1 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
1 tanément… On peut parler de la patrie alsacienne, bretonne , catalane. Il n’en reste pas moins que la commune est le lieu privilé
2 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
2 vécue bien plus encore que littéraire : amitié de Breton d’abord, puis de Marcel Duchamp, et, par eux deux, de Consuelo et d’A
3 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
3 ul facteur qui serait la langue par exemple : les Bretons réclament une région Bretagne, mais ils sont obligés de constater que
4 etagne, mais ils sont obligés de constater que le Breton n’est parlé que dans une partie du pays, le reste c’est le gallo qui
4 1974, Articles divers (1974-1977). Surréalisme : un jeu qui dure depuis 50 ans (7-8 septembre 1974)
5 vaient Claude Lévi-Strauss et André Breton. Entre Breton et moi, ce fut une sorte de coup de foudre d’amitié. Nous avons décid
6 oujours été, à Paris, une affaire de groupe, dont Breton était le « pape », mais au-dessus du pape, il y avait le Bon Dieu, c’
7 un peu folles étaient admises, jamais la drogue. Breton ne l’eût pas toléré. Il régnait parmi nous une certaine tenue et une
8 grande liberté de ton. Nous faisions des jeux que Breton prenait très au sérieux. Pour lui, le jeu était une sorte d’expérimen
9 its papiers, où je retrouve souvent l’écriture de Breton , mais les plus étonnants datent de mon retour en Europe, lorsque je r
10 sont rallumées. Était-ce « la part du diable » ? Breton m’a souvent parlé de ce livre, que j’ai écrit à New York. Il se deman
11 élépathie, je devinais presque toujours juste. Et Breton  ? Lui, jamais ! C’était d’autant plus curieux que rien ne l’intéressa
12 et un rationaliste malgré lui. Les insultes de Breton Un soir, on avait décidé que l’on me banderait les yeux et que l’o
13 es. Chaque fois, j’ai deviné à qui était l’objet. Breton était comme « transfixé » par ce genre de choses. Vous vous souveniez
14 donné lieu parfois à des scènes terribles, quand Breton n’était pas d’accord. Un jour, par exemple, nous avions décidé de fai
15 ar l’occultiste du xixe siècle Éliphas Levi, que Breton vénérait. Un jeune philosophe grec fut désigné, que Breton avait bapt
16 nérait. Un jeune philosophe grec fut désigné, que Breton avait baptisé « le nouveau Hegel ». Il fit le tour de l’assistance, d
17 ski, qui critiquait Freud. Fureur jupitérienne de Breton , qui expulsa le personnage sur l’heure : « Sortez ! tonna-t-il. Et je
18 y a quelque chose qu’on ne peut guère pardonner à Breton , cette faculté qu’il avait d’insulter les gens sans aucune espèce de
19 Les surréalistes ont célébré les villes modernes. Breton aimait-il New York ? Pour eux, la ville moderne, c’était Paris, si cu
20 rne, c’était Paris, si curieux que cela paraisse. Breton détestait New York, qu’il trouvait vide, artificiel, sans âme. Je me
5 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
21 nie grossière du mariage féodal et catholique. Le Breton Pierre Abélard (1079-1142), poète, philosophe, théologien et le plus
6 1977, Articles divers (1974-1977). Souvenir de 1938 (1977)
22 sieurs séries de « hasards objectifs », comme dit Breton , et tiré bon parti de leur convergence avec l’événement historique, p
7 1977, Articles divers (1974-1977). « L’avenir, c’est notre affaire ! » (18 octobre 1977)
23 cinq langues « nationales », parmi lesquelles le breton , le flamand et l’allemand. Non seulement la révolution s’est chargée