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que me remit Alexandre Marc m’apportaient donc en
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l’énoncé le plus simple de ce que je tentais péniblement de décrypter
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a une grande enveloppe jaune, une enveloppe bleu
clair
, et une plus petite enveloppe blanche bordée de noir. » (Sentiment de
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a faiblesse réelle de l’État-nation ; tant il est
clair
qu’aucun problème écologique ne se laisse définir par nos frontières,
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itions nous sommes devant un dilemme parfaitement
clair
: ou bien on fait l’Europe et il faut abandonner la formule des États
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ue jamais. Mais les obstacles à l’union sont plus
clairs
que jamais : c’est la formule de l’État-nation qui prétend à une souv
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lisation. Je m’explique : il faut être absolument
clair
là-dessus. La croissance du vivant est autoréglée : c’est la même loi
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gement de Dieu qui pèse sur le monde nous devient
clair
. Ceci ne nous dispense nullement de notre double devoir de reconnaiss
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: c’est une question de proportions. Mais il est
clair
que nos trop grands États croient devoir se doter d’armements à leur
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es « puissances » de l’époque. Et pourtant il est
clair
que la vérité d’une idée ne dépend pas de la taille de celui qui la f
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ur objectif que voudrait être l’historien, il est
clair
que ni les chefs de mouvements, sans pouvoir, ni les ministres de gou
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ls sont responsables. Le dilemme devient des plus
clairs
: irons-nous avec eux vers l’Europe satellite, ou sans eux vers l’Eur
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vite, aujourd’hui. Voilà pourquoi j’ai paru trop
clair
sur certains points. J’étais obligé de me résumer, de résumer des rés
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de déclencher et d’entretenir une guerre. Il est
clair
comme le jour que le choix des centrales nucléaires et des usines de
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de la fin de l’histoire humaine. Il est non moins
clair
que personne n’a jamais osé dire, ni même laissé entendre, que le cho