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illusion, que le sujet n’existe pas, même dans le
discours
, que le langage ne fait qu’utiliser notre gosier, notre langue et nos
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it bien vu le général de Gaulle lorsque, dans son
discours
de Lyon, il passait en revue les relations que devaient entretenir le
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nt les mesures prises officiellement, surtout les
discours
faits sur l’« indépendance totale » du pays ! Je ne dirai pas que je
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ens à se jeter dans les minorités vociférantes au
discours
révolutionnaire dont les barricades sont le signe, ou dans cette « ma
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est une sorte d’imbécilité civique, de désertion.
Discours
ou indifférence qui sont aussi morbides l’un que l’autre. Contre cela
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’est alors que Carl Spitteler prononça son fameux
discours
sur « Notre point de vue suisse », dont voici un passage très signifi
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s. Si les gens ne sont pas capables d’entendre un
discours
raisonnable, comme celui que je tiens ici, sur quoi compter alors ? S
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e confédération. Elle n’y sera pas amenée par des
discours
, mais par la force des choses. Par la pédagogie des catastrophes qu’e
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e toute autre à ses expressions littéraires (au «
discours
amoureux » comme on disait naguère), et limitée de la sorte (à peu d’
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s mariage — mais surtout d’avoir soumis l’Éros au
discours
poétique et romanesque, d’avoir découvert, en somme, que c’est le lan
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nce invincible, voire une hostilité déclarée, aux
discours
en faveur d’une « sorte d’union européenne » que multiplient les gran
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énors de la diplomatie occidentale ; rappelons le
discours
de Churchill à Zurich, le 16 septembre 1946, et les appels réitérés d