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venture occidentale de l’homme, afin d’éviter les
désastres
écologiques, civiques et génétiques auxquels conduit nécessairement u
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rise, à des scandales, que tous ressentent, à des
désastres
calculables. Nous pensons à partir de là. Et l’on ne peut pas faire a
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t à moyen ou à long terme. Ils nous annoncent des
désastres
en chaîne, des catastrophes en système, ou en boucles, qui doivent pr
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e crise dénoncée par le club de Rome : pollution,
désastres
écologiques, urbanisation sauvage, gaspillage des ressources naturell
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résent, il se pourrait bien que l’on arrive à des
désastres
, qui sont calculables d’ores et déjà. « L’avenir est notre affaire
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tentés de s’en servir ? Si la guerre est le pire
désastre
qui menace aujourd’hui le genre humain, n’est-il pas urgent et vital
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sur quoi compter alors ? Sur un certain nombre de
désastres
et de catastrophes qui se préparent. Des tragédies. Les Suisses n’aim
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er juillet 1975)u v Le club de Rome a prévu le
désastre
, mais n’a rien dit sur ses fauteurs. Or, le principe de la crise mond
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imitées nous ont conduits au seuil d’une série de
désastres
parfaitement calculables si nous laissons les choses aller. Et le pre
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s laissons les choses aller. Et le premier de ces
désastres
serait provoqué par la démographie galopante ? C’est le plus frappant
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on de toute communauté véritable conduirait à des
désastres
politiques. Nous avons pris le parti de l’homme, multiple et libre, f
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révu les victoires et la chute d’Adolf Hitler. Le
désastre
était inscrit dans les données de son aventure. Si Hitler revient sou