1 . Les réalités économiques exigent d’une part des espaces beaucoup plus vastes que ceux de nos vingt-huit États européens12 et

2 n miracle pour que ces réalités coïncident dans l’ espace , correspondent aux mêmes frontières, et ce miracle ne s’est jamais ré

3 qui n’ont aucune probabilité de coïncider dans l’ espace . Ça c’est la formule de l’État-nation napoléonien : imposer la même f

4 a aucune espèce de raison que ça coïncide avec un espace économique raisonnable. Donc il est fatal que le développement même d

5 le Marché commun réussit à faire sinon à créer un espace pour les multinationales ? » Et alors la question est réglée à partir

6 sacralisé. Situé de la sorte dans le temps et l’ espace , au xiie siècle de l’Europe christianisée, le mythe révélera-t-il pa

7 , orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! À partir de là, tout le xixe siècle sera sentimen

8 État-nation périmés ; hors d’eux, il n’est plus d’ espace libre, il n’y a plus que l’avenir qui leur échappe. Pas question de d

9 es de vivre. Et ce problème ne se pose pas dans l’ espace vide de la théorie intemporelle. Il nous est imposé concrètement dans

10 que la population du globe double maintenant en l’ espace de trente ans et qu’on va manquer d’énergie. Or cet argument, qui pou