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ents fondamentaux d’une « cause commune » dans sa
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opposition aux fascismes montants et au capitalisme en crise. Mais c
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ormé la fédération suisse ont été motivées par la
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nécessité de protéger leur autonomie et de s’unir pour affronter des
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ceptions prétendument fédéralistes. Et ceci d’une
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manière. D’abord en renonçant à la fiction récente des cantons comme
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nvitent, rien ne pourra faire que la consommation
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en sept ans. Les compagnies essaient tout simplement de faire passer
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icité » (ça a été mesuré par les ordinateurs !) «
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tous les sept ans ». Voilà donc le type d’une croissance illimitée. À
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ais fait le calcul à quoi mène une croissance qui
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tous les sept ans ? Savez-vous par combien il faut la multiplier dans
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t clair. Ceci ne nous dispense nullement de notre
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devoir de reconnaissance et de responsabilité (à l’égard de notre pat
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rie lourde ou l’enseignement supérieur. Enfin, la
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anxiété simultanée d’avoir trop ou trop peu de main-d’œuvre étrangère
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ns laquelle elle ne pourrait pas s’entretenir (au
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sens de ce terme) — s’est fait sentir plus vite dans le roman qu’au t
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ligieuse qui se réclamait de Kierkegaard et de sa
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descendance — « existentielle » et nietzschéenne par Heidegger, « dia
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a fédération continentale. Cette distribution, ce
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dépassement, c’est ce que j’appelle le fédéralisme, mouvement qui s’i
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ement « impératif » que la consommation d’énergie
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tous les dix ans, je serais contre, parce qu’elles sont les pièces pr
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pas au nucléaire parce que la population du globe
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maintenant en l’espace de trente ans et qu’on va manquer d’énergie. O
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selon les experts, la consommation d’électricité
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tous les sept ans. S’il faut suivre ce rythme, ça voudrait dire que d