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nous supplient de les faire mentir, mais il nous
faut
d’abord les croire… (Situation moins nouvelle dans l’histoire qu’on n
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j’ai le mieux connus. Ce n’est pas rien, mais il
faut
bien admettre que cela n’a pas suffi pour « faire l’Europe ». De cett
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nous ? Au nom de quoi ? Et en vue de quelles fins
faut
-il créer l’union des gens de l’Europe, tels qu’ils sont, ou tels qu’i
4
ale, de ses contradictions et de ses impasses, il
faut
des choix. Il faut savoir ce que l’on est prêt à sacrifier et quelles
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ictions et de ses impasses, il faut des choix. Il
faut
savoir ce que l’on est prêt à sacrifier et quelles sont les priorités
6
qui a formé vingt siècles d’Europe nous dit qu’il
faut
aimer son prochain comme soi-même, et cela fonde la communauté ! Non
7
s de liberté réelle pour un irresponsable : or il
faut
bien reconnaître que la cité moderne tend à faire de nous tous des ir
8
», mais une réalité dynamique et progressive, il
faut
qu’un éventuel « plan » économique fasse appel aux ressorts humains d
9
offerte à tout le monde… Offerte, non imposée. Il
faudra
donc étudier attentivement les problèmes de la différenciation, d’adh
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t d’un coup, vers cinq heures, la certitude qu’il
faut
rentrer chez moi dare-dare. Tram n° 5. Je saute de la voiture encore
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se dès le lendemain, mais serais-je candidat ? Il
fallait
une réponse immédiate… Trois mois plus tard je commençais mon métier
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j’ignorais quelle affaire, mais je sentais qu’il
fallait
rentrer. Je monte l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le t
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héviste, anarchiste, fasciste ou nazi. Mais il ne
faudrait
pas que cette modestie les empêche d’assumer leur vocation. Lorsqu’il
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exportable. C’est le secret de leur réussite. Il
faut
donc le garder jalousement. Et il ne doit à aucun prix devenir un ism
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langue française. International et français, « il
faut
le faire », disent les jeunes d’aujourd’hui. Mais d’abord, il fallait
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disent les jeunes d’aujourd’hui. Mais d’abord, il
fallait
le concevoir. Ce n’était guère possible à Paris, qui a toujours peine
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des relais vers les résidences secondaires. Il y
fallait
un petit État gouverné par un grand ami des Lettres, — et ce fut le P
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convaincre même les esprits les plus obtus qu’il
faudra
bien que la croissance démographique s’arrête un jour. La croissance
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ance démographique ne peut pas être illimitée. Il
faudra
bien que quelque chose l’arrête, un jour ou l’autre. Si l’on ne veut
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l’on ne veut pas que ce soit une catastrophe, il
faudra
bien que ce soit une libre décision des hommes et des femmes. Mais où
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uturologues ne sont pas tous pessimistes, il s’en
faut
. Les plus connus du grand public, les plus choyés par les pouvoirs, e
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imanche. Or cette circulation quasi sacrée, qu’il
faut
sauver à n’importe quel prix, elle fait bon an mal an 280 000 morts c
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national. Et nous voyons dans quelle direction il
faut
aller : celle qui nous permettra de refaire une communauté, des commu
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que langue et sous-sol, économie et histoire. Il
faudrait
un miracle pour que ces réalités coïncident dans l’espace, correspond
25
offrir une structure de participation civique. Il
faut
donc le dépasser par en haut et par en bas, par la fédération contine
26
une qui serait un mini-État-nation. Ce qu’il nous
faut
éviter à tout prix. Je pense que faire en Europe 300 mini États-natio
27
rfaitement clair : ou bien on fait l’Europe et il
faut
abandonner la formule des États-nations à souveraineté illimitée et s
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imitée et se tourner vers les régions. Ou bien il
faut
avouer qu’on ne veut pas faire l’Europe ; et il faut savoir aussi ce
29
t avouer qu’on ne veut pas faire l’Europe ; et il
faut
savoir aussi ce que ça signifierait : la colonisation de l’Europe, éc
30
e suis antiaméricain ou que je suis antirusse, il
faut
ne pas se tromper là-dessus. Je pense que la colonisation est une trè
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renforcer les pouvoirs de l’État. Mais alors, que
faut
-il faire ? Il faut créer une autre Europe, parallèle, une Europe des
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irs de l’État. Mais alors, que faut-il faire ? Il
faut
créer une autre Europe, parallèle, une Europe des réalités. À mon sen
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ouvelles institutions régionales en France, il va
falloir
les faire fonctionner et peut-être les faire évoluer… Il y a une expr
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is que c’est incontestable. À mon sens, il aurait
fallu
faire exactement le contraire et on sera bien obligé de le faire un j
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obligé de le faire un jour ou l’autre. Il aurait
fallu
une étude des besoins d’une population, de la conscience actuelle ou
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comment on pourrait organiser ces régions, car il
faut
un minimum d’organisation administrative, quitte (je vais y revenir t
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ons, suivant la nature du problème à résoudre. Il
faut
chercher partout, comme à tâtons, le relief des problèmes, les voir s
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roblèmes, les voir se soulever, se définir, et il
faut
se décider d’après ça, et non pas prendre une carte et quelques barèm
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t ce point de vue, ils finissent par me dire « il
faut
qu’une région en France soit compétitive avec un Land allemand ». Alo
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nous créer et animer des régions ? Je pense qu’il
faut
être bien conscient des finalités qu’on donne à la création des régio
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t aussi morbides l’un que l’autre. Contre cela il
faut
recréer des communautés, et voilà le principal motif de faire des rég
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aditionnelles, systématiquement, consciemment. Il
fallait
que « le coup électrique de la Raison » donné par la commune de Paris
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pèce de différence. Le phénomène contre lequel il
faut
se défendre, c’est celui des trop grandes sociétés, mal adaptées aux
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nnaires de notre civilisation. Je m’explique : il
faut
être absolument clair là-dessus. La croissance du vivant est autorégl
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rtion que j’entendais répéter partout : « il nous
faut
faire des centrales nucléaires ; c’est un impératif technique et écon
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ble tous les sept ans ? Savez-vous par combien il
faut
la multiplier dans moins de cent ans, c’est-à-dire dans quatre-vingt-
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c’est-à-dire dans quatre-vingt-dix-huit ans ? Il
faut
la multiplier par 16 384, ce qui est dément : on ne peut transformer
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mer toute la substance de la terre en énergie. Il
faudra
bien s’arrêter un jour, alors, autant y penser tout de suite. Il me p
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sure humaine qui puisse diriger une politique, il
faut
absolument abandonner ça, et nous nous apercevons très vite que si no
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canismes de croissance par la régionalisation. Il
faut
proportionner la production et l’aménager conformément à la finalité
51
e le coup d’Hitler ou le coup de Mussolini, il ne
faut
pas essayer de recréer une communauté par en haut, par un seul parti,
52
nt comme un cadre de l’extérieur sur les gens. Il
faut
faire le contraire, c’est-à-dire faire sortir la communauté du sol co
53
Et les racines, pour vous, c’est la commune ? Il
faut
donc commencer par la commune ? Oui ; peut-être par plus petit que la
54
our des raisons tout à fait mystérieuses, dont il
faudrait
que les sociologues s’occupent un jour pour voir comment se transmet
55
ra sur laquelle les gens pouvaient se réunir : il
fallait
déléguer les pouvoirs. Les gens se réunissaient par quartier selon le
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, américains surtout, et anglais également, qu’il
faut
absolument en revenir aux formules communales. On ne peut pas détruir
57
st la caserne, comme tout le monde l’a dit, et il
faut
prendre cela au sens le plus précis du terme, c’est-à-dire que l’on e
58
nisme pourrions-nous inventer collectivement ? Il
faut
faire des villes petites, et très nombreuses. Mais une chose très cur
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Comme de toutes ces choses dont nous parlons, il
faut
faire comprendre aux jeunes aujourd’hui que c’est leur affaire. Ce n’
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is, il y a d’autres motivations, chez nous, qu’il
faudrait
développer. Justement le désir d’être responsable, d’être digne, à se
61
r ces dimensions avec celles de la communauté. Il
faut
trouver une adéquation de la dimension des tâches et de la dimension
62
coin ? (Motif accessoire : faisons-nous ce qu’il
faut
pour garder notre rang ?) Inquiétude du patriote : dans le monde des
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me d’en trouver une, car si elle est un péché, il
faut
le révoquer, ou si elle nous fait tomber dans le péché, il faut « l’a
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er, ou si elle nous fait tomber dans le péché, il
faut
« l’arracher et la jeter loin de nous », sur-le-champ, sans demi-mesu
65
in de nous », sur-le-champ, sans demi-mesure : il
faut
participer aux guerres. Il eût fallu se battre contre Hitler, ou vole
66
i-mesure : il faut participer aux guerres. Il eût
fallu
se battre contre Hitler, ou voler au secours de Budapest, — de cette
67
rt n’est pas le meilleur moyen de les libérer. Il
faudrait
leur montrer des horizons plus vastes, qui soient les leurs. Mieux va
68
unauté peu croyable mais vraie — ce miracle qu’il
faut
traduire en formules désormais communicables, et qu’il faut assumer d
69
ire en formules désormais communicables, et qu’il
faut
assumer dans toutes ses dimensions non seulement morales mais politiq
70
ndustriel en principe travaille trop, parce qu’il
faut
que la firme produise toujours plus. La vie humaine se voit dès lors
71
our du prochain, et passant avant tout cela, s’il
faut
choisir. Car le profit n’est pas un principe de mesure pour l’homme,
72
la limite », comme disent les Américains. Il nous
faut
un nouveau marketing, qui analyse les besoins réels, et non les possi
73
sirs : et voilà bien la pire aliénation ! Il nous
faut
retrouver des mesures, gagées sur l’homme, traduisant les données con
74
rs deux mètres de haut ; pour les gravir, il vous
faudra
l’aide d’une échelle, et c’est précisément ce que l’escalier avait po
75
t pas réduire la masse critique d’une bombe H, ne
faut
-il pas réduire la taille de ceux qui seraient tentés de s’en servir ?
76
qu’à la seule condition de s’étendre, quand il le
faut
, au-delà des limites de l’État fédéral institué en 1848. Si la Suisse
77
ue. S’ils devaient représenter les cantons, il en
faudrait
25, comme l’actuelle commission du Marché commun, à Bruxelles, compte
78
la meilleure sécurité dans le monde qui vient. Il
faut
donc que la Suisse retrouve ce qui était son attitude et sa mentalité
79
ns littéraires et artistiques en général, il nous
faudra
d’abord tenter de débrouiller, parmi les mille et trois sens du mot a
80
évidemment distinctes, sinon opposables. Il nous
faudra
ensuite repérer les grandes étapes d’une évolution historique qui s’e
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roman, puis le théâtre et, enfin, l’opéra. Encore
faut
-il bien préciser que le moment subversif, anarchique, individuel de l
82
naître par défi, il ne peut être fait de défi. Il
faut
qu’il soit inséré dans une société. Il n’est pas un contenu de vie ma
83
xception faite à tous les contenus de vie. Or, il
faut
à une exception quelque chose dont elle soit l’exception. On ne peut
84
tin du mythe n’y est plus que machine romanesque,
faut
-il incriminer la société du temps et ses coutumes, ou la littérature
85
pour remettre leurs idées en place, en ordre ? Il
faut
se mettre à la place du magistrat soviétique. On lui amène quelqu’un
86
st le cercle vicieux dont il s’agit de sortir. Il
faut
que ses auteurs commencent. 2) L’État-nation peut faire autant et plu
87
uts des grands plus l’esprit de clocher. Ce qu’il
faut
, c’est tout recommencer par en bas, créer des liens réels au niveau l
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réforme, donc, plutôt que la révolution… Il nous
faudrait
partir des racines, puis dresser un plan. Par exemple, dans la région
89
ent, de contamination, de pollutions diverses. Il
faut
que tout le monde s’y mette. Il ne faut pas laisser un gouvernement r
90
erses. Il faut que tout le monde s’y mette. Il ne
faut
pas laisser un gouvernement répondre à un autre qu’il n’est pas quest
91
isses. C’est en train de s’arranger, mais il aura
fallu
des années. Il y a le problème de la coopération entre les université
92
uisse, mais la réciproque n’est pas possible). Il
faut
, au besoin, créer des équipes de travail par-dessus les frontières. C
93
e, comme celle-ci, c’est peut-être le signe qu’il
faut
la compliquer, parce qu‘en réalité elle est bien plus complexe que ce
94
’Europe ? Oui, mais cela ne dit pas tout, il s’en
faut
! Car notre enseignement ne se réduit pas à la transmission d’un savo
95
000 ouvriers21. Argument proprement scandaleux !
Faut
-il, comme le demandait un Premier ministre, supprimer toute limitatio
96
de rêves, de principes et d’ambitions qu’il nous
faut
dépasser si nous voulons survivre, qui détruisent à la fois la nature
97
n chœur ? Ce serait la solution formelle ; encore
faudrait
-il l’adapter à la structure chrétienne du sujet. Je songe alors au st
98
d dans le domaine économique ; ils estiment qu’il
faut
étudier la création d’une organisation commune à laquelle seront attr
99
élibataire endurci que fut Robert Schuman : à qui
faut
-il attribuer la Déclaration du 9 mai 1950 ? Le plan Schuman fut-il en
100
nts et chaussées ni à la police de la route qu’il
faut
s’adresser si l’on cherche le chemin du Graal. ⁂ La complémentarité d
101
je voudrais dire convertissante. (Pour, moi, s’il
faut
en croire les tests que j’ai passés, je me verrais plutôt entre deux
102
les moyens ont pour devoir de concourir. Ce qu’il
faut
voir, et qui est peut-être décisif, c’est que le parallélisme inversé
103
les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il
faut
voir, c’est que le but de la société n’est pas du tout d’assurer à qu
104
« Il
faut
changer de cap » (27 septembre 1977)al « La décadence d’une sociét
105
end sur soi-même. al. Rougemont Denis de, « Il
faut
changer de cap », L’Aurore, Paris, 27 septembre 1977, p. 6.
106
t même plus que jamais. Tout est possible mais il
faut
choisir. » Ce n’est pas un homme à renoncer. Son acharnement à défend
107
ontinuait comme maintenant. Je me suis dit : « il
faut
faire quelque chose ». Vastes villes trop peuplées, inhumaines
108
sont envahis par un sentiment d’impuissance qu’il
faut
absolument combattre. C’est lui qui mène la jeunesse à la délinquance
109
d’un slogan que d’un appel au bon sens. Car il ne
faut
pas s’y tromper : ou bien notre mode de développement continue sur sa
110
e échéance. Ou bien nous réagissons et, alors, il
faut
faire vite. Cela dit, il y a un vieux proverbe latin que je me répète
111
gner de nouvelles désillusions. Pour ce faire, il
faudrait
que nous commencions par changer de cap nous-mêmes. Il faudrait que n
112
ous commencions par changer de cap nous-mêmes. Il
faudrait
que nous imaginions une forme de développement moins démente, moins s
113
us-sol, de langue, de culture ou de région. Il ne
faut
pas s’étonner si les économistes ont tant de mal à faire fonctionner
114
uvoir, c’est le mythe nationaliste pour lequel il
faut
toujours « rester maître chez soi ». La seule façon d’user cette souv
115
e s’approprier l’expression. Quant au fond, il ne
faut
pas se méprendre : l’expression « ordre nouveau » n’avait pas du tout
116
nvertir ou m’éclairer ? De ce point de vue, il ne
faut
pas oublier qu’Otto Abetz lui-même n’était qu’à demi nazi. Une moitié
117
ée et de style. On peut refuser tout cela mais il
faut
savoir ce qu’il en coûte. Avant la guerre, Emmanuel Mounier avait dit
118
donne tout aux prophètes, sauf d’avoir raison… Il
fallut
son dernier livre, L’Avenir est notre affaire , paru le mois dernier
119
éfinie ; personne n’a jamais dit à quel moment il
faudrait
que l’économie s’arrête de croître. Est-ce 10 %, 7 %, 3 % par an ? Pe
120
? » Et sa réponse a été : « C’est très simple, il
faut
croire ceux qui n’ont rien à gagner de la position qu’ils prennent. »
121
tion d’électricité double tous les sept ans. S’il
faut
suivre ce rythme, ça voudrait dire que d’ici moins de cent ans, il fa
122
ça voudrait dire que d’ici moins de cent ans, il
faudrait
multiplier par 16 384 la production. Rien que de l’énoncer est idiot.
123
’un État que vous décrivez aussi super-puissant ?
Faut
-il briser l’État ? Et si oui, comment ? Je dirai qu’il faut en finir
124
iser l’État ? Et si oui, comment ? Je dirai qu’il
faut
en finir avec l’État-nation et qu’il faut, pour cela, changer de fins
125
i qu’il faut en finir avec l’État-nation et qu’il
faut
, pour cela, changer de fins. La fin de l’État-nation étant sa propre
126
e dialogue ou, du moins, la concertation. Donc il
faut
renoncer aux grandes dimensions parce que les grandes dimensions nous
127
s, il sera vraisemblablement trop tard. Et encore
faut
-il qu’une guerre atomique n’éclate pas… Beaucoup de gens disent qu’un
128
ance de ce pouvoir ? Car c’est une vérité dont il
faudra
bien un jour s’aviser : le pouvoir politique n’existe plus, le pouvoi
129
rale coûtera environ quatre milliards et qu’il en
faudra
des centaines ! Personne n’a prouvé que c’était nécessaire. On dit qu
130
e n’a prouvé que c’était nécessaire. On dit qu’il
faudrait
économiser 30 % d’électricité pour pouvoir se passer de centrales. Et
131
uoi pas ? Pourquoi toujours affirmer qu’il nous «
faut
» absolument ceci ou cela ? Une des grandes idées que Denis de Rougem
132
encore longtemps à éponger la facture… Et s’il «
faut
» absolument que des hommes d’affaires pressés gagnent trois heures s
133
avec l’analyse des problèmes les plus actuels. Il
faut
souligner cette fidélité méditante et féconde à des conceptions longu
134
Et à partir de là, informez-vous ! Je crois qu’il
faut
faire appel au sens de la responsabilité. Mais ce n’est possible que
135
thalle de Francfort, j’ai vu, j’ai senti ce qu’il
faut
bien appeler l’âme de la foule. Une fausse communauté née de la grisa
136
inuer dans les mêmes directions. Alors, vers quoi
faut
-il aller ? 4. L’option fondamentale du siècle Au dernier quart
137
eurs et les ministres dont ils sont les experts.
Faut
-il soumettre l’homme aux structures technologiques de la cité, ou l’i
138
radant ainsi les bases mêmes de la démocratie. Il
faut
rendre les rues et les places non seulement aux piétons, aux badauds,
139
ux piétons, aux badauds, mais aux citoyens. Et il
faut
composer dans les quartiers des grandes villes l’équivalent moderne d
140
anence. Le soleil peut tout nous donner S’il
fallait
que j’explique très simplement qui vous êtes à un enfant, par exemple
141
proche. C’est le temps des enfants. Pour eux, il
faut
s’efforcer de ne pas avoir à écrire FIN, mais À SUIVRE au bas de la l
142
sées par la société industrielle occidentale ? Il
faut
d’ailleurs noter à cet égard que la civilisation occidentale a fait p