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a crise mondiale, dont le rapport du club de Rome
décrivait
les symptômes matériels et le syndrome fondamental : celui de la croi
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ou mieux : de l’obsession de Puissance, comme l’a
décrit
Lewis Mumford et comme je n’ai cessé de le dénoncer depuis que je m’o
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et la dissolution des liens communautaires. On y
décrirait
le désert surpeuplé de nos villes hantées par l’immense foule des sol
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: cela conduit tout droit à la guerre de 1914. On
décrirait
l’abaissement du niveau intellectuel des masses et de la qualité arti
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ulaire le terme de justice, décidé qu’il est à ne
décrire
que des enchaînements nécessaires et qui échappent à toute considérat
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ur l’apparence et le comportement, je l’ai un peu
décrit
plus haut. J’ajouterai à ces quelques traits : qu’il portait à Versai
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ternationales et celui des études européennes. Je
décrivais
la crise du monde occidental, en progression rapide et calculable ver
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nce le temps des « terribles simplificateurs » et
décrit
d’une manière saisissante ce que sera la vie des ouvriers dans les pa
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saurais anticiper sur ses résultats, ni donc les
décrire
en détail ; mais vous restez en droit d’attendre, à tout le moins, qu
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d’une société nouvelle, en nous d’abord. Et pour
décrire
ses caractéristiques, il nous suffira donc maintenant d’inverser la p
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(au sens scientifique) reste viable tel que je le
décrivais
alors, à quelques précisions près. J’ai été amené à préciser notammen
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e roman est gnostique… Ainsi, le roman de Tristan
décrit
, analyse et déploie dans la durée tous les motifs psychologiques et r
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guère. L’Homme sans qualités de Robert Musil, qui
décrit
une passion incestueuse entre frère et sœur, et la Lolita de Nabokov,
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entre frère et sœur, et la Lolita de Nabokov, qui
décrit
la passion d’un quadragénaire pour une nymphette de 12 ans, sont les
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cte encore. Mais déjà le héros de Lolita nous est
décrit
comme un antihéros, c’est-à-dire un malade mental. Un psychanalyste l
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la littérature romanesque et lyrique que de nous
décrire
les cheminements de cet amour dont le poète andalou Ibn Hazm écrivait
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célibataire presque timide que l’on a si souvent
décrit
, un homme d’État soudain s’est déclaré. Et tandis que les autres, tan
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forme d’exister sans précédent, qui ne peut être
décrite
ni prescrite mais seulement vécue, et une seule fois ; — l’objectivit
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oids des choses, explique, cite Platon, Aristote,
décrit
la Grèce antique, berceau de la démocratie, modèle idéal d’une sociét
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les chroniqueurs, depuis Gottfried de Strasbourg,
décrivent
les effets dévastateurs. Sa passion devient donc une passion subie, a
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tait en effet indispensable — voyons comment vous
décrivez
ces « mécanismes désastreux » qui nous menacent. Ce n’est pas vous qu
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ivers — des scientifiques, et l’attitude que vous
décrivez
ne l’est guère. Comment expliquez-vous cela ? Je ne voudrais pas être
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ous accordez à l’homme en face d’un État que vous
décrivez
aussi super-puissant ? Faut-il briser l’État ? Et si oui, comment ? J
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s du xxe siècle. La conclusion de l’aventure est
décrite
par la Bible, non comme un retour au jardin primitif, mais (après la