1 ssance de la pollution, de l’air des villes, de l’ eau des lacs et des océans, de la végétation et du monde animal, de l’ali

2 ement des ressources terrestres c’est-à-dire de l’ eau potable, du pétrole, des métaux non ferreux sans lesquels le fer ne p

3 i tempête, ni virus, ni pollution de l’air ou des eaux . La faiblesse fondamentale, basique, de l’État-nation réside dans sa

4 ue de main-d’œuvre, de la pollution de l’air, des eaux et des paysages, de la laideur des petites maisons neuves, qui pousse

5 roblème de sauvetage du Léman, de l’épuration des eaux du Rhône (qui intéresse toute la vallée jusqu’à Marseille et même, au

6 lla romantique. Les pelouses descendent jusqu’aux eaux bleues du Léman. À droite et à gauche, de hauts arbres s’écartent pou

7 vous, dans votre environnement immédiat, chute d’ eau , rivière, force des vents, lumière et chaleur du soleil (qui ne souff

8 les nucléaires — quelle que soit leur définition, eau légère ou surgénérateurs — implique, entraîne et détermine des constr

9 kilomètres de Grasse. En l’an 2000 ni pain, ni eau , peut-être ! Il parle de son livre d’une voix lente, pèse ses mots

10 . « Voilà notre homme de l’an 2000, dit-il : sans eau potable, sans pain, sans vin et privé même du comprimé d’algues marin

11 urvivre, de se maintenir le menton au-dessus de l’ eau , aujourd’hui, pour la première fois dans l’histoire, l’homme peut cho

12 ar exemple, ce qui se passe avec la pollution des eaux . Le Léman, le Rhin, la Manche sont menacés de mort. Et Britanniques,

13 s sont les lieux les plus pollués du monde : air, eau , bruit. 5. Parce que les hommes y sont trop serrés, — et parce qu’ils