1 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
1 ’Aristote la gestion des rapports humains dans la cité . Que le Conseil en soit remercié par les Douze, en tant qu’invités, e
2 ies sans points d’appui, dans le sentiment que la cité , démesurée, l’énorme État-nation centralisé où ils se voient perdus,
3 uridique définissant l’homme par son rôle dans la cité , après avoir désigné le masque porté par un acteur et caractérisant s
4 t capitaliste, mais de nous tous, habitants d’une cité en ruines morales, même « rénovées plastique »l. La richesse, à ce ba
5 t elle aussi qui me relie à mes prochains dans la cité , parce que c’est parmi eux, avec eux et pour eux, autant que pour moi
6 rresponsable : or il faut bien reconnaître que la cité moderne tend à faire de nous tous des irresponsables, et que les dime
2 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
7 he des relations sociales et des communautés, des cités , puis leurs fédérations : et c’est en route vers l’universel que l’Eu
8 velle et fascinante illustration du texte capital cité plus haut9, qui concluait qu’une situation n’a de sens humain qu’en f
3 1974, Articles divers (1974-1977). Un modèle pour l’Europe ? (1974)
9 urich, Genève), de pays (comme Vaud, Argovie), de cités s’annexant des pays (comme Berne), de ligues régionales (comme les Gr
4 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
10 une conduite de gouvernement, ou de gérance de la cité , en vue et au nom de fins déterminées. Gouverner c’est prévoir, dit
11 it traditionnellement l’opinion, — de l’agora des cités grecques en passant par le forum des Romains et par les communes médi
12 t social, au chapitre où il démontre que plus une cité s’agrandit, moins ses citoyens ont de prise sur ses réalités, moins n
5 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
13 ennent par rotation comme cela se faisait dans la cité grecque antique. Donc, la participation est maximale dans une communa
14 i ne se sentent plus responsables de rien dans la cité . Ce qui se fait est fait par les autres (« Ils », l’État). On les sub
6 1975, Articles divers (1974-1977). Notre complexe de culpabilité (1975)
15 t de l’autocritique au second degré. Les exemples cités au cours de cet ouvrage me semblent révéler une tendance générale — e
16 iriques, vengeurs ou navrés, les sermons que j’ai cités ne changeront rien à l’évolution qu’ils dénoncent, tant qu’ils n’ouvr
7 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
17 as un principe de mesure pour l’homme, ni pour la cité . Il n’est qu’un chiffre. Il ne relève pas du vivant, il n’est pas aut
8 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
18 (ou de la mystique) et la morale collective de la cité , entre le romantisme éternel et les nécessités de l’ordre social. Cha
9 1975, Articles divers (1974-1977). « Le sort des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement » (juin 1975)
19 , citaient les gens qui faisaient l’ordre dans la cité , étaient eux aussi proches du pouvoir. Chacun de ces artistes, à sa m
20 èle à la définition d’Aristote selon laquelle une cité ne devrait pas dépasser la portée de la voix d’un homme criant sur l’
10 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
21 à laquelle contribuent le paysage, l’esprit d’une cité , l’intérêt collectif de ses habitants, et la tradition culturelle d’u
11 1976, Articles divers (1974-1977). Changer de cap (novembre 1976)
22 recherche d’équilibres vivants entre l’homme, la cité et la nature, une société dont l’idéal directeur soit la liberté des
12 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
23 en général, les anciens plans d’union de l’Europe cités plus haut, récusent le projet Briand comme trop respectueux des souve
13 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
24 Parole et avant elle. Les deux derniers passages cités sont justement d’Henry Corbin. Et je n’en trouve pas qui expriment mi
25 te à soi-même »23 Église — fidèle Religion — Foi Cité — personne Orthodoxie désigne couramment en Occident « conformité au
26 ces des âmes et d’orthodoxie conservatrices de la cité  ». Une attitude personnaliste cohérente m’incite à tenir balance égal
27 ocation de l’individu « élu » et le service de la cité . Né ailleurs, mais, ayant choisi par une décision de ferveur — non mo
14 1977, Articles divers (1974-1977). La puissance et les choix (mai 1977)
28 puissance collective de la tribu, du clan, de la cité , du Roi, puis de l’État moderne. Et la liberté des citoyens, des grou
15 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
29 s Fribourgeois catholiques. Cependant que Genève, cité du Refuge, s’ouvre au monde mais tend à se fermer à ses proches voisi
30 ux dire une certaine approche des problèmes de la cité . Il implique une économie dérivée de la culture et des accidents de l
16 1977, Articles divers (1974-1977). « Il faut changer de cap » (27 septembre 1977)
31 responsables de leur destin et des destins de la cité . Dans les énormes villes d’aujourd’hui, on assiste à une dramatique d
17 1977, Articles divers (1974-1977). Au tableau d’honneur de Parents : L’Avenir est notre affaire (octobre 1977)
32 , trop peuplées, inhumaines. Nous sommes loin des cités grecques ! C’est pour vous le modèle idéal ? Absolument ! Et chose ex
18 1977, Articles divers (1974-1977). Pierre Desgraupes fait le point avec Denis de Rougemont (10 octobre 1977)
33 t ce grand modèle de la démocratie qu’étaient les cités grecques qui se maintenaient volontairement petites. Le plus bel exem
34 ntairement petites. Le plus bel exemple, c’est la cité de Milet, sur la mer Égée, qui avait eu la sagesse de savoir que si e
35 que qui est pour moi un modèle assez proche de la cité grecque. Elle s’est formée sur la base de communes forestièresbr, d’u
19 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
36 abord modestes et mesurées : la polis grecque, la cité du Moyen Âge ; puis toujours plus vastes, populeuses, élevées, gigant
37 te certaines « mesures ». Pour Aristote, la vraie cité , conviviale, est celle où tout le monde pourrait se connaître : cela
38 s habitants. Quant à son étendue : le rayon de la cité ne devrait pas excéder la portée de la voix d’un homme criant sur l’a
39 ix d’un homme criant sur l’agora. Pour Platon, la cité idéale devrait compter 5040 citoyens libres, c’est-à-dire environ 50 
40 nombre et de l’étendue, les raisons d’être de la cité ne tardent pas à s’obscurcir, jusqu’à se perdre : leçon du mythe de B
41 ettre l’homme aux structures technologiques de la cité , ou l’inverse ? Est-il vraiment « temps que Paris s’adapte à l’automo
42 (ex. canadiens). 2. Réduire les mégalopoles à des cités « à mesure d’homme » ne peut se faire que par leur division en munici
43 hui par C. Doxiadis, et par les architectes de la cité idéale d’Auroville (Inde). 4. Diminuer le nombre des étages, puisqu’i