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ce de la Dame, de la Sophia aeterna — « l’Éternel
féminin
», dira Goethe. La dialectique du vrai jour et de l’évidence quotidie
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, donnant ainsi la vraie formule d’un donjuanisme
féminin
. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui cré
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c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir
féminin
qui crée « l’homme sans visage », l’homme d’une nuit sans lendemains
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mœurs des courtisanes, l’inceste, l’homosexualité
féminine
et masculine, et les délices infiniment variées du masochisme, de Sac
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du xiie siècle : une vaste remontée du principe
féminin
, à la recherche de nouveaux symboles, de nouvelles façons de se manif