1 iste que parce que l’homme est en quelque manière extérieur à sa situation, parce qu’il connaît l’avantage immense du recul. C’es

2 devaient entretenir les régions françaises avec l’ extérieur . Presque toutes les régions intéressantes de l’Europe sont transfront

3 ent être « reconnues » et non pas délimitées de l’ extérieur . Les vingt-deux régions françaises actuelles ont toutes été faites à

4 ntérieur d’un pays, alors qu’elles subsistent à l’ extérieur comme frontières étatiques. À part cela, il n’y a aucune espèce de di

5 quement, tant qu’elle ne bute pas sur un obstacle extérieur  ; elle n’a rien en elle-même qui la règle. Elle peut conduire à toute

6 oup trop simple et s’imposant comme un cadre de l’ extérieur sur les gens. Il faut faire le contraire, c’est-à-dire faire sortir l

7 toujours l’idée d’une grande stabilité, vue de l’ extérieur , en Suisse il n’y a plus qu’un homme sur trois qui habite dans sa com

8 son anxiété qu’un défi bien concret, venant de l’ extérieur . Et de même que l’Europe a mieux à faire que d’offrir au tiers-monde

9 problèmes intérieurs du fédéralisme des problèmes extérieurs de la neutralité et de la coopération. La Suisse face à l’Europe

10 l l’Énergie. Une énergie qui vous vient donc de l’ extérieur et que les Pouvoirs publics vous assurent. Si au contraire vous voule

11 sont en nous, le besoin que nous avions de forces extérieures diminuerait d’autant, et que nous serions alors en mesure de découvri

12 arti qui affirme le plus clairement une politique extérieure certes « résolument française » mais opposée aux prétentions de l’Éta

13 es. Il provient de l’idée que le pouvoir nous est extérieur , qu’il se présente à nous sous forme de contrainte, que nous subisson

14 nt, alors, préserver l’individu contre ce pouvoir extérieur contraignant et, de plus en plus, absolu ? Jeanne Hersch nous a hier

15 titre d’ailleurs, que le simple refus du pouvoir extérieur finit par nous y livrer bien plus sûrement que toute autre conduite,

16 le pouvoir de liberté au pouvoir de l’État devenu extérieur à nous-mêmes, qui n’est pas de supprimer toute espèce de pouvoir, mai