ans. » L’officier le considère
avec
curiosité et tout d’un coup : « Tu as de la chance, c’est l’âge de mo
13
ncertitude qui subsiste sur ma première rencontre
avec
Alexandre Marc s’accentue fortement quand il s’agit de mes premiers c
14
ortement quand il s’agit de mes premiers contacts
avec
Mounier, qui fondait alors Esprit , avec Dandieu, qui allait inspire
15
ontacts avec Mounier, qui fondait alors Esprit ,
avec
Dandieu, qui allait inspirer L’Ordre nouveau , et tout d’abord avec
16
llait inspirer L’Ordre nouveau , et tout d’abord
avec
Philippe Lamour et sa revue Plans, à laquelle je collabore en 1931. U
17
itiques s’étaient bornées à d’acerbes discussions
avec
les maurrassiens de Suisse romande, qui me traitaient de communiste,
18
doctrinale dans les « controverses de fractions »
avec
la souplesse dans l’action, et maniant tour à tour l’exclusive jusqu’
19
ncfort pendant le Carnaval de 1932 où il tentait,
avec
Philippe Lamour, de fonder une internationale des jeunesses en ruptur
20
dire que depuis plusieurs mois, nous travaillons
avec
Mounier, Izard, Galey, Touchard et toute l’équipe qui a préparé la re
21
rée de jeu, ses premiers directeurs. La rencontre
avec
Dandieu a mal tourné, comme on peut le voir aux pages 100 à 102 de l’
22
; et en dépit aussi de mes sérieuses divergences
avec
le nietzschéisme antichrétien qui anime alors plusieurs des dirigeant
23
d’ Esprit . 9 novembre 1932. Émouvante entrevue
avec
Maritain… Le numéro 2 lui a beaucoup déplu, non seulement par l’allur
24
s trois textes sont les plus explosifs du numéro (
avec
peut-être quelques pages de Georges Izard sur « La patrie et la mort
25
« La patrie et la mort »). Mounier va-t-il rompre
avec
l’ON ? Il préfère écrire, au seuil du numéro : « Nous sommes le parti
26
e, ou Maritain si vous le voyez avant, ce conflit
avec
L’Ordre nouveau … Le mouvement s’oriente nettement vers un fascisme
27
première, que j’ai citée plus haut (conversation
avec
Maritain). Débordé sur sa gauche par l’ON, « entraîné » comme il l’éc
28
c’est sans doute aux longs entretiens quotidiens
avec
chacun des membres du groupe que l’ON dut sa cohésion de 1930 la guer
29
r la métaphore chez Marcel Proust, il poursuivait
avec
le docteur Eugène Minkowski des recherches psycholinguistiques qu’on
30
plus tard structuralistes. Et il venait de signer
avec
Robert Aron La Révolution nécessaire, un des rares livres de ce siècl
31
6. Bibliothécaire à la Nationale, Dandieu formait
avec
Georges Bataille et Henry Corbin, ses collègues, un trio d’une extrêm
32
e, la Revue du cinéma et le théâtre Alfred Jarry (
avec
Artaud) avant de rencontrer Dandieu : le contraste de ces deux person
33
nap, Hubert), et écrit en collaboration fréquente
avec
Dandieu. René Dupuis et Jean jardin ont été condisciples de Marc à Sc
34
ation. La critique de l’État centralisé, confondu
avec
la Société, le gouvernement, la Nation, voire pris comme source du Dr
35
e L’ON se refusera systématiquement à écrire état
avec
une majuscule : manière concrète de rappeler au lecteur que l’État n’
36
nation conduit donc à les identifier à leur tour
avec
l’état, c’est-à-dire à concentrer l’existence de la nation dans le mé
37
e Maurice Hauriou et de G. Gurvitch, Marc conclut
avec
Léon Duguit « qu’il existe une règle de droit antérieure et supérieur
38
attitude. Là-dessus, une page (en collaboration
avec
Claude Chevalley) où l’on trouvera déjà l’essentiel de la description
39
n purement utilitaire de la diversité (en liaison
avec
les « passions » de l’animal — dans le sens étymologique du terme — q
40
’on tente d’en faire le lieu de ce contact direct
avec
la chair et la terre qui est nécessaire à l’homme. (ON 15) (On sait
41
, sous le nom de Michel Glady et en collaboration
avec
Cl. Chevalley, Marc donne l’esquisse d’une recherche future sur les f
42
me vois amené à reprendre aujourd’hui en relation
avec
ma théorie des régions fonctionnelles. Les deux passages que je vais
43
des collines, pendant une promenade d’après dîner
avec
mes hôtes, nous parlions de prémonitions, et je venais de raconter co
44
aient bien de l’appliquer chez eux, et d’en finir
avec
cette espèce de blocage au niveau cantonal de la distribution fédéral
45
lle nationale, et de faire coïncider, par décret,
avec
les territoires délimités par les cordons douaniers. Comment, dès lor
46
naie, de la défense, et des relations de l’Europe
avec
les autres continents. Ces agences s’occuperont des problèmes réels q
47
is mettre en valeur celui-ci ; qu’il partage seul
avec
le prix Nobel le privilège d’être à la fois littéraire et internation
48
s… Cet art nous parle, et dans une langue du cœur
avec
laquelle vos propres émotions vont pouvoir dialoguer naturellement, s
49
ant que de la technique. Le sacré : jamais l’Art
avec
la majuscule dont se moquait notre cher Cingria, ne pourra remplacer
50
vre m’est cher infiniment et me donne de la joie.
Avec
quelle conviction, quel savoir-faire et quelle flamme tu as su défend
51
travail du peintre n’a jamais consisté à disposer
avec
plus ou moins d’agrément une figuration anecdotique comme le voulait
52
sur l’opinion mondiale. Herman Kahn est l’auteur,
avec
Anthony J. Wiener, d’un ouvrage célèbre sur L’An 2000. Son système de
53
rs un homme très sensible, qui au premier contact
avec
la première auto, eût refusé d’instinct ce bruit, ces vapeurs, ces od
54
s Européens ! — et répandu sur toute la terre. Et
avec
cela, le principal est sinon dit, du moins très clairement annoncé, s
55
régions « remontent ». On ne fera jamais l’Europe
avec
les États-nations. Donc, on la fera avec les régions. Comment voyez-v
56
l’Europe avec les États-nations. Donc, on la fera
avec
les régions. Comment voyez-vous la montée de l’idée de région ? Il y
57
ns que devaient entretenir les régions françaises
avec
l’extérieur. Presque toutes les régions intéressantes de l’Europe son
58
e je suis parvenu à l’idée de région. J’ai pensé,
avec
beaucoup de gens, au lendemain de la guerre, qu’il était vital de « f
59
il faut qu’une région en France soit compétitive
avec
un Land allemand ». Alors je leur dis : « avec quel Land ? » Par exem
60
ve avec un Land allemand ». Alors je leur dis : «
avec
quel Land ? » Par exemple avec le Land de Bavière, qui a 12 millions
61
rs je leur dis : « avec quel Land ? » Par exemple
avec
le Land de Bavière, qui a 12 millions d’habitants et 71 000 km2, la R
62
anie-Westphalie qui a 19 millions d’habitants, ou
avec
le Land de Hamburg qui n’a guère plus d’un et demi-million d’habitant
63
un réseau de nécessités techniques, économiques,
avec
ordinateur à l’appui, qui interdit l’idée de faire de l’avenir notre
64
dissolution civique, à la dissociation en atomes.
Avec
cette poussière d’individus, l’État totalitaire va faire son ciment.
65
ndre le pouvoir ? Je ne suis pas du tout d’accord
avec
le terme « prendre le pouvoir ». Et c’est là que je me sépare radical
66
Il n’y a aucune espèce de raison que ça coïncide
avec
un espace économique raisonnable. Donc il est fatal que le développem
67
et jouer un rôle d’aide technique. Quoi de commun
avec
ITT ou les pétroliers ? Unilever, elle, me paraît entre les deux ; Un
68
e : « voilà une chose qui ne cadre absolument pas
avec
nos coutumes, qui est destructrice de l’environnement, qui est trop g
69
rs depuis une dizaine d’années. Ils disaient tous
avec
mépris : « c’est de l’intérêt local, ou c’est de l’intérêt régional »
70
n » qui conduit toujours à la tyrannie. Car c’est
avec
la poussière des individus que l’État fait son ciment. Cela n’est pas
71
, laquelle colonie bien sûr resterait en relation
avec
la mère-patrie). Mais la polis n’a jamais dépassé 100 000 habitants —
72
stent encore maîtres de leur destin civique. Mais
avec
l’Empire d’Alexandre, toutes ces normes ont été délaissées, et on a b
73
plus dangereux à manier. Mais je pense, en accord
avec
bien des urbanistes, américains surtout, et anglais également, qu’il
74
villes du xixe siècle sont des villes en étoile
avec
de très larges avenues qui servent au défilé des troupes, elles peuve
75
dans tous les domaines et dans tous les secteurs,
avec
les dimensions de la tâche à exécuter, de faire coïncider ces dimensi
76
che à exécuter, de faire coïncider ces dimensions
avec
celles de la communauté. Il faut trouver une adéquation de la dimensi
77
l’un des “pères de l’Europe“, Denis de Rougemont.
Avec
Churchill, Robert Schumann, Jean Monnet et Konrad Adenauer, Denis de
78
ié. Nous avons décidé de nous rencontrer souvent,
avec
d’autres artistes et écrivains surréalistes venus d’Europe par divers
79
la mode voulait que l’on fît quelques accrocs ou,
avec
des cigarettes, quelques trous artistement disposés. Les allures un p
80
maison de Ferney. Un soir, la personne qui jouait
avec
moi avait écrit : « Qu’arriverait-il si le diable entrait dans cette
81
mme qui croit en Dieu pouvait avoir des relations
avec
la magie. Car c’est un fait qu’au cours de nos jeux surréalistes d’in
82
tres. Un jour, nous parlions des sectes cathares,
avec
un ami. Il écoutait d’une oreille, et brusquement il s’est tourné ver
83
ausanne, 7–8 septembre 1974, p. 57. j. Entretien
avec
Franck Jotterand précédé de ce chapeau : « Le surréalisme a cinquante
84
ante ans, si l’on admet que sa naissance coïncide
avec
la publication du Manifeste d’André Breton, en 1924, qui proclamait :
85
os populaires si elles ne se trouvaient coïncider
avec
un sentiment diffus, presque inconscient, qui tourmente la Suisse du
86
repentir, de conversion, et cela n’a rien à voir
avec
le masochisme. 18. Phrase extraite du commentaire d’une enquête soci
87
, et les disciplines de travail ou horaires, nées
avec
les grandes villes au premier tiers du xixe siècle ; la production q
88
nce qui n’avait donc rien de commun, sauf le nom,
avec
la croissance vivante au sens authentique du terme, celle des plantes
89
s d’aujourd’hui. En 1973, Henry Ford II déclarait
avec
une belle sobriété : « Nous sommes là pour produire des automobiles,
90
litaire ». Le jeune Ford, lui, marche à l’étoile,
avec
toute l’assurance que peuvent donner aux ambitions d’un petit campagn
91
ance humiliante de quelques émirs de droit divin,
avec
des conséquences politiques qui relèvent du carambolage non calculé
92
r de la Seconde Guerre mondiale Seule rescapée
avec
la Suède des deux grandes guerres du xxe siècle européen, la Suisse
93
cle européen, la Suisse entre dans l’après-guerre
avec
des sentiments mêlés de soulagement (elle n’a pas été occupée, son ar
94
aussi par la reprise des relations diplomatiques
avec
l’URSS, puis avec la Chine de Mao — démarche que la plupart des États
95
ise des relations diplomatiques avec l’URSS, puis
avec
la Chine de Mao — démarche que la plupart des États européens n’ont p
96
ui enseigne alors à l’Université de Bâle) exprime
avec
force ce point de vue : « … dans l’avenir, ou bien l’Europe deviendra
97
on a pris l’habitude de confondre le fédéralisme
avec
le réflexe de résistance à « Berne », c’est-à-dire aux mesures qu’on
98
ne des accords de coopération limitée mais réelle
avec
la CEE. Mais des liens plus concrets se tissent chaque jour entre la
99
ent au niveau de la Confédération. La difficulté,
avec
le fédéralisme, c’est que peu de gens savent réellement ce que c’est.
100
ité, c’est évident, et vous le savez. Vous n’avez
avec
vous que la justice, et vous êtes au surplus en état de légitime défe
101
atomique. Ou alors, s’ils avaient commencé là-bas
avec
leurs bombes atomiques, il n’y aurait même plus eu de place pour les
102
ement sexuel « sans histoire », comme à la fusion
avec
l’Autre, détruisant toute altérité. Mais l’obstacle suprême est la mo
103
erse de la passion : il peut être sans lien aucun
avec
l’Éros, il n’est pas sentiment mais acte, respect de l’Autre comme su
104
ier éloge du mariage d’amour : « L’union physique
avec
une épouse est source d’amitié, comme une participation en commun à d
105
t d’une adoration mystique qui se confond bientôt
avec
celle vouée à la Sainte Vierge. La « cortezia » On connaît la b
106
ment, le désir et la passion, n’a pris ce sens qu’
avec
la poésie des troubadours. Cette poésie apparaît subitement dans le s
107
anguedoc) et va se répandre sur tout le continent
avec
une surprenante rapidité. Elle ne ressemble à rien de ce qu’avaient c
108
ions, déjà citées, des poésies dues à des clercs…
Avec
ses formes fixes et raffinées et sa doctrine absolument nouvelle, la
109
poésie chantée naît dans le Poitou et le Limousin
avec
les premières œuvres de Guillaume, sixième comte de Poitiers et neuvi
110
ident, des troubadours à notre siècle, se confond
avec
celle des expressions du désir, du sentiment et de la passion, non se
111
t sa cousine au quatrième degré et qu’elle a tenu
avec
lui un enfant sur les fonts baptismaux. La terreur de l’inceste, dès
112
l son amour interdit « donne l’audace de négocier
avec
la mort » (Pétrarque). Passion et obstacle C’est un fait éviden
113
ie subtile. « Les femmes de ce temps n’aiment pas
avec
le cœur, elles aiment avec la tête », dit l’abbé Galiani. « Des débau
114
ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles aiment
avec
la tête », dit l’abbé Galiani. « Des débauchées de l’esprit », ajoute
115
aclos. Leur cruauté reste purement psychologique.
Avec
Sade, elle tourne aux sévices corporels. Le marquis de Sade écrit ses
116
lui à poursuivre l’impossible, aussi incompatible
avec
la vie vécue, et que J. Huizinga nommait « l’idéal de la luxure ». On
117
progressive sensibilisation, des mœurs au mythe,
avec
l’usure et la déperdition d’énergie que cela implique nécessairement,
118
son système de valeurs jugées incompatibles soit
avec
la justice sociale, soit avec l’exigence chrétienne. Baudelaire, prof
119
incompatibles soit avec la justice sociale, soit
avec
l’exigence chrétienne. Baudelaire, profond révélateur de la sensibili
120
, a condamné la plupart des religions », écrit-il
avec
une lucidité toute nietzschéenne. Suivant en cela Baudelaire, Bataill
121
spective, la passion paraît condamnée et le roman
avec
elle. Mais tout peut se renverser très vite, au point de crise que no
122
lisme délirant, sans nul espoir de réconciliation
avec
la science ou la théologie. Entre ce trop haut et ce trop bas égaleme
123
al qu’il l’affirme et qu’il continue à l’affirmer
avec
véhémence. Il est comme un soldat qui n’accepte pas la discipline, se
124
le cerveau. Pour ce magistrat le dogme, la vérité
avec
un grand V constituent la norme. Hors de leur église point de salut e
125
modestes troubadours dont quelques-uns moururent
avec
leurs amis cathares sur les bûchers de la première Inquisition. Est-c
126
e nous — c’est d’influencer les pensées. Regardez
avec
quel soin il s’occupe de la radio et de la télévision. Si un pays com
127
t à résoudre sur place par des gens de la région,
avec
l’aide des élus locaux. Par exemple le problème de sauvetage du Léman
128
rées, des fêtes rituelles que rappelle plus loin,
avec
une passionnante érudition, le professeur Estreicher, le festival, au
129
alisation ; mais aussi par l’accord de ces œuvres
avec
l’ambiance des lieux où elles sont jouées, créant ainsi une atmosphèr
130
les portefeuilles publicitaires. Cela va de pair
avec
l’accroissement du temps de loisirs, la diffusion des disques, et d’u
131
exemple : Je donne depuis deux ans, en alternance
avec
André Reszler, un cours sur Les Mythes formateurs de la psyché europé
132
tout en multipliant rapprochements et contrastes
avec
les mythologies de Sumer et d’Akkad, de l’Inde, de la Chine, ou de la
133
ez me dire que ces démarches sont peu compatibles
avec
l’idée du sérieux scientifique qu’on cultivait au xixe siècle, mais
134
inent parfois à notre insu les arguments échangés
avec
tant de passion au sujet des centrales nucléaires, ou de Concorde, de
135
giques de l’idéal matérialiste du Progrès combiné
avec
la réalité toujours plus totalitaire de l’État-nation : « Toujours pl
136
t. Si au contraire vous voulez la liberté d’abord
avec
les risques qu’elle comporte, vous vous heurtez aux cadres géométriqu
137
litaire par excellence ! Revenir au théâtre grec,
avec
son chœur ? Ce serait la solution formelle ; encore faudrait-il l’ada
138
ire, à 46 ans, il vient d’écrire Jeanne au bûcher
avec
Claudel. De quinze ans son cadet, inconnu du grand public, je ne lui
139
dit Breton, et tiré bon parti de leur convergence
avec
l’événement historique, pour aboutir à notre oratorio, puis en 1945 à
140
Coudenhove-Kalergi, puis échoue — momentanément —
avec
le projet Briand de 1932 ; Un mouvement multiforme de militants europ
141
me agricole de l’Europe […], sans cesse confronté
avec
le devenir de l’économie mondiale ». C’est à Montreux enfin que naît
142
s. Plutôt que l’Europe elle-même, ce qui naissait
avec
la CECA, c’était une méthode pour faire l’Europe. Nous avons vu que l
143
le Marché commun et Euratom. Ces deux organismes,
avec
la CECA déjà installée à Luxembourg, vont constituer l’ensemble connu
144
sous le nom de Communauté économique européenne,
avec
siège à Bruxelles. Le fait patent que vingt-cinq ans après la formati
145
. Le dilemme devient des plus clairs : irons-nous
avec
eux vers l’Europe satellite, ou sans eux vers l’Europe des régions fé
146
texte de l’équipe Monnet, « néglige de l’examiner
avec
toute l’attention qu’il méritait », autrement dit n’y répond pas : il
147
rdance littérale de nos propositions théologiques
avec
les énoncés de la Bible, mais de juger si c’est la Parole de Dieu, do
148
mation de l’ami retrouvé ne marque aucune rupture
avec
notre passé, ni encore moins mon ralliement à quelque antidoctrine no
149
é d’ouvrir les débats, parce que je suis d’accord
avec
presque tout ce qu’a dit Jeanne Hersch hier soir. Il aurait peut-être
150
) Mais elle entretient des relations privilégiées
avec
la France, par-dessus les régions protestantes. Quant au Valais, prin
151
forme, les autres (Savoyards) en guerre chronique
avec
les seigneurs de la haute vallée. Ces inter-relations complexes, souv
152
t entretenu pendant des siècles des liens étroits
avec
la Franche-Comté (sa charte de franchises, 1214, était copiée sur cel
153
Neuchâtel et Vaud) et les liens de combourgeoisie
avec
la République de Berne (pour Neuchâtel quoique francophone, pour Frib
154
édit… L’esprit romand implique aussi, en relation
avec
ce qui précède, une vie culturelle d’une exceptionnelle intensité : c
155
e Valais tend à resserrer ses liens traditionnels
avec
le Val d’Aoste. Les problèmes horlogers renouvellent les rivalités ma
156
oises et par les rivières savoyardes non épurées.
Avec
l’aéroport de Cointrin et ses nuisances, les menaces de Verbois nuclé
157
l’arc jurassien qui va de Genève à Bâle-Campagne,
avec
des prolongements vers Cluse au sud et le Pays de Bade au nord ; 80 %
158
dans l’inconscient collectif, se trouve coïncider
avec
l’extension non seulement d’un phénomène culturel comme les universit
159
pporter les mêmes réponses, mais on doit convenir
avec
lui de l’urgence de solutions. Pour étayer votre thèse, Denis de Roug
160
e. Déjà en 1932, lorsqu’il fonde la revue Esprit,
avec
E. Mounier, il pense à une Europe qui naîtrait de la fédération des r
161
ysicien, Lew Kovarski (un des trois qui découvrit
avec
Joliot-Curie et von Halban la fission de l’atome). Cette agence révél
162
nté et de leur voix. Et de s’en prendre à l’école
avec
la véhémence du professeur courroucé. L’école ! mais c’est elle qui p
163
e sais pas très bien ce que c’est ! Tout de même,
avec
la naissance d’une nouvelle sensibilité écologique, avec le retour en
164
naissance d’une nouvelle sensibilité écologique,
avec
le retour en force d’une certaine tradition humaniste et antitotalita
165
n des premiers à formuler concerne l’État-nation.
Avec
sa volonté de puissance et son égoïsme sacré, il serait le grand resp
166
n’a plus au-dedans. » À cet égard, on peut dater
avec
précision la naissance de l’État-nation : c’est le 20 avril 1792, lor
167
ésistance — aurait dû s’imposer tout de suite et,
avec
quelques amisau, j’avais milité en ce sens. Il se trouve que des manœ
168
ut dire « ancien » et pour qui l’ordre se confond
avec
la tyrannie. Dans les années 1930, notre grand souci, c’était d’abord
169
en dérision. À l’époque, cela cadrait tout à fait
avec
la propagande nazie. Peut-être, mais c’était un malentenduay. Ce sur
170
l’on sait. Au fond, vous ne cessiez pas de jouer
avec
la politique sans jamais choisir votre camp. C’était une position dél
171
. À priori, rien de commun. Pourtant… Le premier,
avec
son obstination géniale, impose à notre civilisation un type de trans
172
on géographique, provoque des conflits incessants
avec
les pays arabes producteurs de pétrole. D’où la crise de 1973, qui ab
173
au-dessus de lui et cela a commencé, chez nousbl,
avec
Philippe le Bel, qui s’est laissé persuader par ses légistes que « le
174
la volonté de puissance. Certes, ils ont affaire
avec
le sublime mais aussi, toujours, avec la mort. Si l’on prolongeait ce
175
ont affaire avec le sublime mais aussi, toujours,
avec
la mort. Si l’on prolongeait cette analogie, on en viendrait à dire q
176
el Mounier avait dit ; « Denis de Rougemont écrit
avec
un œil sur l’absolu et un œil sur Jean Paulhan. » À l’évidence, vous
177
Pierre Desgraupes fait le point
avec
Denis de Rougemont (10 octobre 1977)bo bp Denis de Rougemont, je v
178
croissance des plantes et des organismes vivants
avec
laquelle elle n’a pourtant rien à voir. Car la croissance biologique
179
her qu’il ne sera plus question de rouler en auto
avec
un carburant dont chaque gramme vaudra son pesant de platine… Alors q
180
t est venu à manquer et imaginez le même incident
avec
le pétrole ! Puis-je vous citer la fin de votre phrase de tout à l’he
181
st parce qu’ainsi ils produisent du plutonium, et
avec
le plutonium, qu’est-ce qu’on fait ? Des bombes et rien d’autre. Donc
182
de cette chose-là quand on a annoncé la démission
avec
éclat d’un certain professeur de physique qui faisait partie de cette
183
ns les cavernes ! » C’est une ânerie monstrueuse.
Avec
les centrales nucléaires, nous aurons, selon les estimations les plus
184
ais se développe surtout pendant la Révolution et
avec
Napoléon : c’est l’idée tyrannique de faire faire la même chose à tou
185
otre livre ce procès du « mythe de la puissance »
avec
tant de passion. Tout ce que vous venez de dire ne montre-t-il pas qu
186
Et si oui, comment ? Je dirai qu’il faut en finir
avec
l’État-nation et qu’il faut, pour cela, changer de fins. La fin de l’
187
moutons, mais ils ne savaient pas trop quoi faire
avec
la laine. Alors ils ont acheté une usine en Savoie pour faire des tis
188
îner chez l’habitant, ou dialogue à la télévision
avec
des lycéens. Probablement, mais ce n’est encore qu’une intention, et
189
cratie dans des dimensions qui sont incompatibles
avec
le dialogue ou, du moins, la concertation. Donc il faut renoncer aux
190
d’urgence. Regardez, par exemple, ce qui se passe
avec
la pollution des eaux. Le Léman, le Rhin, la Manche sont menacés de m
191
de, « [Entretien] Pierre Desgraupes fait le point
avec
Denis de Rougemont », Le Point, Paris, 10 octobre 1977, p. 189, 191,
192
ais tout le monde sait qu’on peut faire une bombe
avec
cinq à six kilos de plutonium. Ce qui permettra à n’importe quel État
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ment ! Notez que si vous discutez, dans le privé,
avec
tel ministre, tel conseiller fédéral, il vous dira que, s’il n’était
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dira que, s’il n’était pas au pouvoir, il serait
avec
les manifestants de Kaiseraugst ou d’ailleurs… Mais alors, s’il est v
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e plus grand silence, mais l’écrivain y montrait,
avec
une étonnante lucidité, que la voiture ne correspondait au départ à a
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rt ? » Denis de Rougemont s’est posé la question,
avec
une corrosive ingénuité à propos de Concorde, « le mensonge qui va pl
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stes qu’il défend depuis une quarantaine d’années
avec
l’analyse des problèmes les plus actuels. Il faut souligner cette fid
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e gloire confortable. Et voici qu’il nous propose
avec
L’Avenir est notre affaire (Éd. Stock) un livre d’une extraordinair
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e jeunesse, un ouvrage percutant où il s’en prend
avec
autant de courage que d’efficacité aux grands périls qui menacent not
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1977)bu bv Denis de Rougemont, c’est Cassandre
avec
le sourire. Pas banal. Les diseurs d’avenir, ceux qui ne se sont jama
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s L’Amour et l’Occident , en opposition complète
avec
la passion amoureuse où l’on ne « voit pas » l’autre. Je me rallie à
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p. 8. bv. Propos recueillis par Pierrette Rosset
avec
François Ducoup.
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ouvrage est un succès public. Nous en avons parlé
avec
l’écrivain dans sa demeure de Pouilly, en France : « Le pays dont je
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re notamment que l’actualité a fini par coïncider
avec
son combat et lance un cri d’alarme. »
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ns libres, c’est-à-dire environ 50 000 habitants (
avec
les femmes, les enfants, les métèques et les esclaves). Dans les deux
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ui ont été faites pour le profit de quelques-uns,
avec
l’aide forcée de tous les contribuables qui avaient oublié d’être des
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ngues et publié dans quatorze pays, mais toujours
avec
de faibles tirages. Ce succès n’a jamais été un best-seller. On vient
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lemagne nazie, puisque nous avons eu des rapports
avec
le fameux Orchestre rouge qui passait via la Suisse des renseignement
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ns chaleur, sans lumière, figés dans l’immobilité
avec
des routes comme des artères privées de sang. C’est ainsi que, d’une
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upés sur trente. Saint-Thomas Croyez-vous qu’
avec
de telles mutations non contrôlées, on ne détruit pas le tissu social