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plus exactement : où voulons-nous qu’elle aille ?
Car
il s’agit dorénavant moins de prévoir les événements que d’orienter l
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oit félicité par nous tous, en tant que citoyens.
Car
le Conseil ne tente rien de moins, dans cette affaire, que de fonder
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artir de là. Et l’on ne peut pas faire autrement.
Car
la pensée, en général, n’est peut-être que le feed-back d’une surpris
4
n plus encore que les prévisions du club de Rome,
car
c’est lui qui les rendra vraies, quand elles n’étaient que monitoires
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ie pour autant traité de « fauteur de désordre ».
Car
le plus profond des désordres, c’est celui qui est au cœur d’une soci
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opposer par la violence serait bien pire que vain
car
ce serait faire son jeu. Cette crise morale affecte l’Occident tout e
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sa voie et à courir son aventure sans précédent.
Car
chacun naît de quelque chose qui n’a jamais été auparavant, qui n’est
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ment entraînerait dans sa perte l’espèce humaine.
Car
l’homme ne peut rien contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on nie D
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iquement, vous y croyez, tous tant que vous êtes.
Car
si vous protestez, comme vous le faites tous, chaque jour, contre les
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fatal que l’État s’en empare un jour ou l’autre.
Car
l’État réclame en effet la totalité des allégeances, et ne peut tolér
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ar suite ne valent rien pour aimer leur prochain.
Car
toute la tradition hébraïque et chrétienne qui a formé vingt siècles
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ose qui se lamente 12 heures par jour à la radio.
Car
aimer son prochain comme soi-même est un commandement de la Bible. Pu
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roupe que l’ON dut sa cohésion de 1930 la guerre.
Car
jamais unité ne fut achevée à partir d’une plus radicale diversité. N
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x passages que je vais citer (non sans scrupules,
car
ils souffriront d’être privés de l’éclairage du contexte) me paraisse
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istrer les choses et non de gouverner les hommes.
Car
les hommes doivent de plus en plus tendre à se gouverner eux-mêmes. C
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placer le sacré, quoi qu’en écrive André Malraux,
car
s’il n’est pas un art au monde qui ne soit issu du sacré, il n’en est
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isation désormais déclarée à l’échelle mondiale.
Car
c’est bien de cette crise mondiale qu’il s’agit aujourd’hui, et avant
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de la multiplier par 16 384 en moins d’un siècle,
car
c’est le chiffre qu’on obtient au bout de quatre-vingt-dix-huit ans e
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finir une politique, d’évaluer ses répercussions…
Car
le même processus se répète dans tous les autres domaines de la civil
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’ils pèchent au contraire par excès d’optimisme :
car
pour spectaculaires que soient les catastrophes prévues par leurs mét
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croire. C’est le seul moyen de les faire mentir.
Car
elles ne demandent qu’à être démenties, on peut même dire qu’elles ne
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olitude, elle les tue d’une manière irréversible.
Car
pour elle, on bétonne les campagnes (18 % de la Hollande déjà) et c’e
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n parkings, et en chassant les piétons des rues ;
car
c’était sur les places et dans les rues que se formait traditionnelle
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on sauvage, gaspillage des ressources naturelles.
Car
cette crise, de toute évidence, résulte d’une très mauvaise gestion d
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s. Là seulement l’homme peut être vraiment libre,
car
là seulement il est vraiment responsable. Jean-Jacques Rousseau l’ava
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, voir comment on pourrait organiser ces régions,
car
il faut un minimum d’organisation administrative, quitte (je vais y r
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plus grave que la civilisation puisse affronter,
car
cela mène à la dissolution civique, à la dissociation en atomes. Avec
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cipation sur le désir de prospérité ? Sans doute,
car
toute l’histoire du siècle est dominée par l’angoisse des hommes deva
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atomisation » qui conduit toujours à la tyrannie.
Car
c’est avec la poussière des individus que l’État fait son ciment. Cel
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n Dieu pouvait avoir des relations avec la magie.
Car
c’est un fait qu’au cours de nos jeux surréalistes d’intuition, de di
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as une solution et empêche même d’en trouver une,
car
si elle est un péché, il faut le révoquer, ou si elle nous fait tombe
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rdinage, à la contemplation ou au bouddhisme zen.
Car
les besoins et les désirs de la société industrielle, aussi nommée so
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— « Ma résolution pouvait passer pour téméraire,
car
à cette époque-là, il n’y avait pas de demande pour les automobiles…
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n, et passant avant tout cela, s’il faut choisir.
Car
le profit n’est pas un principe de mesure pour l’homme, ni pour la ci
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elle) n’importe quoi par n’importe quel chiffre :
car
cette opération, si elle accroît le PNB, n’en a pas moins pour effet
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pport à l’union de l’Europe en train de se faire.
Car
la Suisse ne saurait tenir balance égale entre les ennemis de l’Europ
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le fédéralisme dans un seul pays est utopique ».
Car
si, dans les domaines indiqués plus haut, on voulait limiter la coopé
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réée, et qui ne va pas exactement dans leur sens,
car
je ne vois pas comment des maoïstes ou des trotskystes pourraient êtr
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ie des catastrophes qu’elle n’aura pas pu éviter,
car
elles seront mondiales, mais contre lesquelles elle sera peut-être mi
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de l’amour.) S’agirait-il d’un refoulement ? Non,
car
la tentation correspondante n’est pas sensible : la volupté ou la lux
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ants, va peser sur l’amour de Tristan et d’Iseut.
Car
le trio Tristan-Iseut-roi Marc correspond non pas, certes, en vérité
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le traduisant et de communiquer sans l’expliquer,
car
son contenu demeure inavouable même s’il est fascinant comme une drog
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ainsi la vraie formule d’un donjuanisme féminin.
Car
c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui crée « l
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laten à Baudelaire et de Novalis aux symbolistes.
Car
l’amour passionné, répétons-le, prend sa source dans cet élan qui par
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étant responsable. Responsable : je tiens au mot.
Car
après tout, sans responsabilité, il n’y a pas de civisme, pas de part
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? Oui, mais cela ne dit pas tout, il s’en faut !
Car
notre enseignement ne se réduit pas à la transmission d’un savoir, s’
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pants d’un séminaire ou des auditeurs d’un cours.
Car
penser, après tout, ce n‘est peut-être que cela : mettre en système d
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ication des autoroutes ou du bétonnage universel.
Car
, se déclarer pour ou contre le nucléaire, pour ou contre le supersoni
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’un modèle de société que je récuse radicalement.
Car
l’humain s’y voit sacrifié non pas même au Profit (ici très négatif)
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pe chrétienne = Région / Fédération continentale
Car
la politique qu’exprime le second membre ne résulte nullement de l’év
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e pouvoir », comme le dit l’expression consacrée,
car
nous ne savons que trop à quoi cela mène : ceux qui croyaient prendre
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ers qui peuvent nous secourir dans cette tragédie
car
cette « prise du pouvoir », dont on parle toujours, va prendre les ag
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eux formes d’énergie, la nucléaire et la solaire.
Car
l’une comme l’autre de ces deux solutions implique et détermine de pr
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aisons mêmes qui font que nos États les adoptent.
Car
« très grand » suppose, qu’on le veuille ou non : très centralisé. «
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choix solaire est la condition même de la paix :
car
ce choix signifie du même coup la fin de nos États-nations, liés au p
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Notre problème n’est pas des moyens et des fins,
car
les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’est que
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as économique, et il est encore moins financier :
car
à ces trois niveaux, la cause est entendue, elle est perdue. Quand le
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la servitude, je préférerais encore la liberté :
car
la liberté c’est la vie, et la servitude c’est la mort. La tyrannie e
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de la première, mais elle aussi transfrontalière
car
chacun sait que les pollutions n’ont jamais été arrêtées par les doua
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est née de la fédération de petites communautés,
car
la petite communauté permet seule à la voix d’un citoyen d’être enten
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éfis de la nature, nous voici seuls responsables.
Car
si jusqu’à nos jours l’avenir était complètement inconnu, s’il dépend
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vre les communes, les municipalités, les régions,
car
elles seules sont à la mesure des hommes, de leur volonté et de leur
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sé sur des réalités régionales et non nationales.
Car
l’enfant s’intéresse d’abord à ce qu’il voit, à ce qu’il peut toucher
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quante ans. Évidemment, cette convergence m’émeut
car
ça fait toujours plaisir de constater qu’on n’a pas parlé dans le vid
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git moins d’un slogan que d’un appel au bon sens.
Car
il ne faut pas s’y tromper : ou bien notre mode de développement cont
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humanité n’en font pas partie… C’est un sophisme.
Car
si les deux tiers de l’humanité sont encore dans un état de sous-déve
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mal à faire fonctionner les économies nationales
car
la seule idée d’« économie nationale » est une absurdité. Prenons l’e
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dramatique. Or personne ne se décide à intervenir
car
son administration relève de deux souverainetés nationales. Les front
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ire. Et, de nos jours, c’est encore plus sensible
car
, qu’on le veuille ou non, c’est parce que l’idée européenne est tacit
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à craindre. L’Europe des marchands ne se fera pas
car
son principe repose sur une idée empruntée au marxisme vulgaire, et d
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présenterait à eux. C’était pour le moins curieux
car
, d’une part, il affirmait que l’Européen, en tant que tel, n’existe p
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but est commun, chacun doit inventer son chemin,
car
, si l’on prend les routes nationales, on arrive toujoursbg à la capit
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ants avec laquelle elle n’a pourtant rien à voir.
Car
la croissance biologique est une croissance autorégulée ; c’est même
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des autos, je dis simplement de faire attention,
car
si nous ne faisons pas attention, nous aurons l’air de quoi ? Regarde
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ion que vous soulevez ainsi est doublement grave,
car
tous les gens dont vous parlez sont — à des degrés et à des titres di
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ce. C’est un mythe extrêmement puissant et nocif.
Car
qui ou quoi est l’État-nation ? À voir les choses de près, c’est une
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s. Sa thèse m’aide plus qu’elle ne me contrarie ;
car
il a très bien montré, dans le cas de problèmes qu’il évoque, que mêm
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ectuels de les y aider. Mais ce n’est pas facile,
car
les hommes non plus n’aiment pas changer. Ils comprennent qu’il y va
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dans mon livre « la pédagogie des catastrophes ».
Car
il y en aura d’autres. Quelques petits nuages de sodium ou de plutoni
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e croisade. Rapprochement hautement significatif,
car
c’est bien dans une aventure de croisé que se lance cet infatigable d
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que l’humanité est confrontée à un tel problème,
car
elle n’avait pas, auparavant, les moyens de tout faire sauter. Je par
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out faire sauter. Je parle d’un délai de dix ans,
car
après, il sera vraisemblablement trop tard. Et encore faut-il qu’une
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pris conscience de l’impuissance de ce pouvoir ?
Car
c’est une vérité dont il faudra bien un jour s’aviser : le pouvoir po
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ce long temps de maturation qui a été nécessaire,
car
j’ai pu prendre de la distance par rapport à l’actualité immédiate. C
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des grandes villes. J’ai une certaine confiance,
car
j’observe qu’une immense révolution se prépare dans les pays européen
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oin « ni du Soleil ni de la Lune pour l’éclairer,
car
la gloire de Dieu l’éclaire ». Ainsi la fin de l’homme n’est pas le «
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rte que la communauté civique puisse fonctionner.
Car
une fois dépassées les mesures optimales du nombre et de l’étendue, l
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ombe du ciel : nous sommes les seuls responsables
car
nous avons créé une société vorace en énergie. Qui nous a obligés à r
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i bon espoir. Les choses peuvent aller très vite.
Car
ce mouvement n’est-il pas le seul aujourd’hui à pouvoir mobiliser des