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tre idée de participation à leur gestion, donc de
civisme
. Participation et civisme ne reprendront un sens concret que dans le
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leur gestion, donc de civisme. Participation et
civisme
ne reprendront un sens concret que dans les petites unités, municipal
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de la décadence des liens communautaires, donc du
civisme
et de la morale sociale. Je le trouve aussi à l’origine de la grande
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toutes choses » remplaçant l’homme, remplaçant le
civisme
, remplaçant l’amour du prochain, et passant avant tout cela, s’il fau
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eurs, mais aussi quant à la qualité de la vie, au
civisme
, et aux vraies libertés. (C’est tout cela que les « grands pays » per
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n histoire : la fédération, les communes, le vrai
civisme
, le refus du recours à la guerre ? Face aux défis de l’Europe et du m
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après tout, sans responsabilité, il n’y a pas de
civisme
, pas de participation du citoyen aux affaires publiques, pas de commu
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communauté (polis, donne politique, civitas donne
civisme
), d’autre part l’art de piloter, c’est-à-dire de « gouverner » au sen
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enri-Frédéric Amiel, c’est-à-dire le moraliste du
civisme
à fondement théologique, et l’introspectif qui s’efforce à la travers
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premier chef, mais c’est d’abord une question de
civisme
. Seuls, les conseils élus, débattant publiquement doivent en élaborer
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eux gardé : elle doit devenir l’école pratique du
civisme
. Nous avons aujourd’hui les villes que leurs habitants ont subies, qu