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poque où l’Église s’installe dans les cadres de l’
Empire
romain et tente de formuler à l’aide des catégories de la pensée grec
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ut empirique de communes forestières, de villes d’
empire
et de cités-États (comme Berne, Bâle, Zurich, Genève), de pays (comme
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ncore maîtres de leur destin civique. Mais avec l’
Empire
d’Alexandre, toutes ces normes ont été délaissées, et on a bâti des v
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société industrielle veut augmenter sans cesse l’
empire
des besoins, parce que c’est le besoin qui soumet l’homme aux forces
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tionnent même pas, n’a jamais cessé d’exercer son
empire
sur nos sociétés, de la Grèce primitive à l’Occident moderne, c’est l
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our » qui paraît désormais naturelle en Europe. L’
empire
du mythe tristanien sur Racine est manifeste : il explique seul que l
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sie, exerçant, de son ermitage dans les Alpes, un
empire
étendu et profond sur l’esprit de ses compatriotes, s’il a prévenu in
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tion de l’Acte additionnel aux Constitutions de l’
Empire
; et plus près de nous, collaboration entre Coudenhove-Kalergi et Bri
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Neuchâtel jusqu’en 1848. Au sud, Genève, ville d’
Empire
, donc République indépendante, promue par Calvin au rang de « Rome pr