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t l’État, dans l’échelle des valeurs, réglant nos
choix
concrets, dans les finalités dont ces valeurs sont en définitive les
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es contradictions et de ses impasses, il faut des
choix
. Il faut savoir ce que l’on est prêt à sacrifier et quelles sont les
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C’est ce qui nous permet de choisir, ordonne nos
choix
, et définit leur sens. Face à la Crise mondiale, nous avons l’impress
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mesure, et qui vaut plus que tout ? Bien sûr, les
choix
sont rarement aussi simples. Mais ils se ramènent dans l’ensemble à u
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uand ce n’est pas de puissance militaire. Or, ces
choix
de finalités, et les sacrifices qu’ils commandent, sur quel absolu le
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soit encore, en dernière analyse, de notre propre
choix
matérialiste. Lequel trahit peut-être, en fin de compte, un désir ina
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ue soient les critiques qu’on puisse faire sur le
choix
des paramètres, je n’ai jamais vu un avertissement aussi brutal, auss
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Denis de, « Notre complexe de culpabilité », CH,
choix
de textes, Berne, Chancellerie fédérale, 1975, p. 548-553.
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dispenser de choisir sa politique mondiale, et ce
choix
se pose entre la solidarité et l’égoïsme. Un égoïsme fermé sur soi-mê
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question d’attitude, de mentalité, et non pas de
choix
politique traditionnel, parce que cela correspond à des réalités du x
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la mort… Mais pour moi, une Suisse qui ferait ce
choix
-là ne serait plus elle-même. Elle deviendrait semblable à n’importe l
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n du monde et il n’en veut pas d’autres. C’est un
choix
qui ne menace personne. Lorsqu’il était pilote de chasse et qu’il fai
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culier ne font que traduire en chiffres les vrais
choix
et les priorités, non pas alléguées, mais réelles. Grand responsable
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ie de notre civilisation. Ce sont donc les grands
choix
moraux qui déterminent parfois à notre insu les arguments échangés av
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contre le supersonique, c’est faire en réalité un
choix
de société. C’est choisir entre une société fondée sur la Production
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que nous referons comme « hérétique », c’est tout
choix
exclusif d’un seul des termes d’une antinomie fondamentale, c’est-à-d
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doxie est la « droite opinion » et l’hérésie le «
choix
personnel d’une opinion », rien n’empêche en principe le « choix pers
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d’une opinion », rien n’empêche en principe le «
choix
personnel » de se porter sur la « droite opinion ». Mais en fait, « l
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culation est uniformément réglée, tandis que le «
choix
personnel » est un sentier imprévisible ; et ce n’est pas aux ponts e
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bre 1977)am an Je ne sais si c’est un très bon
choix
de m’avoir demandé d’ouvrir les débats, parce que je suis d’accord av
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puissance et la liberté, et s’y inscrit comme le
choix
même de la liberté. Ayant écrit, dans un assez gros livre récent, que
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La puissance et les
choix
(mai 1977)ah ai L’ensemble des conflits qui couvent ou se déclaren
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l’illusion qu’on l’exerce « librement ». Mais le
choix
proprement politique au sens le plus large du mot, est le choix d’une
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nt politique au sens le plus large du mot, est le
choix
d’une finalité. Il désigne d’une part l’aménagement des relations hum
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emble des citoyens après une libre discussion. Le
choix
proprement politique n’exclut pas telle partie du réel, mais déclare
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c’est que le parallélisme inversé entre les deux
choix
n’est pas exact. Le choix de la liberté ménage plus de possibles. Si
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inversé entre les deux choix n’est pas exact. Le
choix
de la liberté ménage plus de possibles. Si en effet vous choisissez l
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nous sépare de l’an 2000. À l’inverse absolu, le
choix
de l’énergie solaire implique, entraîne et favorise, qu’on le veuille
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nir une guerre. Il est clair comme le jour que le
choix
des centrales nucléaires et des usines de retraitement du métal infer
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jamais osé dire, ni même laissé entendre, que le
choix
solaire est la condition même de la paix : car ce choix signifie du m
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solaire est la condition même de la paix : car ce
choix
signifie du même coup la fin de nos États-nations, liés au plutonium
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ah. Rougemont Denis de, « La puissance et les
choix
», Forum du développement, New York, mai 1977, p. 1-2. ai. Introduit
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es implications politiques de ce qu’il nomme « le
Choix
du siècle » que l’auteur de L’Avenir est notre affaire estime urgen
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a Suisse confédérale, donc en fonction d’un libre
choix
politique, d’un choix d’avenir. Elle va constituer en quelques décenn
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donc en fonction d’un libre choix politique, d’un
choix
d’avenir. Elle va constituer en quelques décennies son identité cultu
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abilité. C’est à la fois le premier et le dernier
choix
possible. Mais quel sens peut bien avoir cette liberté que vous accor
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rveiller les plans, pour les soumettre ensuite au
choix
de la population. « L’enquête publique » doit cesser d’être le secret
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vers des tyrannies que l’on croyait dépassées. Le
choix
ne doit-il pas se faire entre l’énergie nucléaire ou le froid et les
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ou le froid et les ténèbres ? Ne parlons pas d’un
choix
qui nous est imposé, qui tombe du ciel : nous sommes les seuls respon