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cortezia que les troubadours exprimaient dans le
cri
, le soupir, la mélopée ou la fulguration lyrique. La poésie courtoise
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d’elles n’a publié de souvenirs. Mais écoutons ce
cri
d’Adrienne Lecouvreur, quand elle dit du très inconstant Maurice de S
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spinasse, qui l’exprimera elle aussi dans un seul
cri
: J’aime, mais comme on doit aimer : dans le désespoir ! À quoi Nov