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’Aristote la gestion des rapports humains dans la
cité
. Que le Conseil en soit remercié par les Douze, en tant qu’invités, e
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ies sans points d’appui, dans le sentiment que la
cité
, démesurée, l’énorme État-nation centralisé où ils se voient perdus,
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uridique définissant l’homme par son rôle dans la
cité
, après avoir désigné le masque porté par un acteur et caractérisant s
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t capitaliste, mais de nous tous, habitants d’une
cité
en ruines morales, même « rénovées plastique »l. La richesse, à ce ba
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t elle aussi qui me relie à mes prochains dans la
cité
, parce que c’est parmi eux, avec eux et pour eux, autant que pour moi
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rresponsable : or il faut bien reconnaître que la
cité
moderne tend à faire de nous tous des irresponsables, et que les dime
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he des relations sociales et des communautés, des
cités
, puis leurs fédérations : et c’est en route vers l’universel que l’Eu
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velle et fascinante illustration du texte capital
cité
plus haut9, qui concluait qu’une situation n’a de sens humain qu’en f
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urich, Genève), de pays (comme Vaud, Argovie), de
cités
s’annexant des pays (comme Berne), de ligues régionales (comme les Gr
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une conduite de gouvernement, ou de gérance de la
cité
, en vue et au nom de fins déterminées. Gouverner c’est prévoir, dit
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it traditionnellement l’opinion, — de l’agora des
cités
grecques en passant par le forum des Romains et par les communes médi
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t social, au chapitre où il démontre que plus une
cité
s’agrandit, moins ses citoyens ont de prise sur ses réalités, moins n
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ennent par rotation comme cela se faisait dans la
cité
grecque antique. Donc, la participation est maximale dans une communa
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i ne se sentent plus responsables de rien dans la
cité
. Ce qui se fait est fait par les autres (« Ils », l’État). On les sub
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t de l’autocritique au second degré. Les exemples
cités
au cours de cet ouvrage me semblent révéler une tendance générale — e
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iriques, vengeurs ou navrés, les sermons que j’ai
cités
ne changeront rien à l’évolution qu’ils dénoncent, tant qu’ils n’ouvr
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as un principe de mesure pour l’homme, ni pour la
cité
. Il n’est qu’un chiffre. Il ne relève pas du vivant, il n’est pas aut
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(ou de la mystique) et la morale collective de la
cité
, entre le romantisme éternel et les nécessités de l’ordre social. Cha
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, citaient les gens qui faisaient l’ordre dans la
cité
, étaient eux aussi proches du pouvoir. Chacun de ces artistes, à sa m
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èle à la définition d’Aristote selon laquelle une
cité
ne devrait pas dépasser la portée de la voix d’un homme criant sur l’
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à laquelle contribuent le paysage, l’esprit d’une
cité
, l’intérêt collectif de ses habitants, et la tradition culturelle d’u
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recherche d’équilibres vivants entre l’homme, la
cité
et la nature, une société dont l’idéal directeur soit la liberté des
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en général, les anciens plans d’union de l’Europe
cités
plus haut, récusent le projet Briand comme trop respectueux des souve
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Parole et avant elle. Les deux derniers passages
cités
sont justement d’Henry Corbin. Et je n’en trouve pas qui expriment mi
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te à soi-même »23 Église — fidèle Religion — Foi
Cité
— personne Orthodoxie désigne couramment en Occident « conformité au
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ces des âmes et d’orthodoxie conservatrices de la
cité
». Une attitude personnaliste cohérente m’incite à tenir balance égal
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ocation de l’individu « élu » et le service de la
cité
. Né ailleurs, mais, ayant choisi par une décision de ferveur — non mo
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puissance collective de la tribu, du clan, de la
cité
, du Roi, puis de l’État moderne. Et la liberté des citoyens, des grou
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s Fribourgeois catholiques. Cependant que Genève,
cité
du Refuge, s’ouvre au monde mais tend à se fermer à ses proches voisi
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ux dire une certaine approche des problèmes de la
cité
. Il implique une économie dérivée de la culture et des accidents de l
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responsables de leur destin et des destins de la
cité
. Dans les énormes villes d’aujourd’hui, on assiste à une dramatique d
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, trop peuplées, inhumaines. Nous sommes loin des
cités
grecques ! C’est pour vous le modèle idéal ? Absolument ! Et chose ex
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t ce grand modèle de la démocratie qu’étaient les
cités
grecques qui se maintenaient volontairement petites. Le plus bel exem
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ntairement petites. Le plus bel exemple, c’est la
cité
de Milet, sur la mer Égée, qui avait eu la sagesse de savoir que si e
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que qui est pour moi un modèle assez proche de la
cité
grecque. Elle s’est formée sur la base de communes forestièresbr, d’u
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abord modestes et mesurées : la polis grecque, la
cité
du Moyen Âge ; puis toujours plus vastes, populeuses, élevées, gigant
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te certaines « mesures ». Pour Aristote, la vraie
cité
, conviviale, est celle où tout le monde pourrait se connaître : cela
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s habitants. Quant à son étendue : le rayon de la
cité
ne devrait pas excéder la portée de la voix d’un homme criant sur l’a
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ix d’un homme criant sur l’agora. Pour Platon, la
cité
idéale devrait compter 5040 citoyens libres, c’est-à-dire environ 50
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nombre et de l’étendue, les raisons d’être de la
cité
ne tardent pas à s’obscurcir, jusqu’à se perdre : leçon du mythe de B
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ettre l’homme aux structures technologiques de la
cité
, ou l’inverse ? Est-il vraiment « temps que Paris s’adapte à l’automo
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(ex. canadiens). 2. Réduire les mégalopoles à des
cités
« à mesure d’homme » ne peut se faire que par leur division en munici
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hui par C. Doxiadis, et par les architectes de la
cité
idéale d’Auroville (Inde). 4. Diminuer le nombre des étages, puisqu’i