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environnement. Il s’agissait de survivre, donc de
continuer
ce qui avait réussi aux plus forts, aux plus féconds, aux plus habile
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e de spéculation mathématique : Si la population
continuait
à croître à ce rythme, elle dépasserait un milliard de milliards d’âm
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alisée, l’économie doit se décentraliser. Si l’on
continue
, comme on l’a fait jusqu’à présent, il se pourrait bien que l’on arri
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t cru à une mise en scène, d’autant plus que j’ai
continué
à parler, suivant mes notes à la lueur d’une torche électrique. Après
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nion mais on accepte mal qu’il l’affirme et qu’il
continue
à l’affirmer avec véhémence. Il est comme un soldat qui n’accepte pas
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umain. Le crime que Boukovski paie et qu’il devra
continuer
de payer est celui d’avoir une opinion et de l’exprimer. Il n’est pas
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t public. Ils ont toujours fait la guerre, et ils
continuent
de la faire, dans le cadre de ce qu’ils considèrent, eux, comme l’int
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t toujours le directeur, et aujourd’hui encore il
continue
d’enseigner à l’Institut d’études européennes. L’Europe fut et reste
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us forme de courbes ce qui allait se passer si on
continuait
comme maintenant. Je me suis dit : « il faut faire quelque chose ».
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he d’huile et fait changer les mentalités Si nous
continuons
ainsi, les gouvernements seront bien obligés de s’incliner, non ? … D
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s’y tromper : ou bien notre mode de développement
continue
sur sa lancée productiviste et c’est la catastrophe à brève échéance.
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s pour que les choses changent, pas pour qu’elles
continuent
. Eh bien, cette mise au point faite — et elle était en effet indispen
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rs d’automobiles, soutenus par les gouvernements,
continuent
à parler tranquillement de relance, à pousser la croissance et à fabr
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ection sérieuse contre cette théorie, que si nous
continuons
sur la base d’une société formée d’États-nations qui se disent tous p
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utres, qui s’imaginent chacun qu’ils vont pouvoir
continuer
à augmenter leurs exportations et diminuer leurs importations, les ch
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hèse plausible ? Elle est absolument fatale si on
continue
comme ça. Un exemple typique est celui des centrales nucléaires. Les
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, il est vite rattrapé. Mais ça ne fait rien, ils
continuent
à mentir. C’est justement ce qui me frappe dans tout cela : c’est que
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de cette commission. Il a dit : « Je ne veux plus
continuer
à me prêter à cette comédie, je suis le seul membre indépendant de la
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aujourd’hui où, vous le savez, si le tiers-monde
continue
à croître, le monde industrialisé sans exception, pays du rideau de f
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s comprennent qu’il y va de leur avenir, mais ils
continuent
à vouloir, comme on dit chez moi, le beurre et l’argent du beurre. Le
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r des impératifs imaginaires de toute espèce pour
continuer
à agir à l’abri de tout ça en disant : « Ce n’est pas moi qui le veux
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ar l’égoïsme hargneux. Etc., etc. On ne peut plus
continuer
dans les mêmes directions. Alors, vers quoi faut-il aller ? 4. L’o
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tir de l’homme et de ses besoins fondamentaux, ou
continuer
à partir de la technique et de ses « impératifs » allégués par les pr
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s démocraties ? Tous recherchent la puissance, et
continuent
aujourd’hui. Il s’agit d’une puissance de caractère mythique, celle d
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on de la croissance : ceux qui croient qu’on peut
continuer
ce qu’on a fait depuis vingt-cinq ans, sont en pleine utopie au mauva
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ées 1960 aux multinationales. Mais le tiers-monde
continuera-t
-il à se laisser exploiter, continuera-t-il à accepter les famines due
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ers-monde continuera-t-il à se laisser exploiter,
continuera-t
-il à accepter les famines dues aux monocultures imposées par la socié