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rofonde identité. Cette culture a produit — comme
déchets
, selon Spengler — la civilisation mondiale du xxe siècle, technologi
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nimum, requis par la surveillance quotidienne des
déchets
de nos centrales nucléaires accumulés pendant le petit quart de siècl
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est pollué par le Rhône qui y déverse du mercure (
déchet
d’industries pharmaceutiques), par les égouts des villes vaudoises et
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ont pas une seule centrale nucléaire, donc pas de
déchets
à retraiter, ne s’amusent pas à faire de tels achats, qui sont extrêm
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: « Est-ce qu’il y a une solution au problème des
déchets
? » Pas un savant sérieux ne peut dire qu’il l’a trouvée. Ça se saura
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longement inattendu à ma récente enquête sur “Les
déchets
du progrès”. » bq. On a ici conservé l’original, même s’il semble qu
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lemagne vendent des centrales de retraitement des
déchets
à des nations qui ne peuvent rien en faire, sinon en tirer du plutoni
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parons ses cavernes, celles où seront enfouis les
déchets
radioactifs qui auront, auparavant, ruiné l’humanité. Denis de Rougem